Mercredi 10 septembre 3 10 /09 /Sep 14:56

Elle ne fait rien, un simple regard, un appel au secours. Elle me regarde mais ne prononce pas même une parole ses yeux en disent déjà assez. Quel mal peut il faire autant de dégât ? Qui a bien put la détruire jusqu’à son entre ?

Je m’assois prenant son regard analyste pour un oui, elle baisse lentement sa tête vers son verre vide et recommande un nouveau verre. Je n’arrive pas à détourner mon regard pourtant j’aimerai tellement, céder à la tentation de cette manière ne m'est jamais arrivé, j’ai l’impression de voir mon reflet : oui le reflet de mon âme. Les traits fins de son visage sont lacérés par des plis de fatigue, ses yeux verts entourés d’une rougeur qui montre qu’elle n’a pas assez dormi et trop pleuré.
Elle me fait penser à un animal apeuré, ses cheveux en pagaille lui donnent un air sauvage mais son comportement renfermé montre qu’elle a souffert…vraiment souffert.

Pourquoi ? J’essaye de comprendre pourquoi ! Pourquoi est-ce qu’elle pleure en silence ? Pourquoi est-ce qu’elle ne hurle pas son désespoir ? Qu’est-ce qui pousse les gens hiberner dans leur cœur ? Bon d’accord je ne suis pas forcément bien placé pour parler, mais en la comprenant c’est à moi que j’essaye de poser la question. Suis-je un monstre ? Ai-je un cœur ? Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à pleurer ?

J’aimerai qu’elle pleure.

J’aimerai qu’elle pleure pour moi, j’aimerai qu’elle hurle à la mort qu’elle implore celle-ci de la tuer, j’aimerai qu’elle s’écroule sous le poids de la peine…j’aimerai qu’elle fasse ce que je devrai faire, ce qui il est normal de faire mais elle ne le fera pas. Ses petites pupilles s’assombrissent de minute en minute, s’accroche-t-elle ? Ou est-ce qu’elle accepte de sombrer dans le néant ?

Que fais tu maintenant ? Que vas-tu faire ? Que vais-je faire ? Mourir à petit feu comme toi ? Alors faisons le ensemble.

J’ai tout perdu, même ma lucidité, ma raison, ma logique ! J’ai tout perdu, ma conscience, mon humanité, mes sentiments.

Je me suis perdu.

En tuant mon frère c’est moi qu’on enterre, c’est moi qu’on ferme dans un cercueil ! Un cercueil que j’ai construit de mes mains ce n’est pas la faute de l’assassin mais bien la mienne. Je n’ai pas été là quand il fallait, je ne serai plus là enfin…il ne sera plus là. J’aurai aimé lui dire combien il était important même si je ne l’aurai pas fait. Ma fierté me dépasse, elle dépasse même ma tristesse, ma fierté me pourrit et me ronge pour me rendre vil et malsain.

Tout ce qui compte maintenant c’est que plus rien n’a d’importance et que tout est éphémère, mourrons ensemble ! Enterrons notre fardeau, je t’en pire creuse avec moi…je ne veux pas partir seul…je l’ai trop été.

Je me retourne vers elle et remarque sa soudaine contemplation de son illusoire en verre, elle trempe son index à l’intérieur et l’apporte à la bouche. Ses lèvres fines serrent délicatement son doigts laissant une traînée humide reflétée par les lumières ternes du bar, je déglutis difficilement. On ne peut pas dire qu’elle ne me fait aucun effet ! En plus d’être terriblement attirante elle me déboussole…est-ce de la provoque ? Est-ce une invention à danser la danse macabre ? Ses yeux se ferment de plaisir sentant le bien être de l’alcool l’envahir, elle se saoule pour se faire du mal…

Il y a des moyens plus efficaces pour ça.

Je frappe brusquement le verre sur la table, descend rapidement du banc grinçant, remet ma veste correctement, lui tourne le dos et vais pour m’en aller.

- Il n’y a pas de solution, dis je sans même me retourner

Je ne l’entends pas pourtant je suis sûr qu’elle m’écoute et qu’elle se demande ce qui me prend.

- Le monde et pourrit et nous sommes tous pourrit…on finira bien par crever vous comme moi espérons seulement que la mort nous entende, dis je doucement juste assez pour qu’elle m’entende

Je me retourne, elle me regarde les yeux vidés de tout sentiment mais un léger sourire mélancolique apparaît sur son visage rougis par l’alcool. Elle se lève à son tour et s’approche doucement de moi, je ne fais rien, je ne bouge pas, je ne peux pas…je n’attends que ça ! Elle s’approche de mon oreille à une lenteur calculé et me susurre

- Personne ne m’entend…

Elle se redresse et garde son petit sourire qui me serre la poitrine, quelque chose me bloque le dos comme si le poids de mes brique continuait d’augmenter.

- Je vous entends, dis je à mon tour

Elle ne cesse de sourire, je peux apercevoir une faible lueur dans ses yeux comme si elle était heureuse qu’enfin quelqu’un l’entende vraiment. Elle semblait attendre que je lui tende la main et c’est ce que j’ai fait…j’ai tendu ma main. Si tu tiens à sombrer belle inconnue emporte moi avec toi.

Par Absynthe - Publié dans : Pure Vengeance (Finie)
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Mercredi 10 septembre 3 10 /09 /Sep 15:00

Je suis aveuglement cet inconnu.

Une  partie de moi, une  infime partie de  mon être  me crie que je suis  idiote, inconsciente, totalement stupide. Je lui donne raison, mais je le suivrais tout de même.

J’ai attrapé sa main au vol lors  de  notre sortie du pub, depuis je ne la lâche plus, elle  est chaude, pas la chaleur moite que  l’on sent lorsqu’on touche  une personne stressée, pas  non plus  la main rugueuse et sèche d’un homme qui travaille en extérieur.

Elle  est ferme, douce et forte, chaude et apaisante. Rien que  sa  proximité  m’apaise, le toucher encore  plus.

Je serre doucement mes doigts autour de sa main et le regarde, il semble  tout  aussi perdu et  déboussolé que  moi. Nous  marchons  le  long  des rues, bravant la foule du regard, traversant ce monde trop actif au pas de  course. Je ne sais pas ou nous  allons, lui non plus  apparemment.

Au fur et  à mesure  que nous avançons  vers  les  vieux quartiers l’air semble enfin se  faire  pur dans mes  poumons, j’inspire profondément et me tourne vers lui, nous  nous arrêtons au sur  un coin de  rue. Ici il y a  peu de  trafic, nous  sommes  dans la vieille banlieue, la partie laissée à l’abandon en quelques  sortes.

Je connais ces rues et mon regard glisse de maison en maison. Je connais ce quartier.

J’y ai vécu mon enfance.

Je lève les  yeux  vers lui et m’avance d’un pas, réduisant à néant la distance entre nos corps. Sa veste me frôle le ventre et je me penche une nouvelle fois vers lui effleurant son oreille de mes lèvres et murmurant d’une voix brisée :

-Merci.

Il se recule légèrement et m’observe

Merci à toi…

Je lui souris :

-Tu ne sais même pas de quoi je parle.

Il semble  ouvrir les  lèvres  pour  me répondre, mais  je  le  tire  par  la  main, et  l’emmène de rues en ruelles, toutes plus  étroites les  unes  que  les autres. Quelques  personnes  sont dans ces  rues, pour  la  majorité des jeunes.

Je passe  à côté d’eux  sans crainte, je suis née  ici, je  connais leurs mères même s’ils  l’ignorent. Pourtant leurs regards glissent sur nous avec  surprise.

Pour moi je  comprend, je dois avoir  l’air  d’une folle  en fuite, les  yeux  brillants, cernés  de  noir, traînant un homme derrière moi. Mais  lui, il est bien habillé, décontracté sans avoir l’air débraillé, bien coiffé, bien rasé, simplement l’air fatigué. Pourtant j’ai l’impression que certains jeunes reculent ou se  lancent des regards étranges sur  son passage. Tant  pis je  me  poserai des  questions plus  tard.

J’arrive  enfin à la  vieille  porte  de  bois complètement défoncée. A mon époque il n’y avait que le verrou qui pendait, là c’est toute la porte qui joue la bascule, retenue que par le gong du bas, les planches craquées par nombre d’endroits.

Nous  pénétrons dans la bâtisse délabrée, et  je l’entraîne  dans  l’obscurité en jetant  un dernier coup d’œil à ses yeux.

Je  vois dans  son regard qu’il se  demande  ce  que  je  compte  faire  de  lui. J’évite les  capotes usagées et enjambe les canettes de bière avant de commencer  à monter l’escalier de  bois.

Certaines  marches sont  éclatées, et  toujours  en silence  je le guide, posant ma main sur  son torse  pour  le  retenir  lorsqu’il s’apprête à poser le  pied sur  une mauvaise  marche. Mes doigts s’appuient sur le tissu, glissant sur sa peau juste en dessous.

Ce  contact m’électrise et si je  pouvais, je  crois que  je  monterai des escaliers  toute  ma vie rien que  pour pouvoir encore le  toucher. Je  m’essouffle rapidement, ma respiration se  fait rauque, et  dans  le  silence  de la demeure sombre et vide, elle  ne fait que résonner.

Je me tourne vers  lui et  lui adresse  un sourire les  lèvres entre ouvertes, je vois qu’il les  fixe et reprend ma montée pour enfin arriver à une  échelle de métal.

Nous  nous  immobilisons tous deux  au pied, et  il s’approche  doucement  de moi, je  sens sa main effleurer ma taille, ses  yeux  sont  brillants et  il s’approche de  moi.

A cet  instant  la partie de moi qui a  été blessée et  qui, désormais, est plus  méfiante que jamais ressort, et  je  recule vivement  d’un pas. La panique dans le regard. Je murmure :

-Pas  toi…

Non pas  lui, faites  qu’il ne fasse pas  comme  Jim, je ne veux pas lui faire  du mal. Je ne veux pas  souffrir  à nouveau.

Sans  l’attendre je grimpe  à toute  vitesse l’échelle rouillée aux  barreaux  manquants, et  jaillis  sur  le  toit  de  l’immeuble  comme  une furie. Une rafale de vent me fouette le visage, repoussant mes  cheveux en arrière, rafraîchissant mes joues en feu.

J’inspire  à nouveau calmement, son contact me  manque et  m’effraie  à la  fois. Je l’entends monter derrière  moi, il est encore  là. Il ne  me  laisse  pas  seule.

 J’avance doucement vers  le rebord et plante une fois de plus mes ongles dans  le dernier bout de rambarde de bois encore dressé. Je baisse les yeux vers mes mains et contemple les dizaines de traces d’ongles taillées dans le bois humide.

Chaque fois qu’on m’a fait du mal je  suis venue… Vingt trois fois en tout. C’est la  première fois  que  je  suis  accompagnée.

Je me retourne vers  lui et  lui prends la main avec  un sourire  d’excuse  pour  mon comportement précédent. Il me  suis calmement jusqu'au rebord de  l’immeuble, je le sens se raidir.

Sa main oppose  une  résistance  à me  suivre. Ses  yeux  lancent des éclairs, il a  peur que je saute.

Je m’avance vers  lui, dépose  un baiser sur sa joue et l’entraîne à nouveau vers le bord avant de  m’asseoir sur la pierre chauffée par le soleil, les  pieds dans le vide et les cheveux dans le vent.

Par Absynthe - Publié dans : Pure Vengeance (Finie)
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Mercredi 10 septembre 3 10 /09 /Sep 15:08

Elle s’est arrêtée, devant une échelle complètement usée par la rouille, des barreaux manquants, rien de très solide.
Elle plante son regard dans le mien, ses yeux tremblants me supplient de ne pas la laisser seule elle me supplie de tout faire pour la sortir du gouffre dans la quelle elle s’est laissée tomber.
Je m’approche lentement, tentant de la prendre dans mes bras, j’avais l’impression qu’elle avait besoin de contact mais en fin de compte c’était tout le contraire. Elle me repousse brusquement les yeux apeurés, ce n’est pas moi qu’elle regarde. C’est le visage de son criminel qui l’a hante, le visage de celui qui l’a détruite…qui l’a poussé dans le gouffre. Je me mords la lèvre inférieure de regret, pourquoi j’ai fait ça ?

- Pas toi…, elle murmure

Sans même que je puisse m’expliquer elle gravi l’échelle rapidement semblant avoir l’habitude de le faire. J’ai l’impression qu’elle a l’habitude de venir ici, une habitude assez touchante se rattacher ainsi à des souvenirs ou des sortes de thérapies pour se calmer fait très « petite fille ». Je souris et monte à mon tour plus méfiant de la fiabilité de cette vieille échelle.

Les rayons du soleil m’éblouissent, mes yeux torturés par des nuits blanches et interminable crient leur mal en faisant jaillir quelques gouttes. Je les essuie d’un revers de manche pour la voir là, près du bord, les mains totalement crispées sur le bois.

Je ne la laisserai pas seule car ça signifierai que c’est moi aussi que j’abandonne. Je ne laisserai plus personne seule, elle hérite de la corde qui me tient à la vie. J’ai la sensation qui si je venais à ne plus jamais la revoir…je perdrai tout espoir. Elle est mon seul espoir comme je suis le sien, son seul recourt pour crier son SOS, le résultat d’un long moment de solitude et d’incompréhension.

J’aimerai qu’elle me parle, j’aimerai m’excuser pour ce que j’ai fait. M’excuser d’être un homme, m’excuser de ne pas être à la hauteur. M’excuser d’être un « ange gardien » déchu.

Elle se retourne souriante, s’approche doucement et me prend la main avec autant de délicatesse que dans la rue, comme si elle était fragile ou précieuse, comme si elle avait peur de me casser…

Belle et fragile.

Elle me guide à pas lent vers le bord, je la suis doucement que voulait elle me montrer ? Tout d’un coup l’idée même qu’elle veuille quitter ce monde me frappe ! Je retire ma main comme si elle piquait, je retire ma main pour l’empêcher de continuer ! Ne sachant pas lui lancer un regard suppliant c’est un regard noire plein de déception qu’elle reçoit de plein fouet. Je refuse qu’elle s’en aille, je refuse qu’elle me laisse ! Je lui en veux de vouloir partir, je lui en veux ! Pourquoi hein ? Pourquoi vous voulez tous me quitter ? Suis-je si mauvais ? Suis-je condamné à vivre seul pour le restant de mes jours arrêter des petits criminel amateur ou chercher désespérément celui qui m’a voler mon meilleur ami ? Même si je connais très bien le coupable…je suis le coupable de mon propre malheur. Pourquoi cherchez vous à me détruire ?

C’est doux, c’est chaud. Elle me dépose un baiser tendre sur la joue, ce baiser me caressa la peau en éparpillant des sortes d’ondes dans tout mon corps, tel un cailloux que jetterai dans un lac faisant remuer l’eau ; c’est mon cœur qu’elle remue, qu’elle réveille, qu’elle réchauffe. Un cœur trop longtemps rester debout dans les neiges éternelles de mon âme trahis. Elle me prend la main et me sourit à nouveau, tous mes muscles qui s’étaient crispés peu avant se détendent.

Je te fais confiance, ne me trahis pas.

Elle s’assoit sur le rebord, le regard vers l’horizon, les pied dans le vide, ses cheveux bruns ne faisant qu’un avec le vent frais. Je m’assois à mon tour avec précaution, je continue de la fixer, son sourire ne s’est pas éteint. Que cherches tu dans l’horizon ? Un avenir ?

Je regarde à mon tour le soleil frappant de plein fouet toute la ville, les nuages disparaissent petit à petit laissant entrer un nouveau souffle, un nouvel avenir qui comble mon cœur d’un morceau d’espoir et de rêve.

Elle était mon sauveur et deviendra certainement une drogue.

- Je viens ici souvent…ça m’aide à me calmer. Dit elle d’une voix douce mais cassé par ses anciens sanglots

- C’est une belle vue. Je dis simplement

Je la vois fermer les yeux appréciant la chaleur du soleil sur son visage, s’entend que peut être enfin les choses allaient changer. Mes yeux s’abaissent vers sa petite main fine et élégante poser sur la pierre tiède, une main laiteuse faisant ressortir son air angélique, j’approche la mienne doucement. Mon petit doigt frôle le sien, le caressant à peine et recule de peur qu’elle réagisse comme tout à l’heure, je lève les yeux, pas de réaction alors je continu l’approche. J’ai l’air d’un ados à son premier rendez-vous que c’est pathétique !

Je pose mon petit doigt sur le sien, puis laisse ma main se poser totalement sur la sienne doucement essayant de passé mes doigts entre les siens, elle cède le passage. Je relève les yeux, j’ai jamais été aussi gêné ! Je rougis légèrement, elle sourit encore plus et semble presque amusé par la situation, de honte je regarde à nouveau le soleil essayant de caché ma gêne. Je laisse ma main et elle ne bouge pas la sienne, je sens son regard posé sur moi, ses yeux émeraudes me dévisagent. Elle s’approche brusquement et dépose un baiser chaste sur mes joues en feux, ce qui ne fait qu’accentué mon malaise. Je la regarde du coin de l’œil pour enfin me tourner totalement vers son visage rayonnant.

Est-ce que le simple fait que je lui ai pris la main lui fait du bien ? En tout cas moi ça me rend…heureux.

Heureux d’être près d’elle j’aimerai que cette journée ne se termine jamais…mais toutes les bonnes choses ont une fin et c’est son petit corps posé contre mon torse, adossé au muret plus loin qu’elle regarde avec moi le soleil se coucher.

Une journée de confession silencieuse, une journée de réconfort. Je sens son corps s’alourdir, son âme meurtrie, trahie, assassinée ! S‘est risqué à me faire confiance en se reposant contre mon cœur battant mais par respect je ne l’ai pas entouré de mes bras, elle n’en avait pas besoin tout ce qu’elle voulait ce qu’elle puisse se reposer sur moi quelques minutes, elle voulait juste une présence pour ne pas se sentir seule. Je me contente de la regarder, ses yeux clos, le visage serein, ses petits poings comme un bébé. Elle se laisse aller dans un sommeil profond et sans rêves.

Par Absynthe - Publié dans : Pure Vengeance (Finie)
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