Un Nouveau Prof (Yaoi)

Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 10:53

Pix: True Blood, ma série du moment, je suis commmmplètement accro. C'est une histoire de vampires ou il n'y a pas de petite conne type Buffy, Angel, et autres merdeux qui passent leur temps à tuer ceux que nous spectateurs on kiffe. J'adore la musique et le générique à partir de l'épisode 2, vraiment l'ambiance est super sympa.
Bon d'après moi, le fait que l'héroïne soit une blonde gache un peu la chose mais  bon. Et puis le vampire mystérieux fait pas franchement mystérieux, encore moins effrayant. MAIS BON. On peut pas tout avoir. Les scènes de sexe sont délirantes c'est excellent. Puis le fait que ça se passe dans un petit village merdique au fin fond des US c'est bien marrant aussi.
Breffouille vous pouvez voir les épisodes sur:
Allostreaming (cliquez)
Et si vous avez envie d'une autre série sympatique, cherchez Fallen, c'est une histoire d'anges et l'acteur principal c'est "Troooooy From Illinoyyyyy"  Vous savez, l'acteur super canon de  Eating Out 2? Ouai ben c'est lui. Par contre y a  pas encore des masses d'épisodes.

Changement de sujet: Coucou!
Je sais que vous avez attendu trois plombes pour une suite sur cette histoire mais je dois avouer que bien qu'elle ai le plus de succès sur le site, moi elle m'emmerde vraiment.
Bon du coup un chapitre assez court, où il se passe peu de choses, mais qui est assez nécessaire pour la compréhension du personnage de Miyu. Ce n'est PAS un ange =). Voilà, c'est dit. ^^
Nan mais quand je dis vraiment c'est vraiment hein xD. Genre là je savais que je devais écrire la suite, jsuis arrivée devant l'ordi à reculons, avec une vieille gueule de condamnée et tout xD...
Mais ne vous dites pas que vous me torturez ou quoi que ce soit^^. Pas de panique, je dois la finir de toute manière. Et je vais faire tout mon possible pour ne pas la bacler c'est promis.
Aussi j'espère que vous êtes tous encore là, que ce passage vous plaira malgré sa taille pour le moins réduite.
Heum à part ça...
37 abonnées à la Newsletter. Jsuis ravie  =D.
Bon malgré le fait que la jauge de commentaires n'ai pas augmenté....
*chipote en triturant ses doigts*
Ca va, ça va je me plains pas rooooh. xD.
Place aux réponses aux commentaires (je vais essayer de faire court hein ^^'..)

Satsuki: Coucouuuu^^ Arg une fan de  Miyu xD J'ai pas intéret à faire un truc de travers alors :p. Personnellement je connais pas franchement ce mec, j'aime bien sa tête en fait ^^"... Wahou jsuis ravie que tu aimes à ce point ma fiction =D T'as de la chance, la maj arrive le lendemain de ton commentaire ;) Bonne lecture!
Nariel Alcarin:  Coucou xD. Alors t'en fais pas je te comprends pour le triangle amoureux. Je ne sais toujours pas si je vais le faire ou pas, donc n'ai pas peur, si ça se fait ce sera temporaire et pas pour tout de suite. ^^. Pour Verlaine et compagnie, je pensais plus à Cathy dans le rôle de Mathilde, pas de Samuel dans l'histoire ^^.  Pour la fin de l'histoire de Verlaine, c'est celle que j'ai lu dans le bouquin "Verlaine, d'ardoise et de pluie" de  Guy Goffette. Alors si elle est vraie, j'en sais rien, mais  y a de fortes chances. Si jpuis me permettre, jte conseille de regarder Eclipse Totale, il est très bien fait, très beau, et on a très envie de lyncher mathilde xD...
Bel Uriel Disraeli: Coucou =). Il signifie quelque chose ton pseudo? (pardonne l'inculte xD). La suite est là ^^. Désolée l'histoire n'est pas encore finie (mais j'y travaille xD). Lol c'est sur que FF.net c'est assez chiant à la longue, pour dire, jcommence à lire les histoires hétéros. Si c'est pas lamentable! En plus à chaque fois  on a  soit une Mary Sue, soit une hermione qui a subitement changé pendant l'été, qui fait du 95C, un mètre soixante-dix, qui a les cheveux lisses et beaux nianiania... T_T... Bouhou...Arg  non! ne lis pas douceurs !!!! Sérieux tout le monde fonce sur les histoires de merde  du site  xD... Nan franchement si tu veux en lire des potables, lis spartiates, shyinn ou le grenat bleu... mais pas douceurs  -____-.. Bisouss!
Gaby: Je suis enchantée aussi de te rencontrer  =)!! Je crois que nous sommes pareilles pour la connaissance de Gackt et  Miyu ^^. Je cherchais juste un support photo donc  bon :p... Un rythme elipsé? Tu veux dire dans la publication? Ou dans l'histoire? Si c'est dans la publi, c'est que j'ai déménagé mes fictions il y a pas longtemps ^^. Si c'est dans l'histoire, c'est qu'en fait elle a plus d'un an, et quand j'écris je me rappelle peu des chapitres avant, du coup l'ensemble est décousu... En plus je l'ai écrite au commencement de ma vie "d'auteur" donc c'est assez mauvais... xD.  Ah oui, pour les lemons je suis entièrement d'accord avec toi, mais j'ai du mal à faire léger, parce que je voudrais que le lecteur voit la scène exactement comme moi, dans toute sa "beauté" artistique lol. Ne t'en fais pas, tes critiques me font plaisir, et j'espère que je m'améliorerai grâce à elles! Bisous à très vite =).
ElodieDalton: Lol en effet c'est pas franchement le bon sujet! Merci pour ton commentaire, j'espère que la suite te plaira. Bisous!
Deadly: Yeahhhh jsuis contente  d'avoir  trouvé  quelqu'un qui rit  à mes blagues de merde xD... La suite est pas très drôle tu m'excusera ^^'... Bisous bonne lecture!
Kalei: La voiciiiii ^^. J'espère que tu aimeras =). Et merci pour ton commentaire!
Skorpan: Je crois avoir déjà répondu à ton commentaire sur ton blog ^^. La seule chose que je puis ajouter est que non je ne me suis pas inspirée de QAF, parce que j'ai commencé la série deux trois mois après la publication de l'article ^^. Mais maintenant que tu en parles, c'est vrai que ça y ressemble. *dégoutée* J'aime pas qu'on croit que je m'inspire de faits extérieurs xD.. Nan promis, dès que je prends consciemment des détails de séries, films et livres, je le cite en général. ^^. Bisous
Subtility-Lyra: Coucouuuu ma chérie  =). C'est quand que tu viens me voir? Je te vois jamais sur messaine T_T.. Miyu en vrai? Alors raconte! Il est hot hot hot? =D?
MMali:Mdrrrrrrrrrrrr t'es un ange toi!! On te l'a déjà dit? Un amouuuuuuuuur <3! Bisousss
Joy: Miaww jsuis ravie que tu aimes cette histoire  =)!!! hi la confrontation est pour le chapitre suivant désolée, pas celui là ^^'. J'espère ne pas trop te décevoir ^^... *peur* J'espère que celui ci t'ennuiera pas trop =S Bisousss
Miss-mangas: Hi dans celui là il ne va pas se passer grand chose non plus xD... Me frappe pas. Et  t'as raison: VIVE LE GRENAT BLEU!!!! xD
Habbygaël: xDDDDD J'adore ton commentaire ^^!!! Je compatis pour ton clavier, la mienne a collé des pastiles de couleur dessus parce que les lettres s'éffacent vu que j'écris trop, résultat jai plein de colle aux doigts c'est deg xD... Franchement merci beaucoup pour ce commentaire, il m'a vraiment fait sourire. Gros  bisoussss ^^
Ley: Ca  viennnnnnnnnt ^^. Et je commence déjà à écrire celui d'après vu que je vais me faire lyncher pour celui ci ^^ Bisousss!!! Au fait, rien à voir mais.. Androgyne tu l'as finie? ou continuée? =D?
Cass: LOLLL nan nan jsuis  pas prète de bosser dans une bijouterie xD, google est mon ami c'est tout ^^ Ben en fait les cochons ça mange de tout de tout (surtout quand ça a faim). Genre  même les filtres à café, les doigts, les os... Tout. Allez bisouuuus ^^
Veiane: Lol et ben siiiii. Il va attendre jusqu'au cours pour faire son chieur ^^. Va pas l'encourager ho xD. Oui bon j'avais envie de faire passer Cathy pour  une conne j'ai réussi je  crois niark ^^ Bisous!
Danouch: MDR. Heuuu le lemon hot entre miyu et seb? Heuuuu Bientot? Trois ou quatre articles je pense ^^. Et toi avec Seb? TU REVES OU QUOI xD Déjà tu te tapes Greg! xD Namého! Jtaime aussi! Bisous!!!
Lydie: Héhé c'est un démon ce miyu xD bisous!
Gabrielle: Maw jsuis contente que ce chapitre t'ai plu ^^. J'espère que le suivant aussi =D. Enfin y a moins de chances mais bon xD... Groooos bisous ma belle  =)
AYEEEE JAI FINIIII!
Peuh, c'est lamentable l'article fait moitié commentaires, moitié histoire... Jsuis dégoutée...




Clap. Clap.

Le brun ferme les yeux et respire longuement.

Encore ce robinet qui goutte.

Clap. Clap.

Toujours ce même clapotis dans l’eau de la baignoire. Unique mouvement provoquant des ondes dans l’eau… Et surtout: ce bruit insupportable.

Clap. Clap.

Bon sang mais pourquoi ont-ils liquidé l’installateur de cette fichue baignoire?!

Son poing se serre sous l’eau, l’autre sur le manche du poignard qu’il nettoyait quelques secondes plus tôt dans l’eau mousseuse.

Jusqu’à ce qu’il se souvienne de la tare de cette baignoire en fait. Oui, elle est superbe, grande, assez pour trois personnes, creusée dans le sol, confortable, divinement esthétique mais…

Clap. Clap.

Ses dents se serrent…

Ah oui! C’est vrai. Il n’avait pas payé la taxe d’habitation l‘imbécile. Quelle idée aussi… Il savait très bien que ne pas payer est synonyme de mort dans le quartier... Il devait être suicidaire alors.

Miyavi soupire.

« Je suis sur que celle de Gaurnier ne goutte pas… »

Il lève les yeux au ciel. En même temps Gaurnier ne l’a pas fait faire par un crétin congénital aux mains tremblantes à cause des deux kalach’ qui surveillaient son avancée des travaux… Et puis Gaurnier…  Et d'abord pourquoi il pense à lui?!

Le jeune homme inspire et s’enfonce un peu plus dans l’eau, ne laissant plus que son visage hors de l’eau. Une main s’élève et traverse la mousse.

Il la contemple à la lueur faiblarde des lampes posées sur le rebord. De longues traînées de sang ornent son avant bras. Ce n’est pas comme si ça partait facilement une fois sec…

Entre ses doigts, gouttant encore de larmes rouges, le poignard au manche anciennement blanc…

Si Gaurnier savait…

Mais non. Sébastien Gaurnier ne vit pas dans le même monde que lui. Il n’a même pas idée de ce qui se passe dans cette ville. Sébastien Gaurnier vit dans un monde de bisounours, tous dansant en une farandole autour des cadavres que lui provoque. Ils les enjambent mais jamais ne les voient… Comme s’ils portaient des œillères… Vous voyez des bisounours avec des oeillères vous? Nan ils doivent porter un masque... ou une cagoule sans trou... Voilà ouai.

Il y a quelques jours encore Miyavi était heureux de sa condition…

Surtout qu'il avait « travaillé » dur pour y arriver. Un an à jouer le lèche botte jusqu’à enfin pouvoir éliminer le chef de quartier.

Mais à présent… Après vingt et un ans passés dans ce putain de quartier, à lutter pour sa survie et surtout son argent, il enviait la vie de son professeur. Son ignorance, sa naïveté… Pourquoi n’a-t-il pas une vie identique lui?

Pourquoi n’est-il pas comme les autres? Pourquoi ne pourrait-il pas laisser les gens lui parler comme Sébastien l’a fait?


...

Clap. Clap.

D’un mouvement brusque il plonge sous l’eau pour hurler sa colère.

Pourquoi? Tout simplement parce qu’il ne le supporterai pas.
Parce qu’à l’entendre le traiter comme un chien il a failli le tuer à mains nues, devant son meilleur ami.
Parce qu’il aime le sang, la violence et voir les autres souffrir.

Ce soir il a du tuer un homme.

C’est rare.

Mais ça arrive.

Et lorsque ça arrive il sourit. Qui que ce soit. Ou que ce soit. Il sourit.
Non pas à l’instant où il tranche une gorge.

Celui d’après. Celui où le sang s’écoule, et où la victime tente encore de respirer, toussant, crachant le sang par cette nouvelle ouverture, éclaboussant tout ce qui se trouve à sa portée s’il tente d’expirer.

Et surtout lorsque ces yeux paniqués se posent sur lui, une lueur d’espoir dans leurs pupilles. C’est vrai, quelqu’un avec un si beau visage ne peut être totalement mauvais...
Si?

Ils croient tous qu’il va les aider.

Simplement à cause de ce sourire qu’ils croient doux et rassurant.

Non. C'est simplement un sourire de satisfaction intense.
De plaisir à l’état pur. Et tandis que cet espoir se fane lorsqu’ils comprennent qu’ils n’ont pas une chance, que c’est la mort qui les appelle, lui jouit de ces yeux qui s’éteignent, de ces nerfs déréglés qui s’agitent, de ces expressions faciales pathétiques que le médecin légiste n’arrivera jamais à ôter.

Encore un qui aura un enterrement à cercueil fermé pendant la cérémonie.

De toute manière après quinze jours passés au fond du fleuve personne n’est beau à voir.

Clap. Clap.

Oui quinze jours, c’est la moyenne avant que les mouvement de l’eau n’aient rongé le sac poubelle dans lequel se trouve le macabé, sans ses doigts et dents, et qu’il remonte à la surface.

Clap. Clap.

Il se relève d’un mouvement sec, nerveux, d’une main il attrape le savon et le fait glisser sur tout son corps, de l’autre il a posé la lame sur la pile de serviettes pour se frotter et faire enfin partir tout ce sang.

A toute vitesse il se rince et saute hors de la baignoire, attrapant son poignard et rien d’autre il fait brutalement coulisser la porte et jaillit dans le salon au milieu de ses gardes et hommes de main avachis dans les fauteuils entourant l‘âtre. Aucun ne sursaute. Ils sont habitués aux frasques du nouveau chef.

L’un dissimule discrètement sa bière derrière la table basse, un autre remet correctement en place la bandoulière retenant son bras plâtré.

Arrivé au milieu d’eux, Miyavi ralentit, conscient de tous les regards sur lui… Nu. Trempé. Et en colère.

Alors il sourit.

Il a toujours aimé faire sensation. Être le centre de toutes les attentions.

-Tu me prètes ça un instant mon lapin?

Sans attendre la réponse il saisir le semi-automatique posé sur la table basse et retourne dans la salle de bain à grands pas.

Le son de plusieurs coups de feu retentit, et certains hommes se tassent un peu plus sur leurs sièges.

Le brun réapparaît après un moment, une serviette autour des hanches.

-Ca fait trois PUTAINS de semaines que je vous ai dit de réparer cette putain de fuite! Je vous l’ai dit ou je vous l’ai PAS DIT?! Hurle-il en jetant le revolver sur le tapis.

-Vous nous l’avez dit, marmonne l’un des gardes.

-Pardon? J’ai pas bien entendu. Tu peux parler plus fort je crois que j'ai des problèmes d'audition, ça doit être l'age?

-Vous nous l’avez dit.

-C’est bien ce que je pensais. Maintenant je veux une nouvelle baignoire. Je vais dans ma chambre, je veux que personne ne s’en approche sauf s’il y a des morts, il jeta un coup d‘œil à l‘horloge qui annonçait une heure du matin. Mais vu l‘heure ça pourra attendre demain. J’ai encore une putain de dissert à finir…

Il pénétra dans sa chambre et ferma la porte.
Dans le salon, un silence interloqué prit place.
-Putain pourquoi on s'est pas grouillé de la faire cette fuite?!
-Fait chier.
-Bordel.
-Merde...
-...

-Ah et les mecs? Je compte prendre un bain demain matin vers huit heures, susurra Miyavi, réapparaissant avec un grand sourire avant de redisparaître.

-...
-Merde...
-Bordel.
-Fait chier.
-Putain pourquoi on s'est pas grouillé de la faire cette fuite?!



*Sort son bouclier anti briques*
Non la créa ne se fout pas de vos gueules.... Promis ^^'...
Heum... Je vous aime? *_*

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 20:26

Coucou! Après une absence impardonnable, je reviens, avec un article qui m'a prit une  semaine à achever... Jvous raconte pas comme il m'a emmerdée...

Comme dit dans l'article papote (à lire), j'avais pas le moral, je l'ai toujours pas, mais on fait avec xD

Bon je tombe de fatigue, donc jvais vite fait répondre aux commentaires;

Mais avant, je vous demande d'aller lire Gwen X Vampires (lien dans la colonne ===>) et de me dire ce que vous en pensez. Moi jsuis fan.

Réponse aux coms: (jfais court)

Draymal: Voilà la suite voilà la suite voilà la suite!!! xD Jsuis contente quela fic te plaise! bisous!

Marine: Lol il a un sale caractère pourri gâté le petit miyu c'est bien connu :p. T'en fais pas, Seb/miyu c'est LE couple phare.Courage pour le tri des mails xD Bisousss jtaimeuh

Cass: Pour le papillon, c'est le petit point blanc qui pointe, pas le papillon en lui même^^ J'espère que t'auras maitrisé xD bisouss

Satsuki: Merciiii^^ Jsuis ravie que Miyu méchant et casse pieds te plaise^^ J'espère que la suite sera àla hauteur! Bisouss

Danouch: *se  frotte le crane* Aieuhhh. Ouai les gardes j'ai pris pour base Crabbe et Goyle, tout de suite ça aide xD

Subtility-Lyra: lool oui j'avoue qu'un chef de gang qui fait des études c'est étrange à la base, mais quand en plus il concilie les deux ça devient vraiment spécial xD Hâte de reparler avec toi! Bisousss

Athenais: Lol j'avoue, les personnages sont spéciaux, jessaie de les  rendre les plus humains possibles, avec de gros changement d'humeur et tout... Jcomprends que ça puisse faire bizarre xD J'espère que ça te plait quand même. Bisous

Delphine: T'inquiète pas pour Seb, il sait qui est son meilleur ami et qui ne l'est pas :p bisouss

PB-SPN-Bones: T'as vu? True Blood en est au 11e épisode!!! J'adoooore. Mais là ça rend fou, la blondasse elle est TROP conne xD Bisousss j'espère que ce chapitre te plaira!

Habbygaël: MDRRRR Jte jure que jessaie de faire long,mais j'y arrive jamais, jsuis désolééééééééééée T_T Trois lignes ton résumé? Jcomprends ton prof d'un coup xD Arfouille oui tu es un poilichon plus jeune que moi ^^. Enfin juste de trois ans ça va :p. J'espère vraiment que ce chapitre te plaira,il est plus long (oune pokito). bisousssssssssss Habbyloveee (L)

Nariel Alcarin: Je continue cette fiction parce que je me suis juré de ne jamais faire comme tous ces auteurs qui abandonnent leurs fictions... Je les continuerais ToUTES et les finirais toutes. (motivage intense xD). Oui, il est assez étrange Miyu, c'est vrai... En fait pour tout t'avouer, son personnage m'est venu à l'esprit après que l'on m'ait parlé des bourreaux gambiens, qui tuent de 8heures à 16heures, puis qui rentrent chez eux comme de simples fonctionnaires... C'est vraiment le mec qui va à la fac pour bosser, qui veut s'en sortir, mais qui a dautres obligations etc. Au passage, je voulais te remercier pour ton magnifique commentaire sur l'article blabla. Il m'a TROP remonté le moral, franchement t'es un amouuùùùr! Je t'enverrais un mail demain je pense, gros bisous, j'espère que le chapitre va te plaire (un peu) ^^'!

MMali:T'as raison de l'aimer ce monstre de  Miyu ^^! Moi aussi je l'aiiiime!!! Arffe faut que j'aille voir la chanson du dimanche, je connais pas du tout ce machin, on m'en parle beaucoup mais c'est tout^^. Heureuse que le papillon te plaise^^ gros bisousssss

YaYa: héhéhé il a tropl a classe Miyu <33 Ouiii elle est conne comme ses pieds Pookie! Ah non Pookie c'est la peluche de garfield... Sookie voilà! Déjà quel nom de merde la pauvre... Ca plus les cheveux,  ça lui fait une excuse à sa stupidité xD  kiss peace love bis!

Miss-mangas: Héhéhéhé encore une qui veut me tuer xD Ouiiiiii True Blood ça peteuhhh xD Bisouss

Véiane: Vrai méchant? Ouaiii j'avoue, pour ça il a trople style =D Pour ce qui est de la réaction de Sam.. Pfiou j'en ai aucune idée en fait, faut queje réfléchisse ^^ bisouseuh

Gabrielle: Arf oui merde le regard.... Faut absolument que je me le note pour le prochain chapitre!!! Bon du coup pour celuici, j'ai oublié, mais jeme rattraperai dans le suivant. Promis! Bisous ma chérieee!

Elodie Dalton:Héhéhé oui,c'est un enfant-roi en fait ^^. Pourri gâté, qui a tout ce qu'il veut quand il veut, tu auras la preuve dans ce chapitre^^bisousss!

Voilà, j'ai fait ça un chouilla à l'arrache, jm'appliquerai dans le prochain chapitre.

Pour ce qui est du texte, il est pas relu, donc y a des fautes, des maladresses, hésitez pas àmele faire remarquer!

Bisousss

 

 

Chapitre 38:

Marre… Miyavi… Obsession. Cours… Putain d’appart… Fait chier… Copies à corriger… Retard… Bordel…

-Hé Sébastien!

Mardi matin, 9 heures, le jeune professeur broie du noir tout en regagnant sa salle de TD pour les quatrièmes années.

-Sébastien!! Hé Seb!

Mardi matin, 9 heures et deux secondes, un membre du groupe des moins vieux tente de rattraper sans courir le professeur Gaurnier, le petit nouveau qui fait tant sensation. Chose difficile vu la rapidité du plus jeune.

La main de l’Ancien se tend et attrape l’avant bras du châtain qui se retourne d’un mouvement brusque:

-Quoi?! Crache-t-il avant de se heurter à un sourire charmeur.

-Heu… Bonjour?

-On se connaît? Questionna Sébastien en détaillant l’homme devant lui, son sourire ultra Bright malgré la trentaine passée, sa carrure imposante, plus que celle de Sam, c’est tout dire. Il ignorait que les professeurs de sport s’éloignaient du gymnase…

-Eh bien non, c’est justement pour ça que je te poursuivais dans ce couloir bondé, je m’appelle Victor…

-Enchanté Victor, sourit-il hypocritement en lui serrant hâtivement la main, pressé de retourner à ses problèmes existentiels. Excuse-moi maintenant mais je suis déjà en retard.

Il fit demi-tour, prêt à reprendre ses idées sombres mais le blond l’arrêta encore une fois:

-Attends! J’aurais voulu qu’on… Qu’on aille… Que…

Ce même homme qui semblait si sur de lui quelques minutes plus tôt semblait se liquéfier sur place, fixant un point derrière lui.

Miyavi paraissait avoir apparu de nulle part, et se tenait là, appuyé contre un mur, fixant méchamment l’un de ses anciens professeurs. Celui qui osait à présent faire du gringue à Gaurnier. Il se détourna une seconde pour parler à l’un des jeunes qui l’accompagnait.

Serrant les dents, le plus âgé choisit d’ignorer cet importun, d’autant plus qu’à présent il ne le regardait plus, sans doute certain qu’il n’oserait pas braver un interdit non formulé de sa part.

-On mange ensemble ce midi, ça te tente? Souffla-il rapidement, ses yeux faisant des aller-retour entre Sébastien et un point derrière lui que ce dernier ignorait être Miyavi.

-Que…? Le châtain l’observait, surpris de ce changement de comportement, comme si à présent il souhaitait expédier la chose le plus rapidement possible avant de se carapater vite fait dans le dédale de couloirs.

D’un mouvement brusque il se retourna, cherchant des yeux ce qui semblait terrifier ce Victor.

Son regard transperça la foule grouillante d’élèves riant, chahutant, et s’immobilisa alors qu’il avait baissé les yeux et reconnu des jambes interminables, parfaitement moulées dans un pantalon gris clair, il ne pouvait que continuer son ascension, sachant très bien qui en était le digne propriétaire, savourant ces hanches si marquées et ce ventre diaphane révélé par un t-shirt noir délibérément trop court.

Une bouffée de chaleur s’empara du professeur tandis qu’il survolait rapidement la veste argentée pour aller se fixer sur ce visage si beau, si fin, aguicheur et effrayant à la fois.

Leurs yeux s’accrochèrent pour ne plus se quitter durant de longues secondes.

Du côté de l’élève, ce dernier avait senti d’étranges fourmillements remonter dans son ventre, à la même vitesse que le regard de son professeur parcourait librement son corps. Il avait l’impression de s’immerger dans une eau brûlante, le niveau de l’eau montant chaque seconde un peu plus.

Un peu comme dans sa nouvelle baignoire qui ne fuit pas…

En mieux.

En intense.

Ses lèvres s’entrouvrent sans qu’il puisse les en empêcher et un souffle brûlant s’en extrait. Presque un gémissement silencieux à ces caresses oniriques.

Un élève passa entre eux, les ramenant tous deux à la réalité, et tout de suite, leurs regards changèrent du tout au tout.

Miyavi redressa légèrement le menton, reprenant son regard arrogant et provocateur, tandis que le visage de Gaurnier se refermait de seconde en seconde.

Ainsi c’était lui qui semblait faire peur à ce dénommé Victor? Ce devait être une blague… Le brun faisait la moitié de sa corpulence, et lui-même était moitié plus fin que l’inconnu…

Il fronça les yeux, se retournant rapidement vers le professeur qui l’accompagnait, s’assurant du regard que c’était bien Miyavi qui le figeait, et finalement, plongea son regard dans celui de l’asiatique, le défiant d’approcher.

Ce dernier ne bougea pas d’un centimètre, l’observant fixement, attendant de voir s’il irait jusqu’au bout.

Tous deux semblaient butés sur leur dernière impression, Gaurnier en voulant au plus jeune d’avoir chamboulé sa vie pour s’amuser, l’autre en voulant à son aîné de lui avoir hurlé dessus des horreurs infondées, alors que quelques heures plus tôt il couchait avec son meilleur ami.

-Victor? Appela le châtain sans quitter son élève des yeux.

-Oui? Écoute je vais y aller, c’est pas grave si tu es déjà occupé, même si c’est un élève, et que les relations sont interdites par le…

-C’est d’accord pour ce midi, j’ai hâte de pouvoir apprendre à te connaître, coupa Sébastien sans le regarder, avec un grand sourire factice aux lèvres.

C’est seulement après avoir prononcé ces mots qu’il détourna les yeux du brun qui s’était rembruni de seconde en seconde, et posa sa main sur l’avant bras du professeur avant de l’entraîner dans les couloirs:

-Tu vas par ou pour ta salle de cours? L’interrogea-il tout en marchant, tournant effrontément dos au chef de quartier.

**

Toujours ébahi par le culot du professeur, Miyavi demeura de longues secondes planté là, au milieu du couloir bondé de monde. Jusqu’à ce qu’un de ses amis et employé le secoue doucement:

-Miyu… Pourquoi tu matais bizarrement le prof qu’on a éclaté?

-Tais toi Hiro. Chope Victor Bougault, et fais lui comprendre qu’il a tout intérêt à ne pas avoir faim ce midi.

Sans laisser le temps au jeune homme de répondre ou même de songer à se taire il s’élança dans les couloirs, cherchant des yeux le châtain.

**

De son côté, Sébastien parvenait presque à sa salle de cours, il venait de quitter son nouvel « ami », et broyait à nouveau du noir… Pourquoi avait-il accepté de manger avec cet homme? Il ne le connaissait pas, ne l’appréciait pas plus que ça au premier abord, et en plus ce mec semblait trembler devant un élève… Quoi qu’à présent le jeune professeur devait bien admettre que les quelques vagues phrases de Miyavi sur sa position dans le quartier devaient s’avérer exactes. Il était sans doute un chef de gang ou quelque chose du même genre, sans quoi les gens ne s’écarteraient pas sur son passage, et un professeur d’une carrure de celle de Victor n’aurait pas à le craindre…

Fermant les yeux et pinçant l’arrête de son nez, Sébastien inspira profondément. Non seulement ce petit con l’avait fait virer de bord, mais en plus il dirigeait sa vie professionnelle, tentant de choisir pour lui ses connaissances.

-Merde! C’est pas possible!

Et lui, comme un enfant à qui l’on dit non, il avait désobéit à l’ordre muet que lui avait lancé son cadet…

Et il en avait été fier!

Heureux!

-Putain… Mais quel con…

Encore une dizaine de mètres et il arriverait à sa salle de cours, il pouvait déjà voir que les élèves étaient rentrés à l’intérieur. Mieux vaut poiroter assis.

-Monsieur Gaurnier!

Sursautant il se retourna vivement, et écarquilla les yeux de stupeur en voyant Miyavi se diriger vers lui au pas de course. Reprenant son chemin avec un pas rapide il lança par-dessus son épaule:

-Je n’ai pas le temps! Et vous devriez être en cours jeune homme!

-Attendez!

Le châtain entendit jurer dans son dos, et les pas s’accélérer jusqu’à changer d’allure alors que le jeune homme se mettait à courir derrière lui.

Sébastien se permit un sourire alors qu’il arrivait à un mètre de sa porte. Encore quelques pas et il lui claquerait la porte au nez. Quitte à se faire tabasser par toute une armée de gamins spécialistes en fautes d’orthographe.

Il posa le pied dans sa salle, essoufflé, eut le temps de balayer du regard l’ensemble de ses élèves qui le regardaient sidérés par son retard et son arrivée quelque peu bruyante, et sentit son poignet être happé par une main chaude, tiré à l’extérieur et plaqué contre un mur.

-Aouch… Lâcha-t-il sous le choc, tandis que son bourreau claquait brutalement la porte de la salle de classe.

Il releva les yeux, faisant fi de son dos en compote à cause de l’impact avec le mur, et tomba nez à nez avec un Miyavi essoufflé plus beau que jamais, un sourire moqueur aux lèvres:

-Alors professeur… On fuit?

-Je rêve, t’es particulièrement con ou quoi?! Il me semblait t’avoir dit de me laisser tranqui…

-Vous n’allez pas sortir avec ce mec quand même…

-Laisse moi réfléchir… Attends voir… Ah je sais. Ca te regarde absolument pas Miyavi bordel!

Une masse chaude s’écrasa sur lui, le faisant suffoquer. Pas tant à cause du poids, plume, mais plutôt à cause de la jambe libidineuse innocemment insérée entre les siennes, du haut de la cuisse plaquée contre son entrejambe, et par le souffle chaud contre son visage.

-Vous êtes vulgaire pour un prof de littérature, souffla l’asiatique à son oreille, avant de caresser son lobe du bout de la langue.

Tournant le visage pour s’éloigner, et tentant vainement de repousser le jeune homme de ses mains, Sébastien cracha:

-Je ne suis pas vulgaire lorsqu’on ne me met pas en colère!

-Allons allons, répondez à ma question et je vous laisserai tranquille: Allez vous sortir avec ce toquard monsieur?

-Pourquoi pas?!

-Tout simplement parce que je sais… La jambe du plus jeune remonta légèrement, se pressant un peu plus contre le pantalon de son aîné. …Que ce mec, son visage glissa dans son cou, ses lèvres effleurant la peau brûlante du professeur, ne vous plait pas. Il n’est pas votre genre… Sa langue remonta le long de son cou jusqu’aux lèvres de Sébastien qui sentait son souffle s’accélérer dangereusement.

Redressant la tête il évita le baiser imminent une première fois, ignorant l’assombrissement des iris de l’asiatique:

-Ah oui? Parce que tu sais ce qu’est mon style toi?!

-Bien sur que je le sais… Répliqua-il d’un ton langoureux, effleurant les lèvres du plus âgé sans qu’il ne se défende, C’est moi votre style… Il les caressa du bout de la langue, les invitant à s’écarter l’une de l’autre tandis que ses mains erraient à présent sur le torse musclé qui se soulevait à un rythme erratique. Lorsque enfin le professeur céda, il approfondit le baiser, faisant pénétrer en douceur sa langue dans cette bouche offerte, complètement passive qui semblait n’être qu’halètements sous ses caresses. Il reprit, ignorant le gémissement agacé du châtain:

-C’est moi votre style, c’est moi qui vous ai créé, révélé à vous-même… Vous êtes à moi Sébastien, et personne ne posera la main sur vous tant que je ne l’aurais décidé.

Un silence suivit ces paroles, l’un avait le souffle coupé, l’autre semblait attendre une réaction positive avec une confiance en soi hors norme.

Finalement, sans que le plus jeune puisse se rendre compte de ce qui lui arrivait, un poing vint frapper sa tempe à pleine vitesse, et il se retrouva au sol, entendant une dernière phrase puis une porte qui claque:

-Pauvre con… Je ne suis pas ta chose. Et tu te trompes pour mes goûts. Tu ne rentres pas dedans.

 

.

.

 

Faut vraiment que je me relise.

Bon dites vous que c'est une ébauche d'article  (qui m'a prit une semaine). Demain il sera modifié (en mieux). Donnez moi vos avis, que je l'arrange correctement bisousssssssssss

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Mardi 20 janvier 2 20 /01 /Jan 05:02


Hello, je ne suis pas de bon poil (en même temps il est cinq heures du matin, qui le serait HEIN), donc je vous livre ce chapitre, en espérant  vainement qu'il vous satisfasse. Si c'est pas le cas je vous force pas à commenter, je comprendrais.
Encore six chapitres et ce sera la fin HOURRA!
En image, le divin Lee Byung Hun, alias Chang-yi ou la Brute.
Rien à voir mais...
Trois petites remarques, pour celles qui écrivent. A force de lire des fictions...
"Salop" c'est peut-être toléré par certains dictionnaires (je suppose qu'ils l'on accepté par dépit), mais c'est esthétiquement hideux. Un salop une salope ouai certes, mais à la base ça reste un salaud.
"Héros" ça s'écrit héroS. Un héroS, des héroS. Pitié, arrêtez les "le héro ria joieusemant".
Pour celles qui lisent et font des traductions, Stomach ou stomaque je m'en fout, je parle pas anglais, ça se traduit CERTES par estomac, mais on le remplace par VENTRE. ou Abdomen. Vous êtes mignonnes à écrire "Est le héro rigola (lolilol mdr) et se retournit (hihi kikou lol) sur l'estomac"
Très sérieusement, pas la moitié d'entre nous savent ou se situe exactement l'estomac. alors pour se retourner pile poil dessus pardonnez moi mais  LOLEU Aimdéaire..
Pareil pour les "Il posit sa main diraictemant sur son estomac" houhou que c'est hot. Viens voir que jte gratte le foie!
Il fait très beau ces temps ci. J'ai lu il fait très beau cet an ci. Très honnêtement, celle là, jl'ai trouvée charmante. C'est frais comme originalité. Ca change.
Ah et un dernier truc, d'après vous, c'est Autant pour moi ou Au temps pour moi? Je crois que les deux se disent, une histoire de marins pour le second. Bien que pour moi le premier reste le plus juste.

Autre chose:
Petit lien à cliquer incessament sous peu (je doute qu'incessament s'écrive comme ça) le sondage sur le site:
ICI.
La superbe histoire de Véiane: Les Enfers à lire sur mon site ou sur le sien (cliquer sur Jonas). ICI
La suite de cette histoire, à savoir la vie de Jonas et Raziel après leur mort. Sur Son site (pareil, cliquer sur Jonas).
ICI
J'ai lu j'ai adoré. Vraiment. NE PAS RATER.

Réponse aux commentaires en fin de chapitre.



Chapitre 39:

A partir de ce jour, les semaines défilèrent, avec une rigoureuse routine veillant à ne rendre heureux ni le professeur, ni son élève.
Tous deux paraissaient vexés dans leur amour propre. Mais aucun n’avait le temps de se pencher un peu plus sur la question.
De toute manière, ils se persuadaient que leur « relation » n’était qu’une passade non aboutie, une relation étouffée dans l’œuf, un rien inutile et invisible au possible, et après tout c‘était vrai. Il ne s‘était rien passé entre eux. Oui, presque rien... Et la haine qu’ils éprouvaient à l’égard de l’autre ne leur paraissait due qu’à une rancœur par rapport à son comportement.
Des deux côtés, ils savaient qu’ils avaient exagéré, l’un dans ses paroles, l’autre dans sa réaction, et ils s’en mordaient communément les doigts, sans le savoir et sans se l’avouer.


Chaque cours qu’ils avaient en commun devenait l'objet des tensions les plus fortes. Les élèves entraient dans la salle ou l’amphi avec un air de brebis perdue, l’œil affolé, les mains moites, le souffle court, s’installaient silencieusement et attendaient comme on attend le tintement du glas les premières paroles du professeur directement contestées par le major de promo.
Ce dernier étant Miyavi, bien entendu.


Miyavi qui, à l’instar de ses camarades, pénétrait dans la pièce à la limite du retard -toujours la limite, jamais plus-, s’installait avec la lenteur la plus marquée, se dévêtait avec une sensualité à faire trembler les plus blasés. Et le tout sans quitter son professeur du regard, professeur qui après avoir rougi comme une collégienne les deux premières fois s’était repris et affichait un air lassé à la limite du dégoût, s’attirant par là le respect de ses élèves, qui n’arrivaient pas à croire qu’on puisse rester de marbre devant un tel striptease trop vite stoppé.
Bref, les cours de TD étaient de véritables concours, c'était à celui qui contredirait le plus de choses sur tel auteur, sa boisson favorite, ses habitudes, n’importe quoi du moment que l’adversaire ne le sache pas.
Et chaque fois qu’un élève se risquait à proposer une idée, il se faisait fusiller du regard par les deux protagonistes principaux qui s’énervaient de minute en minute.

Ils commençaient à chaque fois par des répliques acides avec un sourire charmeur, puis les mêmes répliques, encore plus acides, et sans le sourire, puis les sourcils froncés, et pour finir, cramponnés à leurs tables de rage contenue, l’un criant à l’incompétence professorale, l’autre à la stupidité juvénile.
Le bon point dans l‘histoire, c’est qu’il y avait difficilement plus complet comme cours. On apprenait tout ce qu’il fallait, même si c’était dans une des pires ambiances connues dans l’université.


Les mois passaient, Samuel n’avait pas pu repasser en ville voir son meilleur ami ou sa nouvelle connaissance, mais continuait à leur parler régulièrement au téléphone. Et Miyavi se confiait peu à peu à lui, lui racontant sa vie de chef, comment il en était arrivé là, pourquoi il aimait ce qu’il faisait.
Sébastien était au courant de tout. Car au fur et à mesure, Samuel lui racontait. Il ne trahissait pas l’asiatique, puisque sa vie n’était pas un secret, et ne trahissait pas sa confiance, car chaque fois qu’il lui avait demandé s’il pouvait en parler au professeur, Miyavi avait montré la plus grande indifférence possible à exprimer au téléphone. Un soupir las, et un « Tu fais ce que tu veux de ta vie Sam. ».
Donc, Sébastien était au courant de tout, mais se murait dans une indifférence identique à celle de son élève.
Il savait désormais que la ville n’avait commencé à devenir fréquentable que cinq ans auparavant, lorsque le prédécesseur de Miyu en avait pris le contrôle.
Il savait que le jeune homme avait apprit les arts martiaux et la boxe dès son plus jeune age. Qu’il avait dû tuer pour survivre. Tuer pour être respecté. Tuer pour être craint et qu’on le laisse tranquille.
Il avait entendu de la bouche de Samuel que la vie de chef de quartier n’était pas ce que l’on croit. Que c’était dangereux, que nombreux étaient ceux qui contestaient son règne. Et que s’il le perdait, il devrait fuir ou mourir.
Mais pour ça, Sébastien faisait la sourde oreille.
Allons, nous n’étions pas dans un film de gangsters. C’était ridicule. Les seuls « chefs » de quartier devaient avoir onze ans et rackettaient les gamins à la sortie de l’école…Les guerres de gangs n’existaient pas. Pas en France en tout cas. Sinon la police y aurait déjà mis un terme, c’était logique.
Et au fond, la vie de Miyavi devait se résumer en une série de petites embrouilles à cause d’une barrette de shit, de petites bagarres bénignes, sans conséquences aucune sinon des bleus. Voilà tout.
Toutefois, son jugement quelque peu hâtif et de mauvaise foi fut mis à rude épreuve dans les semaines qui suivirent la nouvelle année.


Janvier était bien installé, son froid mordant également.
Sébastien se hâtait comme chaque jour pour arriver à l‘heure à la faculté. A présent on le confondait de plus en plus avec les élèves, vu la mine sombre et l'enthousiasme débordant de mauvaise volonté qu'il arborait avant entrer dans sa classe ou son amphi, et c’en était presque au point où il rêvait de sécher son propre cours avec les autres à la cafeteria.
La seule chose qui le motivait encore, bien qu’il ne l’admette pas, était de pouvoir s’engueuler comme un putois avec l'élève le plus sexy et le plus provocateur de la fac.
Seulement voilà, un jour, sa détestable -et pourtant appréciée- routine fut saccagée par un incident mineur.
Miyavi arriva en retard.
Toujours aussi beau, toujours aussi sexy, mais en retard, et boiteux.
Cela surprit tant son professeur qu’il ne fit pas la moindre remarque, et dut même se retenir d’afficher un air trop inquiet devant la mine fatiguée du jeune homme. Cela faisait quelques jours qu’il paraissait moins dynamique, qu’il semblait manquer de sommeil, ses répliques étaient moins mordantes, et Sébastien commençait même à remettre en doute son sex appeal.
Le cours fut calme. Trop calme. Miyavi s’était endormi, l’air un peu fiévreux, et le châtain n’avait rien dit.
Il ne pouvait s’empêcher de penser que les armoires à glace qui l’entouraient habituellement s’étaient faites plus rares autour de lui. Certaines figures avaient même totalement disparut.
Seul le petit blondinet, -Samuel avait dit qu’il s’appelait Gackt-, restait là quelle que soit l‘heure, à papillonner autour de lui dès sa sortie de la classe.
Mais ce jour là, le professeur l’avait oublié, et s’il laissa dormir le jeune homme tout le long de son cours, une étrange boule enserrait son estomac alors qu’il remarquait une grosseur due à un bandage au niveau de la cuisse de l’asiatique. Lorsque la fin de l’heure arriva, il regarda sortir tous les élèves, puis se leva à son tour pour s’approcher de Miyavi, décidant de mettre tous leurs différents de côté, puisque oui, il s’inquiétait pour lui. Et il voulait le lui dire.
Alors il s’approchait, comme au ralentit, les mains tremblantes, des idées plein la tête, des tas de formulations possibles pour lui dire qu’il tenait à lui. Il s’approchait, et le brun s’avançait vers la porte. Sébastien allait arriver à ses côtés, Miyu ne semblait pas l’avoir remarqué.
Il s’approchait, plus que quelques centimètres et ce serait dit. Ce serait fait.
Mais là, comme dans un film, son « adversaire » passa la porte. Délicieux, absolument charmant.
Ses cheveux platine parfaitement coiffés, son air enfantin plaqué au visage, ses vêtements à la dernière mode qui lui allaient si bien.

Le châtain se sentit soudain si vieux, si moche, si mal.

Comment pourrait-il seulement concurrencer quelqu’un comme lui?! Les deux jeunes étaient si semblables, si identiques, parfaitement sur la même longueur d’ondes.
Et Sébastien replia les doigts de la main qu’il avait tendue vers l’épaule du brun, referma la bouche qu’il avait ouvert dans le but de l’interpeller, et fit demi tour, se mangeant mentalement tous les balais représentant chaque année qui le séparaient de son élève.
Bon sang que ça faisait mal, il en avait le souffle coupé, la douloureuse impression que tous ses organes avaient décidé de se répandre et se tordre sur le sol.
Il avait beau avoir fermé les yeux en se retournant, il n’avait pas pu échapper à la vision du baiser si langoureux que les deux jeunes avaient partagé. Et à présent il se réinstallait à son bureau, relevant faiblement les yeux vers la porte, espérant qu’ils soient partis.
Bien entendu, il n’en fut rien.
Au contraire.

Gackt avait vissé ses lèvres à celles du brun, et Sébastien sentit son ventre se tordre à nouveau, comme si on l’avait frappé avec une barre de fer.
Bon dieu qu’il avait été stupide.
Ce fut le moment que choisit Miyavi pour stopper le baiser et tourner les yeux vers lui, en un regard dénué de toute moquerie, simplement interrogateur.
Qu’avait donc son professeur à se tenir là ainsi? Le souffle coupé, le visage presque impassible, tentant de cacher sa peine.
-On y va mon ange?
Miyavi fit un rapide aller-retour pour regarder le petit blond suspendu à son cou qui le regardait de ses grands yeux faussement bleus puis l’homme plus âgé qui se tenait à quelques mètres d’eux. Il lança un dernier regard d’incompréhension face au malaise du châtain et repoussa doucement Gackt vers la sortie, lâchant très naturellement un léger « Ta gueule » au blond, dépourvu de colère ou de passion, simplement présent et lassé.



Ça y était. Ils étaient partis.
Seb s’écroula un peu plus sur son bureau. Cette scène n’avait duré que quelques secondes, huit tout au plus, mais pourtant elle l’avait fait admettre ses sentiments protecteurs envers son élève.
Protecteurs oui.
Mais la douleur qu’il avait ressentie en le voyant avec un autre déclamait à qui voulait l'entendre qu’il y avait plus qu’un désir de protection.
C’était de l’envie. De la jalousie. Du désir.
Un désir tronqué par la tendresse que Miyavi donnait au blond.
Le professeur s’aperçut à cet instant que si lui-même n’avait cessé d’avoir l'esprit obnubilé par le jeune homme à chaque instant de l’année qui défilait, ce dernier avait sans doute dû prendre la chose tout à fait différemment. Il avait sûrement dû passer à autre chose. A son âge ce n’était rien. Au sien non plus à y bien réfléchir. On passe à autre chose c‘est tout. Comme on le fait quand on a pas eu ce que l’on désirait.

Gaurnier rentra chez lui, plus malheureux et seul qu’il ne l’avait jamais été. Mais il refusait de se plaindre. Après tout, il l’avait mérité. Il aurait du accepter ce que le brun lui proposait lorsqu’il voulait encore de lui.

Voilà tout.


Alors présent s’il était triste, c’était le juste retour des choses.

Durant les semaines qui suivirent, les élèves du groupe de monsieur Gaurnier-le-seul-l’unique, prof sexy et inconscient des regards des autres, tombaient des nues.

Le major de promo (lol avais écrit major de porno… Va falloir que je me remette aux lemons.) ne faisait presque que dormir en cours -lorsqu’il venait-, et le divin châtain ne lui faisait pas la moindre remarque.

Adieu les cours dynamiques et dynamisants, ceux qui faisaient jaser toute la faculté.

Les cours demeuraient -certes- excellents, mais chacun devait participer à présent. Et tout de suite le rythme était plus lent, peu de monde pouvait se vanter d’être autant au taquet que Miyavi, et la motivation n’était plus là. Ni d’un côté ni de l’autre.


Les joutes verbales manquaient à tout le monde, mais les quelques fois ou le brun daignait ouvrir les yeux et lancer une pique, il rencontrait un mur d’indifférence et de lassitude souvent ponctué d’un « Si vous le dites. »

Ce que les élèves ne remarquaient pas, à l’instar de leur professeur moitié dépressif, c’était l’état de santé du brun qui s’écroulait de jour en jour.

Parfois boiteux, souvent arborant un bandage à la main ou au bras, des fois même à l’abdomen, caché par des vêtements choisis, mais pas assez pour que Sébastien ne le voit pas.

Ses compagnons -hormis Gackt cela va de soi- paraissaient eux aussi prendre des coups. L’un avait un bras dans le platre et un cocard, un autre ne venait plus, et le troisième avait une longue balafre qui parcourait sa joue en plus d’avoir la lèvre fendue.


Un mardi après midi, alors que Gaurnier se dirigeait courageusement vers la cafétéria à la fin de sa journée épuisante, il entendit des voix s’élever d’un couloir attenant. Chose étrange puisque tous les cours avaient commencé depuis… Il jeta un rapide coup d’œil à sa montre, cinquante cinq minutes.

D’un pas à peine plus vif que le précédent, c’est-à-dire vraiment pas rapide, il se dirigea vers la source du bruit.

Lorsqu’il parvint au bout du couloir, juste avant le coin qui le mettrait face à elles, les sons se firent plus nets.

-C’est inadmissible! Dormir en cours! Je rêve! S’exclamait une première voix haineuse.

-Et c’est bien con pour toi, maintenant tu n’as plus autant de monde derrière toi pour effacer tes conneries… Renchérit une seconde, tout aussi désagréable.

-C’est vrai qu’il parait que t’es plus dans les bonnes grâces du peuple… Reprit la première.

-Pauvre petit… Le bruit d’un crâne que l’on tapote se fit entendre, très vite suivi d’un sifflement hargneux.

-Je te déconseille de recommencer une seule fois ça dans ta misérable vie si tu veux pas que je t’arrache les yeux.

-Ha oui? Tu oublies que je peux te virer… Mais après tout tu t’en fout, tu vas bientôt te faire crever comme un po…


C’est l’instant que choisit Sébastien pour couper là l’embrouille entre ces étranges élèves. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se retrouva face à Victor, l’homme qui l’avait dragué il y a de ça des mois, un collègue avec lequel il avait parlé quelques fois et… (Faites semblant d’être surprises) Miyavi! (Là on fait un « oooo » appréciateur.)

Miyavi qui se tenait entre les deux professeurs, l’air passablement énervé, et les deux autres affichant un air parfaitement sadique sur leur visage.

-Bonjour messieurs, que se passe-t-il de si grave pour que toute personne marchant dans les couloirs entende que vous êtes visiblement d’avis opposés?

Trois visages surpris se tournèrent vers lui tandis qu’il marchait vers eux d’un pas félin, un sourire suffisant aux lèvres.

-Problèmes de discipline, tu t’en doutes je suppose… Sébastien, répondit Victor après avoir légèrement hésité.

-Ha? Ca m’intéresse, affirma-il en réponse, se figeant près des trois autres, avec la mine innocente de quelqu’un qui ne bougerai pas tant qu’il n’aurait pas tout entendu. Quel est le problème?

Les deux professeurs le regardèrent avec un air mauvais qui signifiait très clairement qu’il se mêlait de ce qui ne le regardait pas.

-Pour que deux professeurs au lieu d’un ne s’occupent de la réprimande je suppose que ce doit être important non? Argua le châtain avec un sourire ravageur.

-Le jeune homme ici présent s’endort en cours.

-Et?

-Quoi et?

-Et c’est tout? Vu les menaces que vous profériez je m’attendais à une agression ou autre chose du même gabaris..

-Et il se permet de répondre et de se rendormir cinq minutes plus tard. Voilà le problème.

Jetant un coup d’œil rapide au brun qui aurait voulu tous les tuer d’un regard s’il l’avait physiquement pu, Sébastien n’hésita pas un instant.

-De répondre? Donc je suppose qu’il vous a expliqué que sa fatigue est de ma faute non?

Victor le fixa, sceptique et choqué, supposant un sous entendu, et l’autre ne dit rien, ne faisant que froncer les sourcils.

-Voyons il ne vous l’a pas dit? S’il est fatigué c’est entièrement de ma faute, je lui ai donné un énorme devoir supplémentaire pour m’avoir coupé la parole hier. Il a sans doute du travailler dessus une partie de la nuit puisque sa promo finissait les cours à vingt heures. Sur le moment j’avoue ne pas avoir réfléchi. C’est agaçant vous savez lorsque quelqu’un connaît mieux votre cours que vous-même. Ne lui en tenez pas rigueur. Je suis confus franchement que par ma faute il ai pu perturber vos cours…

-Hm… Bien entendu… Si la faute est externe… Hm…
Quelques secondes passèrent, chacun se regardait, se jugeait du regard, et finalement le collègue dont le prénom ne revenait pas en mémoire du châtain s'exclama: 
-Retournez en cours Miyavi.

A cet instant les portes du couloir s’ouvrirent et les élèves se précipitèrent vers la sortie. Le brun n’attendit pas plus et se hâta de rentrer récupérer ses affaires après avoir lancé un regard surpris à Sébastien qui lui même se demandait ce qu'il foutait là.

-Bien, conclut ce dernier, puisque cela est réglé.. Je vous laisse. Bonne journée à vous messieurs.

Sur ces dernières paroles il tourna les talons et sortit de la fac, ignorant le jeune brun qui faisait de son mieux pour le rattraper, tout à ses pensées moroses du "Bon sang, mais pourquoi j'ai fait ça. Pourquoi?!"


============================>

Réponse aux commentaires:
CrazyCrazy: Olalalala merci pour tes si nombreux commentaires! T'imagines pas comme ils m'ont fait plaisir et remonté le moral ^^. Merci vraiment beaucoup!! bisous à toi, désolée je ne retrouve pas tous tes commentaires je les ai validés au fur et à mesure, donc je sais plus ce à quoi je devais répondre... *honte*  *honte*
Cindy: Héhéhéhé suicidaire? Boah pas tant que ça, jte promets il restera en vie encore un ptit moment ^^.
Chocomenthe54: Roooh jsuis contente de voir une lectrice inconnue au bataillon ^^. Ca fait super plaisir de rencontrer de nouvelles "têtes" xD Jsuis ravie de lire que tu aimes mon histoire, j'espère ne pas te décevoir avec ce chapitre quelque peu... Chiant. Ouai faut le dire quand même xD Bisous
Sofiane: Wahou! Ca c'est magnifique comme commentaire! Des comme ça j'en veux bien tous les jours! Merci vraiment, j'espère (comme dit plus haut et comme je le dirais plus bas) que ce chapitre te décevra pas.  Ca m'agace de décevoir les lectrices, jte jure que j'ai fait mon possible, ça fait deux semaines que j'essaie d'écrire. Enfin bref, je me plains pas je me plains paaas. Bisous tout plein, merci beaucoup beaucoup!
Caro: Hi, je suis ravie qu'elle te plaise ^^. C'est super gentil de ta part ^^. Faut que je pense à passer sur ton blog, là j'ai pas le temps mais je le ferais dans la semaine promis. Si c'est pas le cas, hésite pas, viens me harceler, ce sera juste que  j'aurais oublié. bisous.
Satsuki: Yuu merci pour ton commentaire ^^. Ouai Miyu il est plutôt gentil au fond ^^. Il est étrange en fait. Enfin tu verras ça plus en détails dans les chapitres suivants; Promis. bisous!
Draymal: Yeahhh jsuis contente que tu l'aimes ^^!  Personnellement jai jamais pigé le problème avec les choses, mais vu que ça agace tout le monde, j'ai ressorti le sujet bateau. xD. Merci pour ton commentaire kiss peace love etc!
Nalexio: Le voilàààààà bisous!
Poulpy: Oula oui c'est clair, il me manque aussi le forum. Mais bon, on verra si ça reprend un jour ^^. Jsuis passée sur le blog, faut que j'y repasse bientot. Bisous!
Brioche: Merciiii! Merci beaucoup pour ton commentaire, voici la suite, j'espère ne pas te décevoir bisous.
Nariel Alcarin: Rolala tes commentaires ^^ Comme je les aime!! Je te promets, ils vont très vite arrêter le jeu du chat, on va pouvoir passer aux choses sérieuses ^^! Merci d'être si bien si classe si toi! Jtaime fort bisous!!
MMali: Hi dans les chapitres suivant ils vont se rendre mutuellement fous tu vas voir ça va être sympa ^^! bisous bisous merci à toi d'être toujours là^^! (Faut que jpasse sur ton blog!)
YaYa: Mdrrrr Miyatien est chouette? Tu m'en vois ravie ^^. Là c'est un peu moins vivant, toutes mes excuses, je me rattraperai promis!
Anna: Mdrrr Jvais lui dire à Miyu de pas toucher ton sébastien ;) Merci beaucoup pour ton commentaire, il me fait TRESSS plaisir ^^!! Bisousss!
Véra: Rah jsuis désolée, jvous ai encore fait poiroter trois plombes. Pardon pardon =S Tu m'excuseras? Bisousss merci pour ton commentaire
Miss-mangas: Raaah merci pour ce commentaire, t'es géniale ^^! Oui t'as vu hein Gwen  x Vampires, ça déchiiire xD Gros bisous merci à toi d'être toujours là!!
Gabrielle: Merci beaucoup!!! J'aimerais vraiment ne plus faire de fautes, mais la grammaire ça a jamais été mon fort! Merci d'être là et de me remettre les pieds sur terre parfois! Bisouss!
TwilighT: Lool c'est gentill! Promis le jeu du chat et dla souris va très vite s'arrêter ^^ on y est presque! Bisousss!
Delphine: Hi merci beaucoup ^^! Ca va aller pour les problèmes...pour l'instant en tout cas niark!!bisousss!
Sakura: Merci à toi de me lire surtout!! Sans vous je serais rien et l'histoire aurait même pas commencé^^.  gros bisous!

Voilà, je m'excuse d'avoir fait court pour les réponses, je vais pas encore m'excuser pour ce chapitre, je ferais mieux au prochain.
J'arrête pas de le dire en fait. BREF.
Bisous bonne semaine je vous aime.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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