Chapitre 39:
A partir de ce jour, les semaines défilèrent, avec une rigoureuse routine veillant à ne rendre heureux ni le professeur, ni son élève.
Tous deux paraissaient vexés dans leur amour propre. Mais aucun n’avait le temps de se pencher un peu plus sur la question.
De toute manière, ils se persuadaient que leur « relation » n’était qu’une passade non aboutie, une relation étouffée dans l’œuf, un rien inutile et invisible au possible, et après tout
c‘était vrai. Il ne s‘était rien passé entre eux. Oui, presque rien... Et la haine qu’ils éprouvaient à l’égard de l’autre ne leur paraissait due qu’à une rancœur par rapport à son
comportement.
Des deux côtés, ils savaient qu’ils avaient exagéré, l’un dans ses paroles, l’autre dans sa réaction, et ils s’en mordaient communément les doigts, sans le savoir et sans se
l’avouer.
Chaque cours qu’ils avaient en commun devenait l'objet des tensions les plus fortes. Les
élèves entraient dans la salle ou l’amphi avec un air de brebis perdue, l’œil affolé, les mains moites, le souffle court, s’installaient silencieusement et attendaient comme on attend le
tintement du glas les premières paroles du professeur directement contestées par le major de promo.
Ce dernier étant Miyavi, bien entendu.
Miyavi qui, à l’instar de ses camarades, pénétrait dans la pièce à la limite du retard
-toujours la limite, jamais plus-, s’installait avec la lenteur la plus marquée, se dévêtait avec une sensualité à faire trembler les plus blasés. Et le tout sans quitter son professeur du
regard, professeur qui après avoir rougi comme une collégienne les deux premières fois s’était repris et affichait un air lassé à la limite du dégoût, s’attirant par là le respect de ses élèves,
qui n’arrivaient pas à croire qu’on puisse rester de marbre devant un tel striptease trop vite stoppé.
Bref, les cours de TD étaient de véritables concours, c'était à celui qui contredirait le plus de choses sur tel auteur, sa boisson favorite, ses habitudes, n’importe quoi du moment que
l’adversaire ne le sache pas.
Et chaque fois qu’un élève se risquait à proposer une idée, il se faisait fusiller du regard par les deux protagonistes principaux qui s’énervaient de minute en minute.
Ils commençaient à chaque fois par des répliques acides avec un sourire charmeur, puis
les mêmes répliques, encore plus acides, et sans le sourire, puis les sourcils froncés, et pour finir, cramponnés à leurs tables de rage contenue, l’un criant à l’incompétence professorale,
l’autre à la stupidité juvénile.
Le bon point dans l‘histoire, c’est qu’il y avait difficilement plus complet comme cours. On apprenait tout ce qu’il fallait, même si c’était dans une des pires ambiances connues dans
l’université.
Les mois passaient, Samuel n’avait pas pu repasser en ville voir son meilleur ami ou sa
nouvelle connaissance, mais continuait à leur parler régulièrement au téléphone. Et Miyavi se confiait peu à peu à lui, lui racontant sa vie de chef, comment il en était arrivé là, pourquoi il
aimait ce qu’il faisait.
Sébastien était au courant de tout. Car au fur et à mesure, Samuel lui racontait. Il ne trahissait pas l’asiatique, puisque sa vie n’était pas un secret, et ne trahissait pas sa confiance, car
chaque fois qu’il lui avait demandé s’il pouvait en parler au professeur, Miyavi avait montré la plus grande indifférence possible à exprimer au téléphone. Un soupir las, et un « Tu fais ce
que tu veux de ta vie Sam. ».
Donc, Sébastien était au courant de tout, mais se murait dans une indifférence identique à celle de son élève.
Il savait désormais que la ville n’avait commencé à devenir fréquentable que cinq ans auparavant, lorsque le prédécesseur de Miyu en avait pris le contrôle.
Il savait que le jeune homme avait apprit les arts martiaux et la boxe dès son plus jeune age. Qu’il avait dû tuer pour survivre. Tuer pour être respecté. Tuer pour être craint et qu’on le laisse
tranquille.
Il avait entendu de la bouche de Samuel que la vie de chef de quartier n’était pas ce que l’on croit. Que c’était dangereux, que nombreux étaient ceux qui contestaient son règne. Et que s’il le
perdait, il devrait fuir ou mourir.
Mais pour ça, Sébastien faisait la sourde oreille.
Allons, nous n’étions pas dans un film de gangsters. C’était ridicule. Les seuls « chefs » de quartier devaient avoir onze ans et rackettaient les gamins à la sortie de l’école…Les
guerres de gangs n’existaient pas. Pas en France en tout cas. Sinon la police y aurait déjà mis un terme, c’était logique.
Et au fond, la vie de Miyavi devait se résumer en une série de petites embrouilles à cause d’une barrette de shit, de petites bagarres bénignes, sans conséquences aucune sinon des bleus. Voilà
tout.
Toutefois, son jugement quelque peu hâtif et de mauvaise foi fut mis à rude épreuve dans les semaines qui suivirent la nouvelle année.
Janvier était bien installé, son froid mordant également.
Sébastien se hâtait comme chaque jour pour arriver à l‘heure à la faculté. A présent on le confondait de plus en plus avec les élèves, vu la mine sombre et l'enthousiasme débordant de mauvaise
volonté qu'il arborait avant entrer dans sa classe ou son amphi, et c’en était presque au point où il rêvait de sécher son propre cours avec les autres à la cafeteria.
La seule chose qui le motivait encore, bien qu’il ne l’admette pas, était de pouvoir s’engueuler comme un putois avec l'élève le plus sexy et le plus provocateur de la fac.
Seulement voilà, un jour, sa détestable -et pourtant appréciée- routine fut saccagée par un incident mineur.
Miyavi arriva en retard.
Toujours aussi beau, toujours aussi sexy, mais en retard, et boiteux.
Cela surprit tant son professeur qu’il ne fit pas la moindre remarque, et dut même se retenir d’afficher un air trop inquiet devant la mine fatiguée du jeune homme. Cela faisait quelques jours
qu’il paraissait moins dynamique, qu’il semblait manquer de sommeil, ses répliques étaient moins mordantes, et Sébastien commençait même à remettre en doute son sex appeal.
Le cours fut calme. Trop calme. Miyavi s’était endormi, l’air un peu fiévreux, et le châtain n’avait rien dit.
Il ne pouvait s’empêcher de penser que les armoires à glace qui l’entouraient habituellement s’étaient faites plus rares autour de lui. Certaines figures avaient même totalement disparut.
Seul le petit blondinet, -Samuel avait dit qu’il s’appelait Gackt-, restait là quelle que soit l‘heure, à papillonner autour de lui dès sa sortie de la classe.
Mais ce jour là, le professeur l’avait oublié, et s’il laissa dormir le jeune homme tout le long de son cours, une étrange boule enserrait son estomac alors qu’il remarquait une grosseur due à un
bandage au niveau de la cuisse de l’asiatique. Lorsque la fin de l’heure arriva, il regarda sortir tous les élèves, puis se leva à son tour pour s’approcher de Miyavi, décidant de mettre tous
leurs différents de côté, puisque oui, il s’inquiétait pour lui. Et il voulait le lui dire.
Alors il s’approchait, comme au ralentit, les mains tremblantes, des idées plein la tête, des tas de formulations possibles pour lui dire qu’il tenait à lui. Il s’approchait, et le brun
s’avançait vers la porte. Sébastien allait arriver à ses côtés, Miyu ne semblait pas l’avoir remarqué.
Il s’approchait, plus que quelques centimètres et ce serait dit. Ce serait fait.
Mais là, comme dans un film, son « adversaire » passa la porte. Délicieux, absolument charmant.
Ses cheveux platine parfaitement coiffés, son air enfantin plaqué au visage, ses vêtements à la dernière mode qui lui allaient si bien.
Le châtain se sentit soudain si vieux, si moche, si mal.
Comment pourrait-il seulement concurrencer quelqu’un comme lui?! Les deux jeunes étaient
si semblables, si identiques, parfaitement sur la même longueur d’ondes.
Et Sébastien replia les doigts de la main qu’il avait tendue vers l’épaule du brun, referma la bouche qu’il avait ouvert dans le but de l’interpeller, et fit demi tour, se mangeant mentalement
tous les balais représentant chaque année qui le séparaient de son élève.
Bon sang que ça faisait mal, il en avait le souffle coupé, la douloureuse impression que tous ses organes avaient décidé de se répandre et se tordre sur le sol.
Il avait beau avoir fermé les yeux en se retournant, il n’avait pas pu échapper à la vision du baiser si langoureux que les deux jeunes avaient partagé. Et à présent il se réinstallait à son
bureau, relevant faiblement les yeux vers la porte, espérant qu’ils soient partis.
Bien entendu, il n’en fut rien.
Au contraire.
Gackt avait vissé ses lèvres à celles du brun, et Sébastien sentit son ventre se tordre à nouveau, comme si on l’avait frappé avec une barre de fer.
Bon dieu qu’il avait été stupide.
Ce fut le moment que choisit Miyavi pour stopper le baiser et tourner les yeux vers lui, en un regard dénué de toute moquerie, simplement interrogateur.
Qu’avait donc son professeur à se tenir là ainsi? Le souffle coupé, le visage presque impassible, tentant de cacher sa peine.
-On y va mon ange?
Miyavi fit un rapide aller-retour pour regarder le petit blond suspendu à son cou qui le regardait de ses grands yeux faussement bleus puis l’homme plus âgé qui se tenait à quelques mètres d’eux.
Il lança un dernier regard d’incompréhension face au malaise du châtain et repoussa doucement Gackt vers la sortie, lâchant très naturellement un léger « Ta gueule » au blond, dépourvu
de colère ou de passion, simplement présent et lassé.
Ça y était. Ils étaient partis.
Seb s’écroula un peu plus sur son bureau. Cette scène n’avait duré que quelques secondes, huit tout au plus, mais pourtant elle l’avait fait admettre ses sentiments protecteurs envers son
élève.
Protecteurs oui.
Mais la douleur qu’il avait ressentie en le voyant avec un autre déclamait à qui voulait l'entendre qu’il y avait plus qu’un désir de protection.
C’était de l’envie. De la jalousie. Du désir.
Un désir tronqué par la tendresse que Miyavi donnait au blond.
Le professeur s’aperçut à cet instant que si lui-même n’avait cessé d’avoir l'esprit obnubilé par le jeune homme à chaque instant de l’année qui défilait, ce dernier avait sans doute dû prendre
la chose tout à fait différemment. Il avait sûrement dû passer à autre chose. A son âge ce n’était rien. Au sien non plus à y bien réfléchir. On passe à autre chose c‘est tout. Comme on le fait
quand on a pas eu ce que l’on désirait.
Gaurnier rentra chez lui, plus malheureux et seul qu’il ne l’avait jamais été. Mais il refusait de se plaindre. Après tout, il l’avait mérité. Il aurait du accepter ce que le brun lui proposait lorsqu’il voulait encore de lui.
Voilà tout.
Alors présent s’il était triste, c’était le juste retour des
choses.
Durant les semaines qui suivirent, les élèves du groupe de monsieur Gaurnier-le-seul-l’unique, prof sexy et inconscient des regards des autres, tombaient des nues.
Le major de promo (lol avais écrit major de porno… Va falloir que je me remette aux lemons.) ne faisait presque que dormir en cours -lorsqu’il venait-, et le divin châtain ne lui faisait pas la moindre remarque.
Adieu les cours dynamiques et dynamisants, ceux qui faisaient jaser toute la faculté.
Les cours demeuraient -certes- excellents, mais chacun devait participer à présent. Et
tout de suite le rythme était plus lent, peu de monde pouvait se vanter d’être autant au taquet que Miyavi, et la motivation n’était plus là. Ni d’un côté ni de l’autre.
Les joutes verbales manquaient à tout le monde, mais les quelques fois ou le brun
daignait ouvrir les yeux et lancer une pique, il rencontrait un mur d’indifférence et de lassitude souvent ponctué d’un « Si vous le dites. »
Ce que les élèves ne remarquaient pas, à l’instar de leur professeur moitié dépressif, c’était l’état de santé du brun qui s’écroulait de jour en jour.
Parfois boiteux, souvent arborant un bandage à la main ou au bras, des fois même à l’abdomen, caché par des vêtements choisis, mais pas assez pour que Sébastien ne le voit pas.
Ses compagnons -hormis Gackt cela va de soi- paraissaient eux aussi prendre des coups.
L’un avait un bras dans le platre et un cocard, un autre ne venait plus, et le troisième avait une longue balafre qui parcourait sa joue en plus d’avoir la lèvre fendue.
Un mardi après midi, alors que Gaurnier se dirigeait courageusement vers la cafétéria à
la fin de sa journée épuisante, il entendit des voix s’élever d’un couloir attenant. Chose étrange puisque tous les cours avaient commencé depuis… Il jeta un rapide coup d’œil à sa montre,
cinquante cinq minutes.
D’un pas à peine plus vif que le précédent, c’est-à-dire vraiment pas rapide, il se dirigea vers la source du bruit.
Lorsqu’il parvint au bout du couloir, juste avant le coin qui le mettrait face à elles, les sons se firent plus nets.
-C’est inadmissible! Dormir en cours! Je rêve! S’exclamait une première voix haineuse.
-Et c’est bien con pour toi, maintenant tu n’as plus autant de monde derrière toi pour effacer tes conneries… Renchérit une seconde, tout aussi désagréable.
-C’est vrai qu’il parait que t’es plus dans les bonnes grâces du peuple… Reprit la première.
-Pauvre petit… Le bruit d’un crâne que l’on tapote se fit entendre, très vite suivi d’un sifflement hargneux.
-Je te déconseille de recommencer une seule fois ça dans ta misérable vie si tu veux pas que je t’arrache les yeux.
-Ha oui? Tu oublies que je peux te virer… Mais après tout tu t’en fout, tu vas bientôt
te faire crever comme un po…
C’est l’instant que choisit Sébastien pour couper là l’embrouille entre ces étranges
élèves. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se retrouva face à Victor, l’homme qui l’avait dragué il y a de ça des mois, un collègue avec lequel il avait parlé quelques fois et… (Faites
semblant d’être surprises) Miyavi! (Là on fait un « oooo » appréciateur.)
Miyavi qui se tenait entre les deux professeurs, l’air passablement énervé, et les deux autres affichant un air parfaitement sadique sur leur visage.
-Bonjour messieurs, que se passe-t-il de si grave pour que toute personne marchant dans les couloirs entende que vous êtes visiblement d’avis opposés?
Trois visages surpris se tournèrent vers lui tandis qu’il marchait vers eux d’un pas félin, un sourire suffisant aux lèvres.
-Problèmes de discipline, tu t’en doutes je suppose… Sébastien, répondit Victor après avoir légèrement hésité.
-Ha? Ca m’intéresse, affirma-il en réponse, se figeant près des trois autres, avec la mine innocente de quelqu’un qui ne bougerai pas tant qu’il n’aurait pas tout entendu. Quel est le problème?
Les deux professeurs le regardèrent avec un air mauvais qui signifiait très clairement qu’il se mêlait de ce qui ne le regardait pas.
-Pour que deux professeurs au lieu d’un ne s’occupent de la réprimande je suppose que ce doit être important non? Argua le châtain avec un sourire ravageur.
-Le jeune homme ici présent s’endort en cours.
-Et?
-Quoi et?
-Et c’est tout? Vu les menaces que vous profériez je m’attendais à une agression ou autre chose du même gabaris..
-Et il se permet de répondre et de se rendormir cinq minutes plus tard. Voilà le problème.
Jetant un coup d’œil rapide au brun qui aurait voulu tous les tuer d’un regard s’il l’avait physiquement pu, Sébastien n’hésita pas un instant.
-De répondre? Donc je suppose qu’il vous a expliqué que sa fatigue est de ma faute non?
Victor le fixa, sceptique et choqué, supposant un sous entendu, et l’autre ne dit rien, ne faisant que froncer les sourcils.
-Voyons il ne vous l’a pas dit? S’il est fatigué c’est entièrement de ma faute, je lui ai donné un énorme devoir supplémentaire pour m’avoir coupé la parole hier. Il a sans doute du travailler dessus une partie de la nuit puisque sa promo finissait les cours à vingt heures. Sur le moment j’avoue ne pas avoir réfléchi. C’est agaçant vous savez lorsque quelqu’un connaît mieux votre cours que vous-même. Ne lui en tenez pas rigueur. Je suis confus franchement que par ma faute il ai pu perturber vos cours…
-Hm… Bien entendu… Si la faute est externe… Hm…
Quelques secondes passèrent, chacun se regardait, se jugeait du regard, et finalement le collègue dont le prénom ne revenait pas en mémoire du châtain s'exclama:
-Retournez en cours Miyavi.
A cet instant les portes du couloir s’ouvrirent et les élèves se précipitèrent vers la sortie. Le brun n’attendit pas plus et se hâta de rentrer récupérer ses affaires après avoir lancé un regard surpris à Sébastien qui lui même se demandait ce qu'il foutait là.
-Bien, conclut ce dernier, puisque cela est réglé.. Je vous laisse. Bonne journée à vous messieurs.
Sur ces dernières paroles il tourna les talons et sortit de la fac, ignorant le jeune
brun qui faisait de son mieux pour le rattraper, tout à ses pensées moroses du "Bon sang, mais pourquoi j'ai fait ça. Pourquoi?!"
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Réponse aux commentaires:
CrazyCrazy: Olalalala merci pour tes si nombreux commentaires! T'imagines pas comme ils m'ont fait plaisir et remonté le moral ^^. Merci vraiment
beaucoup!! bisous à toi, désolée je ne retrouve pas tous tes commentaires je les ai validés au fur et à mesure, donc je sais plus ce à quoi je devais répondre... *honte* *honte*
Cindy: Héhéhéhé suicidaire? Boah pas tant que ça, jte promets il restera en vie encore un ptit moment ^^.
Chocomenthe54: Roooh jsuis contente de voir une lectrice inconnue au bataillon ^^. Ca fait super plaisir de rencontrer de nouvelles "têtes" xD
Jsuis ravie de lire que tu aimes mon histoire, j'espère ne pas te décevoir avec ce chapitre quelque peu... Chiant. Ouai faut le dire quand même xD Bisous
Sofiane: Wahou! Ca c'est magnifique comme commentaire! Des comme ça j'en veux bien tous les jours! Merci vraiment, j'espère (comme dit plus
haut et comme je le dirais plus bas) que ce chapitre te décevra pas. Ca m'agace de décevoir les lectrices, jte jure que j'ai fait mon possible, ça fait deux semaines que j'essaie d'écrire.
Enfin bref, je me plains pas je me plains paaas. Bisous tout plein, merci beaucoup beaucoup!
Caro: Hi, je suis ravie qu'elle te plaise ^^. C'est super gentil de ta part ^^. Faut que je pense à passer sur ton blog, là j'ai pas le temps mais
je le ferais dans la semaine promis. Si c'est pas le cas, hésite pas, viens me harceler, ce sera juste que j'aurais oublié. bisous.
Satsuki: Yuu merci pour ton commentaire ^^. Ouai Miyu il est plutôt gentil au fond ^^. Il est étrange en fait. Enfin tu verras ça plus en détails
dans les chapitres suivants; Promis. bisous!
Draymal: Yeahhh jsuis contente que tu l'aimes ^^! Personnellement jai jamais pigé le problème avec les choses, mais vu que ça agace tout le
monde, j'ai ressorti le sujet bateau. xD. Merci pour ton commentaire kiss peace love etc!
Nalexio: Le voilàààààà bisous!
Poulpy: Oula oui c'est clair, il me manque aussi le forum. Mais bon, on verra si ça reprend un jour ^^. Jsuis passée sur le blog, faut que j'y
repasse bientot. Bisous!
Brioche: Merciiii! Merci beaucoup pour ton commentaire, voici la suite, j'espère ne pas te décevoir bisous.
Nariel Alcarin: Rolala tes commentaires ^^ Comme je les aime!! Je te promets, ils vont très vite arrêter le jeu du chat, on va pouvoir passer aux
choses sérieuses ^^! Merci d'être si bien si classe si toi! Jtaime fort bisous!!
MMali: Hi dans les chapitres suivant ils vont se rendre mutuellement fous tu vas voir ça va être sympa ^^! bisous bisous merci à toi d'être
toujours là^^! (Faut que jpasse sur ton blog!)
YaYa: Mdrrrr Miyatien est chouette? Tu m'en vois ravie ^^. Là c'est un peu moins vivant, toutes mes excuses, je me rattraperai promis!
Anna: Mdrrr Jvais lui dire à Miyu de pas toucher ton sébastien ;) Merci beaucoup pour ton commentaire, il me fait TRESSS plaisir ^^!!
Bisousss!
Véra: Rah jsuis désolée, jvous ai encore fait poiroter trois plombes. Pardon pardon =S Tu m'excuseras? Bisousss merci pour ton commentaire
Miss-mangas: Raaah merci pour ce commentaire, t'es géniale ^^! Oui t'as vu hein Gwen x Vampires, ça déchiiire xD Gros bisous merci à toi
d'être toujours là!!
Gabrielle: Merci beaucoup!!! J'aimerais vraiment ne plus faire de fautes, mais la grammaire ça a jamais été mon fort! Merci d'être là et de me
remettre les pieds sur terre parfois! Bisouss!
TwilighT: Lool c'est gentill! Promis le jeu du chat et dla souris va très vite s'arrêter ^^ on y est presque! Bisousss!
Delphine: Hi merci beaucoup ^^! Ca va aller pour les problèmes...pour l'instant en tout cas niark!!bisousss!
Sakura: Merci à toi de me lire surtout!! Sans vous je serais rien et l'histoire aurait même pas commencé^^. gros bisous!
Voilà, je m'excuse d'avoir fait court pour les réponses, je vais pas encore m'excuser pour ce chapitre, je ferais mieux au prochain.
J'arrête pas de le dire en fait. BREF.
Bisous bonne semaine je vous aime.
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