Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:49

Je suis fatigué…

Je suis de mauvaise humeur, j’ai plus de clopes, les gars m’emmerdent et il faut que j’aille en boite.

Non mais vraiment… J’avais strictement aucune envie de venir. En plus une boite d’hétéros… Où va le monde franchement.

Quoi que je fasse, je n’arrive pas à ôter de mon esprit la scène d’hier, et ces cons veulent me sortir... 

 

Non mais comment voulez vous que j’oublie cette image : MON prof. Avec UN mec.

Avec moi il jouait la petite vierge effarouchée, l’homme fidèle à sa blonde, et en fait Monsieur a un copain.

 

Ca va pas se passer comme ça crois moi ! Jamais je ne me suis sentit aussi bafoué. Jamais. Vraiment jamais hein. Mais qu’est ce qu’il lui trouve à cet abruti de grand dadet de mes deux c…

 

Miyu ?

–QUOI ?!

–Tu comptes bloquer l’entrée de la discothèque encore longtemps ?

 

Le regard noir que je lançais par réflexe à celui qui a osé me déranger s’évanouit en une seconde pour afficher un air blasé.

La honte.

A cause d’un crétin de prof pas si hétéro que ça je me fous la honte en pleine boite.

Je passe ma main dans mes cheveux, remontant une mèche rebelle et avance, reprenant mon regard mauvais pour avoir de la place devant moi.

Mes trois gorilles m’encadrent et écartent les quelque crétins qui n’ont pas pigé à qui ils  avaient affaire.

Ca m’ennuie presque tous ces regards sur moi. Regardez ! C’est Lui ! Je sais déjà ce que tous  se disent :

« C’est le chef de quartier, le chef d’une moitié de la ville. Il est fort, presque imbattable, il tue facilement, c’est lui qui s’est occupé du dernier. Mais tu sais pas quoi ?! Il est gay ! Franchement mais quelle honte. Je sais pas comment les caïds font pour supporter d’être menés par une tarlouse. »

Et nianiania, et nianiania. Comment ils font ? Ils ont tout simplement peur de moi. De moi et  de ma famille. Et puis j’ai sauvé la vie d’une bonne partie d’entre eux…

Ca compte ça aussi…

En gros, mon « règne » est basé sur la peur et le devoir. Même pas sur le respect et l’obéissance. Je ne suis l’égal de personne ici. Ceux qui ne me connaissent pas sont effrayés par ma garde personnelle et changent de comportement.

Alors que lui…

Lui il ne savait rien de moi. Lui il n’a pas été plus patient avec moi parce que je suis chef. Lui m’a bien fait comprendre que je l’emmerdais. Et même après s’être fait massacrer par la milice il n’a rien changé.

Bon je le soupçonne de ne pas avoir capté qu’il avait mis les pieds dans un gros pétrin.  Il est resté le bon petit professeur.

Gentil, mignon, adorable, candide.

Candide ? Pff tu parles.

Faux cul surtout. J’y avais vraiment cru à son numéro du mec qui tient à son couple, du gars  qui ne pense pas être bi, encore moins gay. Ca m’avait d’autant plus attiré…

 

Je prends une grande bouffée d’air enfumé, et m’installe dans le carré VIP.

Le carré.

Mon carré.

Même quand des stars sont là elles se font jeter pour que je puisse avoir mon coin. Ca c’est carrément jouissif. Un petit sourire narquois s’installe sur mon visage.

Bon finalement, meneur de quartier ce n’est pas tant que ça la poisse…

Bref, je m’installe donc dans Mon carré, en compagnie de Mon passe temps. J’ai nommé : Gackt.

Bon il est beau, il baise bien, mais il est niais et carrément futile. Monsieur je cultive mon image de petite chose toute pâle, frêle, mignonne, superbement coiffée etc. etc.

Mais en attendant d’avoir mieux je le garde, de toute manière il se plie en quatre pour moi, dans tous les sens du terme, donc je ne peux pas ne pas l’apprécier.

Je m’enfonce progressivement dans le sofa de velours rouge et laisse glisser mes yeux sur les  couples dansant. Le carré est légèrement surélevé de la piste, on peut tout voir de là haut, et  bien entendu, on est vus, je contemple la foule, rien de bien passionnant à observer pour le  moment.

Les minutes passent, Gackt tente vainement de s’incruster près de moi. Mais il n’en est pas  question, tant que je ne l’ai pas décidé il doit rester à distance.

Je croise négligemment les jambes, appréciant les nombreux regards sur moi à ce geste. Je  sais que je plais, je sais qu’on m’envie et me désire. Ce n’est pas la peine de me couvrir d’une  fausse modestie, je sais ce que je vaux.

 

Un nouveau mouvement de foule s’installe, j’observe tous ces gentils moutons s’écarter sur le  passage de deux nouveaux.

On ne me regarde plus durant un instant.

Même Gackt a changé d’orientation visuelle. Je ricane doucement. C’est une blague grandeur  nature.

Je suis maudit.

Il doit y avoir une bonne dizaine de boites dans la ville, quatre d’entre elles spéciales gays, et  Ils ramènent leur divin popotin dans la seule où je me trouve…

 

 

 

***Niark Niark... Aby ou la fille capable de faire des articles 100% inutiles en toute circonstance ^^"...

Vi le second arrive dans quelques minutes promis!***

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:50

Le mec de mon prof me fait vaguement penser à une sorte de félin en pleine chasse, glissant  entre les danseurs comme un serpent autour du cou de sa proie, lançant tous les cinq pas un regard derrière lui, vérifiant si son cher petit ami est toujours avec lui. J’avoue.

Il est beau.

Diablement beau même.

 

Mais ce connard a réussi à avoir ce que moi j’ai désiré. A savoir le beau châtain aux yeux verts qui marche à sa suite. Il est magnifique ce soir, tout son corps est moulé dans ses vêtements serrés contre sa peau, et sa démarche si elle n’est pas aussi féline et sexy digne d’un podium de mannequinât, est au moins naturelle et engageante.

Il semble n’avoir rien à prouver à quiconque.

Il est beau, tout le monde le voit mais il n’en joue pas. Il n’a pas mon âme taquine du genre à se servir de tous ses atouts pour en mettre plein les yeux à ceux qui nous entourent.

Par contre l’animal devant lui maîtrise parfaitement l’art d’attirer les regards.

Oh non mes poulets, vous n’allez pas vous mettre à danser devant moi comme ça, c’est indécent…

 

La musique est encore enjouée, pas de risque de rapprochement, mais dans le doute j’agite  ma main et mes trois gorilles ainsi que deux des videurs se précipitent vers moi.

L’un un verre à la main, l’autre un briquet dans le creux du poing au cas où, un autre sort un paquet de cigarettes, j’esquisse un sourire, ils sont adorables.

Je fais signe à l’un des videurs de s’approcher, un magnifique hispanique, quitte à se frotter à quelqu’un, autant que ce soit le plus beau quand même.

Je vois Gackt grimacer à mes côtés, çam’agace, je lui avais appris à ne pas être jaloux, ou à très bien le cacher… Ma main glisse dans le cou du jeune homme et je l’attire vers moi si bien qu’il est forcé de poser un genou sur le rebord de la banquette, et une main sur le dossier pour ne pas tomber à la renverse.

T’es mignon, tu me gicle les deux stars de la piste, ça me ferait vraiment très plaisir.

Je papillonne des cils et relâche sa nuque, soufflant une dernière fois dans son cou, il se  redresse de toute sa hauteur et me fait un sourire doux, avant de se retourner et de se diriger vers la piste. La musique a changé, lascive, délicieuse.

J’observe un instant Gaurnier (Seb quoi). Il danse lentement, les yeux presque fermés, un léger sourire aux lèvres.

Magnifique.

Sublime.

D’un regard  j’envoie le second videur rattraper l’espagnol, et l’empêcher de casser ce moment de pure luxure. Mon futur se déhanche doucement sur la piste, et j’observe son ami s’approcher doucement de lui, glissant ses mains sur ses hanches et blottissant doucement son visage dans son cou.

 La foule semble s’écarter, un large périmètre se fait. Les couples se sont arrêtés de danser, tous les regardent, Gackt également. Ca m’agace. Je suis dégoûté.

Putain qu’est-ce qu’ils sont beaux.

Un rythme plus puissant fait glisser le mannequin dans le dos de Gaurnier, je le vois s’abandonner à lui, laisser choir sa tête en arrière, passer ses mains dans sa nuque, le laisser  se frotter contre lui.

Bon dieu de merde et son visage, douceur et envie se reflètent sur ses traits, ce mec est une bombe. Derrière lui le brun m’a vu, il me fait un sourire mais je vois dans son regard le désir puissant qui le submerge.

Pourquoi ce con me fixe-il comme ça ?! Une chaleur particulière s’immisce dans mon corps et  plus particulièrement dans mon bas ventre.

Je m’adosse contre le dossier du sofa et pose mes pieds sur la table basse, jetant un simple  regard vers Gackt qui se précipite dans mes bras, glissant sa langue dans mon cou.

Je frissonne et replonge mon regard dans celui du mannequin, un léger sourire aux lèvres tandis que le blondinet niché dans mes bras continue ses caresses, passant ses mains sur mon torse.

Il me rend ce même sourire et glisse ses mains sur le corps de mon professeur.

Nous ne nous quittons pas des yeux, il dépose un léger baiser dans le cou de son châtain, je  passe ma main dans les cheveux de Gackt et le laisse descendre sur mon torse, soulever mon t-shirt et embrasser chaque parcelle de ma peau.

J’observe le brun se tendre à cette vue, je lui renvoie un sourire sans aucune animosité.

Le morceau s’achève doucement, je remonte le visage de mon amant qui commençait à se faire trop entreprenant et me redresse légèrement.

A cet instant Sébastien ouvre les yeux, il tombe nez à nez avec les miens et je le vois sursauter. Tiens ?

Son visage se tord d’un air affolé. Alors comme ça tu sais que ce que tu fais est… Mal ?

Je lui renvoie un regard noir.

S’il avait eu un regard normal je n’aurais presque rien dit, et aurais ravalé ma  fierté. Mais là il semble avoir l’impression d’avoir fait une bêtise. J’en déduis que je fais  partie d sa vie.

Dans ce cas il n’avait aucun droit de faire ce qu’il a fait… Perdu dans mes pensées je sens Gackt s’agiter à mes côtés, une lueur de colère passe dans mon esprit et j’agrippe ses longs  cheveux blancs et l’attire d’un coup sec vers moi, lui penche la tête sur le côté et l’embrasse  furieusement, le laissant se tordre sous moi, ne cessant de fixer mon professeur.

 

Tu vois mon chou. On est à égalité maintenant.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:54

Je détourne rapidement le regard d’une scène qui me fait mal pour je ne sais quelle raison stupide.

Bon dieu de merde.

Je suis prof.

Je suis prof, je suis vieux, j’ai une copine, et même un amant. Alors franchement arrête de te conduire comme un ado.

 

Une main sur mon épaule me secoue légèrement et m’extirpe de ma torpeur. Je me rends compte que depuis quelques secondes je ne fais que de fixer Miyavi…

J’avais détourné les yeux mais ces traîtres sont directement retournés sur lui.

Enfin…

Eux plutôt. Il serait difficile de ne pas voir l’espèce de chose collée à lui. Ce mec aux cheveux presque blancs.

Cette espèce de chienne en chaleur qui s’agrippe comme un koala à son arbre ou comme un paresseux à sa branche. Voir à une groupie sur son Bill…

 

Son comportement est ridicule.

Ridicule.

Vraiment ridicule.

Mais merde je crèverais pour être à sa place…

 

Je reporte mon attention sur Sam. Il me fixe tendrement, il n’a pas l’air blessé de mon manque d’attention envers lui, au contraire, une main se glisse sur ma taille et il m’entraîne vers le bar.

Il commande pour nous deux une boisson dont je ne connais ni le nom ni la contenance si ce  n’est un putain d’alcool ultra fort, et se penche vers moi avec un sourire adorable :

-Seb, je conçois parfaitement que tu soit jaloux de l’autre pot de colle, -Ne me coupe pas tu sais que j’ai raison- mais va pas te foutre dans cet état lamentable pour deux gamins. T’es prof bordel. T’es beau, t’es jeune, où est passée ta fierté ?!  

Je m’apprête à répondre une phrase bien cinglante mais il ne me laisse pas le temps d’en placer une et reprend sa tirade :

-Alors oui, avoir la haine je veux bien, être furieux, je l’accepte aussi… Mais  t’abaisser à les mater pendant trois plombes avec des yeux de poisson frit larmoyant tu évites la prochaine fois d’accord ?!

Je baisse les yeux, il m’agace à avoir toujours raison…

-Je… J’ai pas fait exprès, j’étais plongé dans mes pensées… Puis t’as vu comme il me regardait méchamment ?

–Si ça peut te rassurer je pense que c’est, tout comme devant chez  toi, de la  pure jalousie. Alors franchement te fais pas de mouron pour ça !

Je soupire et relève les yeux vers mon meilleur ami :

-Ca m’étonnerai, vu comme bouffait les lèvres de l’autre truc… Il s’en fout de moi.

 

Un mince sourire s’étira sur les lèvres de Samuel alors qu’il vidait son verre d’un trait avant de s’avancer vers moi et de donner un léger coup de langue sous mon oreille, m'arrachant un frisson au passage :

-Et toi, tu es jaloux de la blondasse et pourtant tu es avec moi. Je t’en prie réfléchis un peu avant de sortir des âneries. Maintenant tu m’excuses deux minutes, je vais voir le jeune homme là bas, j’ai l’impression de le connaître. Pas de bêtise ok ?

 

J’acquiesce douloureusement, plongeant toute mon attention dans le fond de mon verre, lui au moins il ne me fait pas défaut, je commande la même boisson et me tourne vers la piste, m’adossant au bar.

 

J’observe Sam danser avec un magnifique métisse aux cheveux tressés, je suis pratiquement bouche bée.

Autant lorsqu’il dansait avec moi, c’était sensuel, autant là ça  frise l’indécence. Son partenaire est atrocement souple, pire que de la pâte à modeler.

Les deux me font signe de les rejoindre mais pas question que j’y retourne, je ne veux pas sentir le regard de mon élève sur moi pendant que je me ridiculiserais aux côtés de deux folles ultra chaudes…

Pas que je danse mal non… Mais à côté d’eux…

Pfiou.

 

Je vide mon verre et en recommande encore un, l’alcool me grise doucement. Je me sens bien.

Les minutes passent et je me détends de plus en plus. Quand soudain, j’aperçois du coin de  l’œil un Miyavi cherchant quelqu’un.

Deux grands débiles l’accompagnent, je me demande où est sa blondasse… Je repère le blond  juste derrière eux, un air outré ancré sur le visage.

Déjà ce n’est pas lui qu’il cherche. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi ces deux trucs  lui collent aux basques.

Un vague souvenir me traverse l’esprit. Il parlait de chef de quartier mardi matin je crois…

Alors c’était vrai… Je soupire et repose mon verre sur le comptoir puis règle et me retourne, avant de sentir une fois encore son regard qui me transperce.

Il fait un pas vers moi, poussant quelques midinettes perdues devant lui.

Je soulève un sourcil, puis le foudroie du regard, tentant de faire passer toute ma haine dans  cette mise en garde, oscillant de lui à son petit « copain » qui l’accompagne.

Il cille doucement.

C’est bien tu as compris ducon.

Toutes les bonnes paroles de Sam son envolées, j’ai décidé de jouer l’immature et lui lance un dernier regard assassin avant de lui tourner le dos et de me diriger vers les toilettes.

Zone de repli stratégique si on est une gonzesse…

 

Mais je dois dire que maintenant que je passe la porte, qui n’a d’ailleurs pas arrêté de changer de place pendant que je tentais d’attraper la poignée, que c’était une idée stupide.

J’aurais du aller sur la piste.

Crétin. Crétin, crétin, crétinnnnn.

 

Je m’asperge le visage d’eau, et espère secrètement qu’il a assez d’amour propre pour ne pas me suivre jusque là. Une main s’abat sur mon épaule, je soupire.

Finalement il n’en a pas.

 

Je me retourne lentement vers lui et tombe sur un torse.

Juste un torse. Je  baisse les  yeux, un torse pourvu de jambes, de bras… Oh… Enormes les  bras même…

Je lève le visage vers le  plafond et entre presque en collision avec un menton. Il doit m’arriver au niveau du front… Mon dieu c’est grand ce truc.

Je fais un pas de côté, espérant que cette tape n’était là que pour l’accès au lavabo, et mon regard se pose sur un second torse, une seconde personne, toute aussi grande que la première.

La poisse.

Un coup d’œil derrière moi m’apprend qu’il y a une rangée de vingt lavabos, libres.

Merde.

Je serre les poings et lève les yeux vers mes deux emmerdeurs.

Alors ma mignonne, on t’a vu danser tout à l’heure. Très sexy dis donc… Tu nous referais pas un solo rien que pour nous par hasard ?

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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