Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:27

C’est pas possible c’est pas possible !!!! J’ai vraiment la poisse en ce moment. Pire poisseux de la Terre bonsoiiiir. Bon dieu mais qu’est ce que je peux faire ?!

J’ai chaud…  Je crève de chaud… Je fonds… Le regard  fiévreux je reporte mon attention sur  les yeux de Sam, toujours serré contre moi, sa respiration faisant frotter son torse contre le  mien.

Je murmure d’un ton se voulant autoritaire mais qui ne donnait l’effet que d’une personne haletante ou morte de peur :

S…Sam !

Ce dernier toujours à quelques millimètres de mes lèvres se rapproche à nouveau, saisissant ma lèvre inférieure entre ses dents, serrant doucement jusqu'à me faire gémir sans me quitter  des yeux.

Il s’écarte légèrement, laissant ma bouche rougie :

-Tu ne te défends même pas…

Je sens des larmes affluer vers mes yeux.

S’il te plait Sam… Arrête…, murmurais-je d’un ton suppliant.

Un voile de tristesse glissa dans ses yeux :

-Non… D’abord je veux que tu le dises.

–Dire quoi ?, soufflais, paniqué.

Tu sais très bien de quoi je parle. Ton corps s’exprime à ta place.

Je détournais les yeux, bien conscient de mon érection qui semblait ne pas vouloir me laisser  en paix.

Laisse moi s’il te plait…

-Je  suisdésolé mon ange, mais je ne peux pas te laisser te voiler la face comme ça longtemps. Ca te détruirais. Plus vite tu l’auras admis mieux ce sera.

A ces mots son emprise sur mes mains se relâche, et je me sens à nouveau immobilisé, mais  cette fois face au mur. Les mains plaquées une nouvelle fois au dessus de ma tête. Je sens son corps se rapprocher une fois encore.

Son torse musclé se serrer contre mon dos, me laissant sentir chaque muscle, chaque détail de sa peau. Son bassin se serre contre mes  fesses, je sens contre moi son excitation plus qu’effrayante.

De sa main libre il pose délicatement ses doigts sur mes hanches, me faisant frémir. J’appuie mon front brûlant contre le mur, respirant difficilement. Je pourrais le supplier d’arrêter, mais  à quoi bon ? J’apprécie ce moment, j’apprécie qu’il me touche, je n’en ai que plus honte  encore.

D’un coup de rein il m’écrase encore plus contre le mur, je sens son sexe à travers nos vêtements, il l’appuie fermement contre mes fesses et j’entrouvre les lèvres pour laisser  échapper un gémissement malgré moi.

Arrête Sam…

-Avoue, me répond-il dans un murmure brûlant, échauffant la peau de mon cou de mille  sensations délicieuses.

Sam s’il te plait arrête… J’ai honte…

Sa main quitte ma hanche pour aller errer sur  mon ventre, glissant sous mon t-shirt et remontant langoureusement le long de mes abdominaux. Ses doigts continuent de frôler ma peau, remontant légèrement pour aller taquiner un bout de chair rosée.

Je gémis une nouvelle fois. Sa main redescend vers mon pantalon, s’attardant sur le rebord du jean, avant de glisser vers mes cuisses, les caressant à travers le tissu, griffant légèrement le jean, me donnant des frissons.

Ses doigts se referment sur ma jambe, et l’écartent légèrement de l’autre, puis appuyant sur  mon aine il se rapproche encore de moi, serrant son sexe sous mes fesses comprimées dans ce fichu pantalon. Une partie de moi crèverait pour qu’il l’arrache et me prenne directement ici, mais une autre commence à paniquer sérieusement.

Seb c’est quand tu veux, souffle-il en mordillant mon oreille.

Je ne réponds rien. Je ne peux pas le dire, même si c’est tellement évident.

 – Arrête Sam, je n’en ai pas envie… Arrête s’il te plait…

-Ouai je vois ça, siffle-il agacé, me donnant un nouveau coup de rein qui me fait gémir.

Il reprend ensuite :

-Alors comment expliques tu… ceci ?

Je glapis. Il vient de poser sa main sur la bosse impossible à rater qui déforme mon pantalon. Je marmonne quelque chose d’inintelligible du genre  « Stafot’connarrrrdemerdeee ».

Je m’imaginais qu’il me laisserait  tranquille… Après tout il a eu ce qu’il voulait. Mais non.

Sa main commence à s’activer lentement à la surface de mon pantalon, caressant mon sexe  tendu à travers. Mes yeux se troublent et je m’affaisse un peu plus à chaque instant.

Je ne peux pas… Je ne peux pas… Pitié…

Ses doigts remontent légèrement pour aller s’introduire sous le  jean, et sous le boxer par la  même occasion. Je le sens jouer avec l’élastique de mon sous vêtement. Sa main continue à descendre lentement et…

-OK OK JE SUIS BI ARRETE LACHE MOI ! LES HOMMES M’ATTIRENT LACHE MOI JE T’EN PRIE.

La prise sur mes mains se desserre, il me retourne lentement vers lui et me sourit.

He ben voilà mon ange… C’était pas si dur…

Il m’embrasse doucement le coin des lèvres et s’éloigne.

Je vais prendre une douche glacée, t’as le droit de me rejoindre si t’arrives pas à te défaire  de… ça.

D’un mouvement de tête il désigne mon sexe douloureux, me fait un sourire doux et se dirige vers la salle de bain.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:32
Vingt minutes plus tard  je suis assis sur le canapé du salon. J’ai allumé la télévision et  regarde défiler les images sans les voir. J’écoute les répliques débiles sans les entendre.

Je suis complètement vidé. Je n’ai pas eu besoin de douche froide, ou de me soulager. Ma  honte et mon stress se sont occupés de tout. J’entends Sam ouvrir la porte de la salle de bain. J’entends ses pas dans le couloir. Je l’entends approcher.

Je relève les yeux vers lui. Je dois avoir l’air d’un fou, les yeux rougis par des larmes que je  retiens tant bien que mal, les traits tirés.

 

Il s’assied à côté de moi et pose sa main sur mon épaule, serrant ses doigts sur ma peau :

-Hey Sébastien, ce n’est pas un drame d’être gay. Ou même bi. Ne prends pas ça comme une tare.

Il me sourit et me tire vers  lui. J’enfouis mon visage dans son cou et murmure d’une voix faible contre sa peau :

-Mais je n’ai jamais été attiré par les… par  des… par… Jamais. Pourquoi maintenant ?!

–Rah arrête ça, il y a des gens qui sont homos depuis leur naissance, d’autres qui le  deviennent plus tard, et d’autres encore qui se foutent royalement du sexe de leur partenaire. Tant qu’il te plait c’est l’important non ?

Je ne réponds pas et ferme les yeux. Il a raison je le sais.

Et puis c’est pas comme si tu venais d’apprendre que ta peau allait devenir violette. Les gens ne te regarderont pas autrement. Tu restes le même.

Je souris et me redresse :

 -T’es bête mais je t’adore tu sais.

–Moi aussi je t’adore vieux. Il me serre dans ses  bras. Bon c’est pas tout ça mais tu veux vraiment qu’on passe la soirée à jouer les minettes dépressives ? Où on peut continuer à triturer ton appartement ? Parce que bon… Te chauffer ça m’amuse bien, mais vu l’état de déprime dans lequel ça te met ensuite je crois que je vais pas recommencer de sitôt. Je souris à nouveau :

-T’appelles ça chauffer toi ?! Pour moi c’est du rentre dedans !

Il me regarde un instant et affirme d’un air cent pour cent sérieux :

Ah non, si je t’étais rentré dedans tu ne serais pas assis sur tes jolies petites fesses en ce  moment, et je crois que tu ne les poserais pas sur une chaise pendant au moins deux jours.

–T’as une vieille lueur lubrique dans ton regard Sam, ça le fait pas.

Nous rions tous les deux puis je me recolle contre lui :

-En tout cas ne recommence pas ce que tu as fait tout à l’heure s’il te plait.

 –Excuse moi je ne voulais pas te faire peur…

-C’était pas de la peur Sam… Mais je n’aime pas ne pas avoir le contrôle de la situation tu comprends ?

–Ah ? Je le sens se tendre. Donc ça t'as pas déplu ? Il glisse sa main sur ma  cuisse. Pas  déplu… Et la remonte lentement, griffant le tissu du bout des ongles… du tout ?

J’éclate de rire et le repousse en riant :

-Sam t’abuses ! Arrête ça !

Il penche le visage sur le côté :

J’y peux rien t’es tellement mignon quand tu rougis.

Je  lui envoie un petit coup de poing dans la joue :

-Enfoiré va !

D’autres coups s’en suivent, testant notre rambarde d’abdominaux au passage. Nous nous retrouvons rapidement sur le sol, à lutter comme si notre vie en dépendait, les rires en plus.

Je sens qu’il retient ses coups à cause de mes hématomes résistants, tant pis pour lui. Je  prends rapidement le dessus et le colle dos au sol, moi à cheval sur lui.

Il tente de dévier grâce à des chatouilles mais perds également à ce jeu.

Nous nous immobilisons finalement, haletants.

Mes  yeux quittent les siens pour me rendre compte que sa chemise s’est ouverte, dévoilant  son torse couvert d’un voile de sueur. Je déglutis et tente de détourner le regard. Mais il se redresse sur les coudes et me sourit malicieusement.

Sèb ?

–Hin quoi ?  

–Ca  va ça te plait ?

Je fais la moue. Pris en faute comme un ado.

 –Mvoui ça va, j’avoue que c’est sympa à voir.

Il lève les yeux au ciel :

-Ma parole, si après ça tu oses me sortir que les mecs t’attirent pas… Heum lève toi s’il te  plait.

 –Pourquoi ?

–Parce que t’es assis sur une certaine zone assez érogène chez moi… D’ailleurs érogène chez  tous les hommes à mon avis… Et qu’en plus… Ho mon dieu… Lève toi. Lève toi Sébastien tu commences à bander et je  ..sssssssssss...suis pas de marbre non plus.

Avec un sourire taquin j’obéis et me lève, sans oublier de bien faire entrer en contact nos vêtements au passage. Je murmure à son oreille en me redressant:

Pas de marbre ? Au moins de pierre je dirais…

Je le vois  se redresser rapidement, rouge…

-Heu… Oui bon bien. Heu… T’as de la peinture ?

 

 

 

Gni ? C’est quoi ce changement de sujet merdique ?!!

 

 

(Et c'est quoi cet article de merde?!!! Non mais spas ma faute  j'ai pompé toute ma bonne inspiration à faire ma maj sur Dainsleifin ==>  Roh l'excuse  -________-" Lynchez  moi!

Ps: Si sur l'image vous ne voyez pas son superbe torse musclé et que vous avez décidé de  râler, fermez les yeux et frappez vous la tronche sur le clavier (non mais je rêve  >_<"))

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:36

Une petite demi heure plus tard, les murs du couloir avaient prit une jolie teinte jaune orangée, tandis que les plinthes arboraient un rouge brique assez sudiste.

Les deux hommes n’avaient échangé que quelques monosyllabes et autres sons étranges. Chacun était gêné, engourdi, et tous deux avaient l’air complètement cons.

Finalement Sam fut le premier à craquer :

-Tu sais Seb. Je t’adore. Tu es mon meilleur ami. Et tu le resteras encore longtemps, alors cessons d’être gênés comme ça, c’est ridicule.

–Voui tu as raison, on se comporte comme des gamins, enfin surtout moi. Mais tu comprends  c’est nouveau pour moi… J’ai l’impression d’être à nouveau un adolescent qui découvre ce  qu’est que le sexe…

Sam s’approche doucement de son ami et lui pose son pinceau au milieu du front, enduit de  peinture rouge :

-Hey c’est pareil qu’avant. Tu es attiré  par un homme, comme tu as été attiré par Cathy. Bon celle la je sais pas ce que tu lui as trouvé. Mais bon. Ce n’est pas une question d’aimer les hommes ou les femmes. Toi tu aimes Miyavi. Point barre. Enfin moi aussi je t’excite mais ça  c’est normal, je fais cet effet à tout le monde.

–T’es pas plus modeste qu’il y a quelques années toi, ris-je avant de dévier son pinceau qui s’agitait sur mon front, et arrête ça je dois avoir l’air ridicule là.

Je relève les yeux vers les murs :

-On a fini ?

–Oui, on peut passer au rangement et débarbouillage, j’en ai partout.

Un sourire mesquin s'affiche sur mon visage. Je l’arrête d’un croche pied et il s’étale au sol.

Ouai t’en as partout mais pas encore assez à mon goût !

A ces mots je plonge la main dans le seau de peinture et la ressort dégoulinante de cette  matière opaque et glissante avant de m’approcher de m’approcher dangereusement de lui.

Arrête ! Non ! Arrête ça part pas à l’eau t’abuses !

–Teuhteuteuh, toi arrête de bouger je vais en coller sur le mur avec tes bêtises !

Je commence à lui en tartiner dans le cou, trempant sa peau et la colorant de rouge, il s’agite  encore un peu, mais je le tiens au sol de mon autre main.

Mes doigts enduits se glissent sur son torse quelque peu dévoilé par sa chemise légèrement déboutonnée. Les autres boutons cèdent un à un comme mus par une volonté propre.

Stop Seb. Ok dans les films c’est hot, mais là c’est juste crade, et je sais pas encore comment  je vais faire pour enlever tout ça !

Ma seconde main plonge dans le pot sans écouter ses jérémiades, et rejoint sa jumelle en quelques secondes. Je sens son souffle se faire rauque et difficile sous mes doigts, je le sais  tiraillé entre l’envie de se laisser toucher, et l’envie de rester propre.

Oui bon t’as raison c’est crade, marmonnais-je en me redressant, ondulant une dernière fois sur son corps avant de partir en direction de la salle de bain.

Sam restait là, le souffle à moitié coupé, allongé au beau milieu du couloir, de la peinture plein le corps, et une excitation à tout casser.

Petit con, murmura-il en glissant la main dans ses cheveux et en se redressant sur les  coudes. J’hallucine. Mais quel con ! Rah je hais les nouveaux gays !

D’une impulsion il se redressa et retira le reste de sa chemise tachée, la laissant choir au sol au milieu des pinceaux et pots de peinture encore ouverts.

J’étais affairé à faire couler un bain d’eau tiède lorsque j’entendis la porte s’ouvrir à la volée, laissant entrer dans la pièce un Samuel, plus beau et plus en pétard que jamais.

Heu ? geignais-je en arborant mon regard le plus innocent au monde qui n’eut  malheureusement pas le temps de faire effet car Sam s’était  jeté sur moi pour la deuxième  fois de la journée.

Je me retrouvais à nouveau collé contre le mur, ses lèvres scellées aux miennes, sa langue demandant accès à ma bouche. Sans attendre ses mains glissaient derrière mes cuisses, les relevaient avec vigueur et me faisaient quitter la terre ferme.

J’enroulais lascivement mes jambes autour de sa taille, resserrant l’emprise de mes bras sur le haut de son corps et ondulais contre lui ne pensant qu’a son corps brûlant, ses mains expertes et notre envie commune.

Il recula de quelques pas, me portant toujours contre lui, et me serra contre le mur qui faisait face à la baignoire. S’en suivit d’un baiser plus violent que les précédents, chacun cherchant à dominer l’autre, nos gémissements couvrant le bruit de l’eau qui s’écoulait à quelques centimètres de nous.

Il ne semblait pas vouloir me laisser remporter ce minuscule combat pour avoir la direction entre nos lèvres, je m’appuyais alors contre le mur, le déséquilibrant dans l’espoir qu’il me  laisse redescendre et que je puisse à mon tour jouer au dominant, mais il ne semblait pas non plus de cet avis là.

Prêt à tomber je m’agrippais rapidement à ses épaules, les rapprochant de moi, mais l’eau avait coulé hors de la baignoire.

 

Je sentis son pied déraper dans l’eau tiède, je sentis nos deux corps partir en arrière, je vis dans ses yeux une lueur de colère et de surprise pure, et puis…

** Plouf **

 

 

(Me tapez pas, je suis un ange, une adorable demoiselle, un exemple de pudeur et de douceur, et de classe, et de  tact, et...  et.. heu... COMMENT CA JE MENS?)

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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