Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 14:12




Owen Carlisle 

Age : 

17 ans.

Description :

 Yeux très clairs, bleus-verts, cheveux brun foncés, courts, presque noirs, peau hâlée.
Très musclé pour son age, assez grand 1m85 pour 85kg.

Caractère : 

Très fort. Souvent révolté envers et contre tout à l’image de ses amis de la cité. Se borne souvent à être comme ses camarades, buté borné, malpoli et bagarreur même si au fond il est très intelligent. Il choisit la voie de la facilité, et a pris leur attitude pour être mieux accepté parmi eux, même si à chaque fois qu’il faut réfléchir avant d’agir (chose rare) c’est lui le cerveau du groupe de petites racailles de bas quartier.

Passé :

 Sa mère l’a élevé seule sans lui parler de son père après que celui-ci l’ait quittée alors qu’elle était enceinte. Il a apprit à voler, à frapper et à faire peur sans en avoir réellement besoin. Juste pour faire comme les autres et il y a pris goût. Très vite accepté dans la cité grâce à ses petites frappes, il a rapidement pris la place de second leader d’un grand groupe de jeunes. Non pas qu’il n’aurait pu avoir la première place, mais simplement qu’il a préféré être le second pour pouvoir manipuler dans l’ombre, donner des ordres sans en subir les conséquences. Tenir le « peuple » de la cité en laisse sans subir leurs humeurs qui sont réservées au véritable chef. Complètement perdu à la suite de la disparition de sa mère et son arrivée dans la maison de son père.




Par Absynthe - Publié dans : Fiches des Personnages
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Mardi 9 septembre 2 09 /09 /Sep 12:55



Yow every body ou celles qui restent ^^!
Je suis officilement rentrée chez moi ^^!!!!!
Heureuses?
Moi trop!
Breffouille je vous met ce chapitre, j'attends vos réactions, et après je vous colle la suite (ouiii j'ai encore un article de pret)
Là maintenant tout de suite jvais suiter le Grenat Bleu (je rappelle au passage que c'est mon histoire préférée)
En image vous avez mon chtit Bohemio (PSE, Pure Race Espagnole, donc cheval de dressage  par excellence, et non de cirque. On observera ici, THE bond de poulain pour trois pauvres  bidons (il a cinq ans et la dernière fois que j'ai sauté stait l'année dernière, il a une excuse) et  mes jambes complètement à l'ouest tellement j'ai été surprise xD)
Voili voilou, bonne lecture!
Oubliez pas de commenter, même quelque chose de court, même si ça fait très longtemps que  vous n'avez pas laché de commentaire, je comprends que ce soit relou à faire, je vous en voudrais pas.


***

Le chef de quartier ouvrit la bouche pour parler lorsqu’une voix glaciale et à la fois moqueuse le coupa :

-Non Samuel, tu n’as pas besoin de nous laisser, mon ELEVE va sortir de chez son professeur assez rapidement et va aller travailler ses cours pour lundi dans sa petite chan-chambre, avec ses petits stylos et ses petites feu-feuilles. C’est de son âge après tout. Il devrait avoir compris qu’il faut laisser les adultes tranquilles, surtout maintenant qu’il a réussi à foutre toute la merde qu’il voulait dans ma vie...

–Sébastien ! Coupa Samuel outré, les yeux grands ouverts.

–Quoi ?! C’est quoi ton problème à toi ? Ah ouai c’est vrai ça t’arrange tout ce qui m’arrive, t’as pu te faire sauter, et t’as ramené un autre pigeon dans la communauté gay.

–Mons…

-Oh et toi arrête et casse toi ! T’as réussi tout ce que tu voulais ! J’ai trompé ma copine, j’ai eu envie de toi, j’ai rompu l’une des premières règles du professorat, je me suis tapé mon meilleur ami, tu veux quoi ENCORE ?! T’as l’intention de piétiner ma vie jusqu’à ce qu’il ne me reste plus rien ?! C’est ça ton kiff ? Détruire la vie des gens ? Dégage maintenant putain ! Dégage !

 

La porte claqua une première fois. Un silence s’étendit. Puis elle claqua une seconde fois et Sébastien se retrouva seul dans la cuisine de son appartement, trois tasses de café encore fumantes dont une pour lui, et des petits pains encore chauds qu’il devinait de Miyavi devant lui. D’un grand coup de bras en envoya le tout sur le sol, se maudissant par la suite pour les taches de café sur la tapisserie…
En bas de l’immeuble, une autre scène se déroulait. Deux hommes se dévisageaient le visage grave. L’un impassible, le plus jeune, et l’autre affligé, triste. Le second se laissa tomber sur les marches et enfouit son visage dans ses mains, bientôt rejoint par Miyavi qui glissa une main sur son avant bras, assez doucement pour mettre le mannequin en confiance et qu’il laisse choir sa tête sur l’épaule de l’élève.

–Je déteste les coming out, soupira-il.

 

Tous deux éclatèrent d’un rire nerveux, et le silence revint.

–T’as l’air secoué par ce qu’il a dit.

–Pourquoi tu dis ça ?

–Bah… T’es un peu en slibard en pleine rue quoi…

 

Le brun cessa de respirer quelques secondes, le temps de vérifier qu’effectivement, il était à moitié à poil en pleine rue.

–Je déteste VRAIMENT les coming-out.

 

Ils rirent à nouveau nerveusement, puis Sam souffla dans le cou du jeune aux cheveux noirs :

-T’en fais pas, il ne pensait pas ce qu’il disait… Ca fait toujours mal de se sentir accusé de toutes les mauvaises choses qui arrivent dans la vie de quelqu’un. Mais là il avait simplement besoin de reprendre sa vie en main, de mettre la faute sur quelqu’un. En l’occurrence nous deux.

–Je sais bien ne t’en fais pas, répondit Miyavi.

 

Avisant une vieille dame choquée de les voir ainsi sur les marches d’un immeuble il ajouta :

-Bon, je vais te laisser, il ne fait pas chaud et j’ai des choses à faire. On se reverra sans doute un jour je pense…

-J’espère oui.

–Oh c’est mignon ça, sourit le plus jeune en se redressant et tendant la main vers le mannequin qui la saisit pour se relever à son tour.

 

Ils échangèrent rapidement leurs numéros de téléphones, et au moment de partir le chef se retourna.

–Ah, j’allais oublier, fit-il avant de se coller contre le corps de Samuel et de chuchoter à son oreille, Tu danses comme un dieu.

 

Le châtain lui fit un clin d’oeil :

-Je suis sur que tu débrouilles mieux que moi. Faudra vérifier. J’ai une semaine de congé d’ici un mois. Essaie de te réconcilier avec Seb d’ici là ok ?

–Ca je ne sais pas si je peux te le promettre… Je n’ai pas l’habitude de me faire jeter comme il l’a fait. Déjà je ne le tue pas, c’est pas mal. Mais de là à lui courir après…

 

Samuel éclata de rire :

-Tu fais presque peur quand tu parles comme ça. On croirait que tu es sérieux !! Allez à bientôt !

 

La porte de l’immeuble claqua et Miyavi se retrouva seul dans la petite ruelle miséreuse. Il contempla du coin de l’oeil les murs décrépis, les tuiles brisées qui jonchaient le sol, les quelques fils à linge tendus d’un côté à l’autre de la rue, et tourna les talons, s’alluma une cigarette et chuchota :

-Si tu savais Samuel…

 

 De retour à l’étage deux hommes se contemplaient en chiens de faïence. L’un avachi sur le canapé avec une bière à à peine midi, l’autre appuyé sur le chambranle de la porte, les bras croisés, semblant attendre quelque chose. Les minutes passaient, aucun d’eux ne bougeait. Finalement Samuel soupira et partit en direction de la chambre à coucher. Il entendit murmurer derrière lui :

 -Excuse moi…

 

Mais il ne s’arrêta pas, et continua son chemin, ouvrant la fenêtre pour aérer, saisissant son sac et jetant ses affaires à l’intérieur. Le plancher grinça à la porte, Sébastien était là. Il répéta plus fort :

-Excuse moi. Je le pensais pas…

-T’es déjà pardonné, tu le sais.

–Hum…

 

Lâchant sa chemise, le brun se retourna :

-Seb, est-ce que tu…

-Oui, ne t’en fais pas. A vrai dire ça a été meilleur qu’avec toutes mes copines réunies…

 

Une lueur d’amusement glissa dans les yeux noisette, effrayant un peu les verts, et il s’avança d’un pas félin.

–Sam, tu vas rater ton train…

-On peut faire ça vite.

–Quitte à le faire je préfère prendre mon temps, vois-tu.

–Alors je prendrais le prochain.

–Il sera bien trop tard, et Cathy va pas tarder à rentrer.

–Mais et si je…

-Non Sam. Et même avec ces yeux là. Arrête ça suffit, j’ai besoin de pouvoir la plaquer en paix, je pourrais pas le faire si t’es là.

–Ah tu vas la lâcher ? Vraiment ?

–Bah comment veux tu que je reste avec elle quand je couche avec mon meilleur ami et que je bave sur l’un de mes élèves ?

–Hum t’as raison. Je file avant qu’elle rentre. La connaissant ça va être une vraie furie, fais ça en douceur.

–T’en fais pas pour ça, je maîtrise !

–Bon et sinon, t’es sur qu’on a même pas le temps de…

-Non ! Allez sauve toi tu vas rater ton train !

 

Sébastien poussa le mannequin jusqu’à la porte, et une fois dans la cage d’escalier, le saisit par le col et écrasa ses lèvres contre les siennes, en un baiser doux, presque tendre, avant de lui sourire innocemment et de claquer la porte sous son air ébahi. Une fois le panneau de bois fermé, il s’appuya un instant dessus, et prononça quelques mots assez fort pour provoquer une pluie de coup sur les planches :

-Pfiou ! Heureusement que tu pars… Un peu plus et je craquais !

 

*Ellipse de quelques heures*

 

-Cathy, je suis désolé mais c’est fini entre nous, ça n’allait plus de toute manière et puis… Heu… Non, non, non… Cathy ! Faut qu’on parle. Je casse. Non… Cathy? Tu me gaves, tu me répugnes, je veux casser, alors tu prends tes clics, tes clacs et surtout tes choux et tu bouges de chez moi. … Trop brusque… Cathy ? Ma chérie, il faut qu’on arrête tout, ça mène à rien notre couple tu le sais… J’ai plus envie de toi, rien que l’idée d’avoir à poser mes doigts ou ma langue sur… Eurk. Trop détaillé. J’en ai maaaaarre.

 

18 heures trente, devant le miroir de la salle de bain, Seb s’entraîne.

–Faut que je trouve un truc… Une lettre ? Je me sauve ? Je pars ? Ah non, je vais lui parler d’une pause. Tout en douceur. Voilà ! Parfait mec. T’es le meilleur. Roh pis en plus t’es beau gosse.

 

Il se fit un petit clin d’oeil à travers le miroir, suivi de son sourire le plus ravageur tant travaillé, leva les yeux au ciel devant tant de bêtise et se tourna vers la porte dans l’idée de sortir de la pièce.

–HAAAAAAA(etc)AAA.

 

Une main cramponnée au niveau de son coeur, le jeune homme tente de reprendre un rythme cardiaque correct :

-Bon dieu de merde, mais t’es là depuis quand ?!

–Depuis « T’es le meilleur. » mon choupinou.

 

La jeune femme s’avance d’un pas en avant, Seb recule du même.

–Ah donc t’as rien entendu avant ?

 

La blonde lève la main pour caresser le visage du professeur, ce dernier détourne la tête.

–Non rien du tout. Enfin je t’ai entendu marmonner, mais je ne saurais pas dire quoi. Qu’est-ce que tu as mon chou ?

 

Nouvelle tentative d’approche, nouvelle esquive. Une grimace s’installe sur le visage masculin tandis qu’il cherche une manière de sortir de la salle de bain sans effleurer la demoiselle devant lui.
Demoiselle qui n’arrête pas d’essayer de le toucher avec ses petites mains qui ne valent rien face à celles de Miyavi ou de Samuel. Celles du premier sont divinement fines, douces, parfaites. Celles du second terriblement masculines, mais pas calleuses ou désagréables au toucher. Juste délicieusement viriles. Ces mêmes mains qui cette nuit l’ont…

-Ben mon chou d’amour, t’es encore fâché ? Fais moi un bisou réconciliateur !

 

Les yeux du jeune homme s’écarquillent en voyant approcher de lui de petites lèvres tendues dans sa direction. Ces lèvres appartenant à cette chose si féminine, si molle, si…

-ME TOUCHE PAS JE SUIS GAY.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Mardi 9 septembre 2 09 /09 /Sep 14:21



Petit conseil, vu le long moment sans MAJ, relisez les premiers chapitres avant de lire celui ci. Je
publierais les cross overs bientôt, vous n'allez pas regretter *sourit bêtement*
En image... heu ben encore un truc qui n'a rien à voir mais c'est encore un passage de Black Snake Moan que j'ai adoré, je trouvais qu'elles étaient trop belles à danser toutes les deux.
Bisous, oubliez pas les commentaires... S'il vous plait... Un chtit effort... Allez  quoi... Comment ça je crains xD?

Chapitre 4 : Raziel



A ces mots Carlisle abandonna les quatre jeunes pour redescendre au rez-de-chaussée régler de la paperasse, non sans oublier de caresser du bout des doigts la hanche du petit blond qui lui renvoya un immense sourire éclatant de blancheur.

A la seconde même où le roux disparut dans les escaliers ce dernier se retourna vers ses collègues et articula silencieusement « Con-nard de mer-de ! ».

De grands sourires compréhensifs s’étalèrent sur les visages devant lui, bien vite effacés par le nouveau problème du jour.

–Son fils ?! S’exclama Indigo, l’air estomaqué. J’ignorais qu’il savait procréer…

-Il est plutôt beau mec je trouve, lança Ambre l’air de rien.

-Pauvre môme, perdre sa mère à son âge, souffla Plume qui était ressorti de ses appartements après s'être heurté à une porte close.

 

-Quand je pense que je vais devoir prêter mes vêtements à ce sale gosse, soupira Raziel l’air blasé, il extirpa une petite boîte de cigarettes étrangement coniques de sa poche,  mais le blond lui attrapa la main avant qu’il n’en porte une à sa bouche.

-C’est interdit dans la maison. Et puis tu as dit que tu allais arrêter… L’opium de la salle d’eau ne t’a pas suffit ?

-Ambre, occupe toi de ta manucure s’il te plait, souffla Raziel d’un ton doux mais ferme. Je fais ce que je veux, et l’idée d’avoir un mini Carlisle dans la maison ne me fait pas franchement plaisir.

Il marqua une pause le temps d’allumer le bout de la tige et ajouta :

-Donc je pense avoir droit de me calmer les nerfs comme je l’entends. Quelque chose à redire ?

 

Plusieurs mètres et deux ou trois cloisons plus loin, Owen reprenait doucement ses esprits.

Tout le stress de son envie pressante était à présent retombé, et le drame qui venait de bousculer sa vie lui revint à l’esprit comme un refrain d’une chanson détestée que l’on souhaiterait oublier. Refrain funèbre, larmes de crocodile.

De grosses perles d’eau salée s’écoulaient sur ses joues sans qu’il puisse les arrêter. Ses mains les effaçaient systématiquement, étalant plus qu’essuyant.

Aucune envie de s’arrêter. Encore moins la possibilité. Owen passa son visage sous l’eau glacée du petit lavabo où reposait une panoplie de maquillage sombre et de bijoux gothiques.

Sans doutes ceux du ridiculement nommé Plume se dit-il.

Relevant les yeux vers la glace il se figea sur ses yeux rougis par ses larmes qui rendaient le vert de ses iris encore plus irréel. Mais pas aussi beaux que ceux de sa mère…

Une nouvelle montée de pleurs semblait prête à jaillir, aussi il se précipita hors des toilettes et chercha la sortie sur le couloir.


S’il y avait du monde autour de lui il ne pleurerait pas. Trop fier, il le savait.

Lorsqu’il y parvint ce fut pour être littéralement harponné de regards tous différents.

Le premier, celui d’Ambre, totalement transparent dans son étude physionomique approfondie  du corps du jeune homme devant lui. 
Venait ensuite celui gêné du châtain aux cheveux mi-longs, Indigo, qui fuyait son regard jusqu’à ses pieds nus sur le sol de marbre.

Puis celui compatissant de Plume, presque peiné pour lui, et enfin celui tout à fait indifférent de Raziel. D’ailleurs tout compte fait il ne le regardait même pas. Plutôt intéressé par la cendre qui se formait au bout de son joint.


Malgré cela, chacun avait pourtant pu admirer la superbe du nouveau venu, y compris Raziel qui avait jeté un coup d'oeil discret sans être vu des autres.


Même peiné, même blessé il demeurait fier, un port de tête digne d’un roi, un regard meurtrier au possible, sans que les larmes qui pointaient au bord de ses paupières puissent entacher une once de sa classe naturelle qui semblait être une aura volatile autour de lui.

-Quoi ?! Vous avez un problème ?! Vous voulez une photo peut-être ? Mon numéro ?!

Ambre réagit au quart de tour et s’avança vers le brun avec un sourire carnassier avant d’être coupé par Raziel qui avait déjà tourné le dos au groupe en recrachant sa fumée:

-Et bien moi je le veux bien ton num…

-Allez amène toi, je vais te donner des vêtements…

-Mais hé !

-Puis tu pourras aller te doucher...

-Mais…

-Tais-toi Ambre, et ensuite vous irez à votre enterrement.

-Mais je…

-Ce n’est vraiment pas le moment de le draguer Ambre.  
La voix du brun aux cheveux longs s’était faite dure. Immédiatement, son sourire disparut, laissant un air coupable sur son visage de poupée, et il baissa les yeux avant de partir vers ses appartements sans plus regarder le nouveau.


Nouveau qui restait planté là encadré par Plume et Indigo, un peu en retrait comme extérieur à la scène, observant Raziel s’éloigner.


Passé quelques secondes ce dernier s’immobilisa dans le couloir et se retourna vers lui :

-Bon tu viens ?

Sans répondre Owen s’avança vers lui et marcha sur ses talons jusque dans sa chambre aux tons rouges, oranges, ocre et jaunes. Le genre de couleurs qui réchauffaient habituellement tout son être mais qui cette fois le laissèrent de marbre. Son cœur semblait rester désormais imperméable aux douceurs extérieures. Un cœur froid. Mort. Bleu.


Le brun le conduisit jusque devant son armoire dans un mot, le visage totalement fermé et Owen ne put s’empêcher de remarquer à quel point toute son attitude était différente de celle qu’il avait lorsqu’il jouait du violon.

« Tu ne m’aimes pas, je ne sais pas pourquoi mais c’est ainsi. Crois moi, je ne t’apprécie pas non plus. »

-Tiens.
L’habitant de la maisonnée lui tendait un costume noir ainsi qu’une chemise et des chaussures de la même couleur, et enfin une ceinture à la boucle argentée. Dolce Gabana. « Rien que  ça… »

Owen leva les yeux vers son ainé et le fixa sans prendre les vêtements. Ils s’étudièrent en silence, Raziel toujours les bras tendus vers l’autre, immobile, calme, irréel. Finalement il s’en saisit, les lui arrachant pratiquement des mains et sans le remercier fit deux pas en arrière.

« Fais un geste de travers, donne moi une seule bonne raison de te rentrer dedans sale con… Allez vas-y. Après ça tu devrais... »

Mais rien, pas un signe. Simplement l’impression d’être jugé de haut, de très haut alors qu’ils  faisaient presque la même taille.

Sans même bouger le brun semblait avoir pris vingt centimètres, ses yeux s’étaient plissés très légèrement, juste assez pour comprendre l’essentiel : « Sale gosse. »

-Jme change où ?

-N’importe où tant que c’est hors de chez moi.

Il y eut une seconde de silence total, puis l’espagnol retira son t-shirt, dévoilant son torse aux yeux du plus vieux.

-Pourquoi ? T’as peur de trop aimer ce que tu vas voir ? 

Par Absynthe - Publié dans : Le Grenat Bleu (Yaoi)
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