Un Nouveau Prof (Yaoi)

Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:26

Rappel : Sébastien est allé chercher Sam à la gare, ils arrivent devant l’immeuble, Miyavi attendait Seb, manque de bol il se vexe en croyant que Sam est avec Seb, Sam comprend pas ce qui se passe, Seb a les nerfs et essaie de retenir Miya, breffouille c’est la merde. Miya se barre avec un grand sourire de vainqueur, il a eu ce qu’il voulait : que son prof le désire même en étant avec un autre homme. Et Sam s’est fait méchamment rembarer.  

 

Je m’engouffre dans l’appartement et me jette sur le canapé, la tête entre les mains. Comment ai-je fait pour me mettre dans une situation pareille ?! Un grand silence ponctue mes pensées.

Je relève les yeux vers Samuel, il est figé devant la porte. Ses yeux vont de droite à gauche, détaillant la décoration de l’appartement avec surprise.

Il lâche finalement son sac sur le sol, et ferme la porte avant de s’approcher de moi et me  prendre dans ses bras.

Je suis surpris, il est si doux, si gentil. Une de ses mains glisse dans mon dos pour me serrer dans ses bras tandis que l’autre passe dans ma nuque, effleurant ma peau tiède qui frémit au passage de ses doigts.

Je blottis mon visage dans son cou quelques instants avant de murmurer :

« Je crois que je suis vraiment dans la merde Sam… ».

 

Il s’écarte légèrement de moi et prend mon visage entre ses mains, appuyant son front contre le mien.

 

T’inquiète pas je suis là. Je pense que ce n’est pas franchement le moment pour parler de tes problèmes de couple, donc si ça t’ennuie pas on va commencer par le plus important. Cet appart ne te ressemble pas.

 

Je souris et répond taquin :

-Ah c’est vrai ? T’as remarqué aussi ?

D’un éclat de rire nous nous relevons et nous dirigeons vers la chambre. (Oui parce que mes  persos rient toujours aux moments qui font pas rire -____-", z'ont le même humour que la créa quoi

Il jette son sac sur le lit puis nous commençons à retirer toute chose bleue de l’appartement. Quelques minutes plus tard, juché sur une chaise, tentant d’atteindre un abat-jour bleu je demande :

-Alors avec Adam ?

–Ho, on a cassé il y a un mois.

Je suis surpris, ça avait l’air d’être l’amour fou entre eux.

 –Mais pourquoi ?

–Trop blond, répond tranquillement le concerné, occupé à enrouler un tapis bleu marine et à l’attacher avec du scotch.

Je suis à nouveau étonné, mais trop occupé pour répondre, les sourcils froncés (lol je  comprenais pas pourquoi « Froncils serrés » ne passait pas xD. Ok Ok il se fait tard ^^), je tente de retirer le dernier crochet, mordant ma langue de concentration.

Enfin j’attrape ce fichu abat-jour et descend de ma chaise à temps pour entendre la question fatidique :

-Et le bel asiat’ de tout à l’heure ? C’était qui ?

Première réaction de mes neurones : Mais d’où il ose dire qu’il est beau ?! Seconde réaction : ouvrir la bouche pour répondre.

Heu un élève.

Silence. Je tourne le regard vers Sam, occupé à un combat sanglant et silencieux contre l’affreux tapis qui refuse obstinément de se faire scotcher.

A cheval dessus, il lutte pour faire le tour avec le rouleau de scotch brun.

 

Non je n’irais pas l’aider, c’est bien plus drôle de le voir galérer ainsi.

Et puis il faut dire que le spectacle est sacrément appréciable, sa chemise noire entrouverte, manches remontées, laissant voir sa musculature et son corps bronzé, ses muscles se tendre nerveusement, cette petite goutte de sueur sur son front…

Je me perds dans mes pensées mais il m’en tire rapidement, me fixant avec un air suspicieux.

Mince grillé…

-Heum… Ouai donc, sacrément possessif comme élève je trouve…

-Ah bon ? Meuh non. Murmure-je en inspectant consciencieusement le parquet tout en changeant discrètement de pièce.

Mais il me suit :

-T’as pas quelque chose à me dire Sébastien ?

 

 –Moi ? Non je ne vois pas… Qu’est ce que tu voudrais que je te dise ? Haha ? Je te cache rien. Pas à toi quand même, et puis je vois pas ce que tu voudrais que je te cache, puisque tu sais  que je ne te cache rien et que voilà quoi. Débitais-je en moins de cinq secondes, comme un enfant qui raconte sa journée à sa mère tout en m’engouffrant dans le couloir.

 

J’entends un rire grave juste derrière moi, et me sens poussé contre un mur sans que je puisse faire quoi que ce soit.

Sam s’approche de moi comme un prédateur, agrippe mes mains et les claque sèchement contre le mur au dessus de ma tête.

Aie, putain tu fous quoi ?! (la cuisine tiens  -__-")

Il s’approche encore de moi, collant son torse brûlant par l’effort contre le mien, effleurant ma bouche de ses lèvres pour aller nicher son visage dans mon cou, laissant son souffle chaud me faire frissonner.

Je veux savoir… Il me donne un brutal coup de bassin qui me fait gémir sans le vouloir, puis retire son visage de mon cou et passe sa langue sur mes lèvres, laissant mon souffle se faire rauque et mes yeux paniquer, …ce que tu me caches.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:27

C’est pas possible c’est pas possible !!!! J’ai vraiment la poisse en ce moment. Pire poisseux de la Terre bonsoiiiir. Bon dieu mais qu’est ce que je peux faire ?!

J’ai chaud…  Je crève de chaud… Je fonds… Le regard  fiévreux je reporte mon attention sur  les yeux de Sam, toujours serré contre moi, sa respiration faisant frotter son torse contre le  mien.

Je murmure d’un ton se voulant autoritaire mais qui ne donnait l’effet que d’une personne haletante ou morte de peur :

S…Sam !

Ce dernier toujours à quelques millimètres de mes lèvres se rapproche à nouveau, saisissant ma lèvre inférieure entre ses dents, serrant doucement jusqu'à me faire gémir sans me quitter  des yeux.

Il s’écarte légèrement, laissant ma bouche rougie :

-Tu ne te défends même pas…

Je sens des larmes affluer vers mes yeux.

S’il te plait Sam… Arrête…, murmurais-je d’un ton suppliant.

Un voile de tristesse glissa dans ses yeux :

-Non… D’abord je veux que tu le dises.

–Dire quoi ?, soufflais, paniqué.

Tu sais très bien de quoi je parle. Ton corps s’exprime à ta place.

Je détournais les yeux, bien conscient de mon érection qui semblait ne pas vouloir me laisser  en paix.

Laisse moi s’il te plait…

-Je  suisdésolé mon ange, mais je ne peux pas te laisser te voiler la face comme ça longtemps. Ca te détruirais. Plus vite tu l’auras admis mieux ce sera.

A ces mots son emprise sur mes mains se relâche, et je me sens à nouveau immobilisé, mais  cette fois face au mur. Les mains plaquées une nouvelle fois au dessus de ma tête. Je sens son corps se rapprocher une fois encore.

Son torse musclé se serrer contre mon dos, me laissant sentir chaque muscle, chaque détail de sa peau. Son bassin se serre contre mes  fesses, je sens contre moi son excitation plus qu’effrayante.

De sa main libre il pose délicatement ses doigts sur mes hanches, me faisant frémir. J’appuie mon front brûlant contre le mur, respirant difficilement. Je pourrais le supplier d’arrêter, mais  à quoi bon ? J’apprécie ce moment, j’apprécie qu’il me touche, je n’en ai que plus honte  encore.

D’un coup de rein il m’écrase encore plus contre le mur, je sens son sexe à travers nos vêtements, il l’appuie fermement contre mes fesses et j’entrouvre les lèvres pour laisser  échapper un gémissement malgré moi.

Arrête Sam…

-Avoue, me répond-il dans un murmure brûlant, échauffant la peau de mon cou de mille  sensations délicieuses.

Sam s’il te plait arrête… J’ai honte…

Sa main quitte ma hanche pour aller errer sur  mon ventre, glissant sous mon t-shirt et remontant langoureusement le long de mes abdominaux. Ses doigts continuent de frôler ma peau, remontant légèrement pour aller taquiner un bout de chair rosée.

Je gémis une nouvelle fois. Sa main redescend vers mon pantalon, s’attardant sur le rebord du jean, avant de glisser vers mes cuisses, les caressant à travers le tissu, griffant légèrement le jean, me donnant des frissons.

Ses doigts se referment sur ma jambe, et l’écartent légèrement de l’autre, puis appuyant sur  mon aine il se rapproche encore de moi, serrant son sexe sous mes fesses comprimées dans ce fichu pantalon. Une partie de moi crèverait pour qu’il l’arrache et me prenne directement ici, mais une autre commence à paniquer sérieusement.

Seb c’est quand tu veux, souffle-il en mordillant mon oreille.

Je ne réponds rien. Je ne peux pas le dire, même si c’est tellement évident.

 – Arrête Sam, je n’en ai pas envie… Arrête s’il te plait…

-Ouai je vois ça, siffle-il agacé, me donnant un nouveau coup de rein qui me fait gémir.

Il reprend ensuite :

-Alors comment expliques tu… ceci ?

Je glapis. Il vient de poser sa main sur la bosse impossible à rater qui déforme mon pantalon. Je marmonne quelque chose d’inintelligible du genre  « Stafot’connarrrrdemerdeee ».

Je m’imaginais qu’il me laisserait  tranquille… Après tout il a eu ce qu’il voulait. Mais non.

Sa main commence à s’activer lentement à la surface de mon pantalon, caressant mon sexe  tendu à travers. Mes yeux se troublent et je m’affaisse un peu plus à chaque instant.

Je ne peux pas… Je ne peux pas… Pitié…

Ses doigts remontent légèrement pour aller s’introduire sous le  jean, et sous le boxer par la  même occasion. Je le sens jouer avec l’élastique de mon sous vêtement. Sa main continue à descendre lentement et…

-OK OK JE SUIS BI ARRETE LACHE MOI ! LES HOMMES M’ATTIRENT LACHE MOI JE T’EN PRIE.

La prise sur mes mains se desserre, il me retourne lentement vers lui et me sourit.

He ben voilà mon ange… C’était pas si dur…

Il m’embrasse doucement le coin des lèvres et s’éloigne.

Je vais prendre une douche glacée, t’as le droit de me rejoindre si t’arrives pas à te défaire  de… ça.

D’un mouvement de tête il désigne mon sexe douloureux, me fait un sourire doux et se dirige vers la salle de bain.

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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Lundi 19 mai 1 19 /05 /Mai 14:32
Vingt minutes plus tard  je suis assis sur le canapé du salon. J’ai allumé la télévision et  regarde défiler les images sans les voir. J’écoute les répliques débiles sans les entendre.

Je suis complètement vidé. Je n’ai pas eu besoin de douche froide, ou de me soulager. Ma  honte et mon stress se sont occupés de tout. J’entends Sam ouvrir la porte de la salle de bain. J’entends ses pas dans le couloir. Je l’entends approcher.

Je relève les yeux vers lui. Je dois avoir l’air d’un fou, les yeux rougis par des larmes que je  retiens tant bien que mal, les traits tirés.

 

Il s’assied à côté de moi et pose sa main sur mon épaule, serrant ses doigts sur ma peau :

-Hey Sébastien, ce n’est pas un drame d’être gay. Ou même bi. Ne prends pas ça comme une tare.

Il me sourit et me tire vers  lui. J’enfouis mon visage dans son cou et murmure d’une voix faible contre sa peau :

-Mais je n’ai jamais été attiré par les… par  des… par… Jamais. Pourquoi maintenant ?!

–Rah arrête ça, il y a des gens qui sont homos depuis leur naissance, d’autres qui le  deviennent plus tard, et d’autres encore qui se foutent royalement du sexe de leur partenaire. Tant qu’il te plait c’est l’important non ?

Je ne réponds pas et ferme les yeux. Il a raison je le sais.

Et puis c’est pas comme si tu venais d’apprendre que ta peau allait devenir violette. Les gens ne te regarderont pas autrement. Tu restes le même.

Je souris et me redresse :

 -T’es bête mais je t’adore tu sais.

–Moi aussi je t’adore vieux. Il me serre dans ses  bras. Bon c’est pas tout ça mais tu veux vraiment qu’on passe la soirée à jouer les minettes dépressives ? Où on peut continuer à triturer ton appartement ? Parce que bon… Te chauffer ça m’amuse bien, mais vu l’état de déprime dans lequel ça te met ensuite je crois que je vais pas recommencer de sitôt. Je souris à nouveau :

-T’appelles ça chauffer toi ?! Pour moi c’est du rentre dedans !

Il me regarde un instant et affirme d’un air cent pour cent sérieux :

Ah non, si je t’étais rentré dedans tu ne serais pas assis sur tes jolies petites fesses en ce  moment, et je crois que tu ne les poserais pas sur une chaise pendant au moins deux jours.

–T’as une vieille lueur lubrique dans ton regard Sam, ça le fait pas.

Nous rions tous les deux puis je me recolle contre lui :

-En tout cas ne recommence pas ce que tu as fait tout à l’heure s’il te plait.

 –Excuse moi je ne voulais pas te faire peur…

-C’était pas de la peur Sam… Mais je n’aime pas ne pas avoir le contrôle de la situation tu comprends ?

–Ah ? Je le sens se tendre. Donc ça t'as pas déplu ? Il glisse sa main sur ma  cuisse. Pas  déplu… Et la remonte lentement, griffant le tissu du bout des ongles… du tout ?

J’éclate de rire et le repousse en riant :

-Sam t’abuses ! Arrête ça !

Il penche le visage sur le côté :

J’y peux rien t’es tellement mignon quand tu rougis.

Je  lui envoie un petit coup de poing dans la joue :

-Enfoiré va !

D’autres coups s’en suivent, testant notre rambarde d’abdominaux au passage. Nous nous retrouvons rapidement sur le sol, à lutter comme si notre vie en dépendait, les rires en plus.

Je sens qu’il retient ses coups à cause de mes hématomes résistants, tant pis pour lui. Je  prends rapidement le dessus et le colle dos au sol, moi à cheval sur lui.

Il tente de dévier grâce à des chatouilles mais perds également à ce jeu.

Nous nous immobilisons finalement, haletants.

Mes  yeux quittent les siens pour me rendre compte que sa chemise s’est ouverte, dévoilant  son torse couvert d’un voile de sueur. Je déglutis et tente de détourner le regard. Mais il se redresse sur les coudes et me sourit malicieusement.

Sèb ?

–Hin quoi ?  

–Ca  va ça te plait ?

Je fais la moue. Pris en faute comme un ado.

 –Mvoui ça va, j’avoue que c’est sympa à voir.

Il lève les yeux au ciel :

-Ma parole, si après ça tu oses me sortir que les mecs t’attirent pas… Heum lève toi s’il te  plait.

 –Pourquoi ?

–Parce que t’es assis sur une certaine zone assez érogène chez moi… D’ailleurs érogène chez  tous les hommes à mon avis… Et qu’en plus… Ho mon dieu… Lève toi. Lève toi Sébastien tu commences à bander et je  ..sssssssssss...suis pas de marbre non plus.

Avec un sourire taquin j’obéis et me lève, sans oublier de bien faire entrer en contact nos vêtements au passage. Je murmure à son oreille en me redressant:

Pas de marbre ? Au moins de pierre je dirais…

Je le vois  se redresser rapidement, rouge…

-Heu… Oui bon bien. Heu… T’as de la peinture ?

 

 

 

Gni ? C’est quoi ce changement de sujet merdique ?!!

 

 

(Et c'est quoi cet article de merde?!!! Non mais spas ma faute  j'ai pompé toute ma bonne inspiration à faire ma maj sur Dainsleifin ==>  Roh l'excuse  -________-" Lynchez  moi!

Ps: Si sur l'image vous ne voyez pas son superbe torse musclé et que vous avez décidé de  râler, fermez les yeux et frappez vous la tronche sur le clavier (non mais je rêve  >_<"))

Par Absynthe - Publié dans : Un Nouveau Prof (Yaoi)
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