ARTICLE ENFIN LISIBLE
Bon sang! (Publication d'article (pas l'écriture du chapitre hein) commencé à minuit, achevé à... (jai pas fini et il est deux heures 14.))
Un mois sans mise à jour.
C'est honteux. Je suis désolée.En plus c'est pas sur l'histoire que vous attendiez... Désolée.
Vraiment.
Enfin bref, je vous invite Vivement à aller lire l'article papote que j'ai publié hier.
Comme dit dedans, il reste huit chapitres à paraître, puis ce sera la fin.
(*saute dans tous les sens*)
Hé oui les filles, Absynthe l'impossible va ENFIN réussir à boucler une histoire!!!si c'est pas magnifique ça!!
(Commmme je suis HEUREUSE rien qu'en y pensant. Les mots "The End" me font rêver.)
Bon sinon, un petit sondage que je souhaiterais que vous fassiez, c'est pas long, ça coute rien, et ça me met de bon poil.
SONDAGE
Autre chose.
Pourriez vous me donner vos trois auteurs de yaoi favoris dans un commentaire?
By Fushiart (Deviantart).
Liens à cliquer:
Un super forum ici: Quatre Mots sur un Papier
Véiane
Wenna
Alexx
Shinigami0Purple A lire : Kurenai Club, Sex Neighbour, Faits divers, In love with Daddy. Tout simplement di-vins. Majs TRES régulières. Une par jour sur une histoire dans le tas.
Cindy/Ciciloute
Voilà sinon que vous dire?
Je dois écrire une histoire pour enfants à ma belle mère pour son anniversaire... tout ce que j'ai réussi à faire pour l'instant c'est un prince qui va délivrer une princesse d'un dragon super moche et l'air super méchant, qui l'embarque dans son chateau (la princesse blonde et belle), puis la ramène un mois après pour la remettre dans le donjon vu qu'elle est trop conne, et il se barre avec le dragon métamorphe, parce que le physique ne compte pas, et que le dragon est super adorable. Génial.
On sent un peu la yaoiste nope? xD?
Sinon, je suis seule à estimer que dans CHAQUE film le héros doit se taper le méchant ou son meilleur pote (ou les deux?) plutôt que la nana belle et chiante?
Genre là jsuis allée regarder Fast And Furious 4 (il est extra soit dit en passant) et je trouvais que les deux gars avaient des gestes TROP tendancieux, et qu'ils iraient super mieux ensemble.
(Surtout que, soit dit en passant, ce film met en scène toutes les pauvres nanas bêtes et stupides que l'on croise dans le bus. Celles qui écrivent des poèmes en sms vous voyez le genre? Super imbuvables? bon à part la nana du début. Celle qui meurt (faut bien xD).)
Et au fait, jsuis la seule à penser (aussi) que Vin diesel nommé "Dominique" c'est ri-di-cule? Direct j'ai une chanson qui me vient en tête Do-mi-niqueuh-niqueuh-nique niania.
Chapitre 41°:
Rappel du chapitre précédent:
Samuel est de retour dans la ville de nos deux protagonistes principaux. Il loge chez Sébastien, et voit Miyavi un soir avant de repartir. Ils vont en boite de nuit, en ressortent, et Miyavi se rend compte qu'ils sont suivis par cinq hommes. Il ordonne à Samuel de se placer derrière lui, dans le coin d'une ruelle, et de fermer les yeux.
-Ferme les yeux Samuel.
-Qu…
-Ferme les! Maintenant!
Aussi fou que fut et ordre, Samuel obéit.
Il ne savait lui-même pas pourquoi il faisait ce que cet homme -qu’il ne connaissait pas si bien que ça- lui ordonnait, mais il avait étrangement confiance en lui.Après tout ça n’était pas n’importe qui.
C’était Miyavi, chef du quartier Sud de la Ville, à son poste depuis ses dix-neuf ans, combattant sans pitié le moindre idiot se plaçant sur sa route.
Alors, lentement, ses paupières se refermèrent sur elles même, le plongeant dans une obscurité totale, le laissant aux mains cruelles et angoissantes de l’ouïe et de l’odorat.
De son point de vue, le combat eut une dimension étrangement particulière. Tout autour de lui n’était plus que sensations et impressions.
Derrière lui, le contact des briques humides qui s’enfonçaient dans son dos, imprégnant sans doute une odeur atroce d’urine animale, humaine, et de mousse dans ses vêtements gucci. Devant lui, la respiration calme de Miyavi.
Le sifflement des lames dans l’air alors que le vent les effleurait simplement sans qu’elles aient bougé. Il entendit également le bruit d’une veste que l’on retire et qui chût à ses pieds, encore tiède de la proximité de la peau du beau brun. Il pouvait percevoir chaque pas de chaque homme présent alors qu’ils s’espaçaient, s’écartant les uns des autres pour ne surtout pas faciliter la chose au chef.
Ce qu’il ne voyait pas, c’était l’allure de ces hommes, de leur démarche tranquille au flegme dont-ils faisaient preuve en se préparant au combat.
Chacun abordait un sourire rassurant.Miyavi avait beau être fort, cinq hommes n’étaient pas rien. Ils n’en sortirait jamais indemne, et leurs regards se croisaient pour finir par se fixer sur le mannequin derrière lui. S’il échouait, l’autre mourrait également.
C’était hors de question.
Alors le brun s’avança un peu plus, rattachant ses cheveux hauts sur son crâne avec un faux calme parfaitement imité, et planta ses pieds dans le sol de pierre, traçant mentalement une ligne de sécurité autour du châtain foncé derrière lui. Ils ne passeraient pas.
Le silence s’éternisait. Samuel pouvait à présent définir la position de chaque personne de la scène. Il ne comprenait pas pourquoi aucun ne parlait. Il ne voyait pas son ami se voûter progressivement, écartant ses bras armés de chaque côté de son corps, signe d’une barrière invisible et d’une invitation à l’attaque. Comme un seul homme, les cinq attaquants se ruèrent sur lui en un cliquètement d’armes et froissement de tissus tout bonnement effrayant.
Toutes les respirations s’étaient coupées un instant, jusqu’au contact des corps cognés les uns contre les autres.
C’était brutal, c’était sourd.
Et c’aurait pu être excitant s’il n’avait pas eu si peur pour l’élève de son ami. Bon sang, un élève de faculté était en train de risquer sa vie pour lui!
Le sifflement du métal retentit à ses oreilles. Miyavi venait de bloquer deux armes de son poignard long, de trancher une partie de joue de l’autre, d’envoyer un coup de pied au quatrième homme pour le repousser avant qu’il ne le frappe, mais ne put contrer le coup de couteau qui atteint sa cuisse et le fit fléchir une seconde. Le temps pour que les autres se reprennent et fondent à nouveau sur lui.
Oh non, ils n’étaient pas le genre de ninjas stupides des films, ceux qui attaquent un après l’autre, laissant d’énormes failles apparaître dans leurs techniques, s’écroulant au sol à la moindre pichenette.
Et Miyavi n’était pas le genre de sublime musclor extrêmement sexy qui, tout en se battant avec l’un, trouvait une barre de fer étrangement abandonnée dans le coin pour taper sur un autre en étranglant un dernier avec la chemise qu’il venait de retirer d’un mouvement calculé sans se mettre en danger, et en faisant baver toutes les minettes dans la salle de cinéma.
Oh non.
Et l’asiatique ne put que réceptionner un nouveau coup de couteau sur son flanc, plusieurs coups de pieds qui faillirent faire céder ses genoux sous l’impact, et sous la douleur, sa colère se décupla. Ils étaient trop nombreux, ils allaient le mettre en pièces et ils allaient torturer Samuel, l’ami de Sébastien.
Le sien aussi!
Alors, mu par une montée d’adrénaline, il tourna sur lui-même, déstabilisant les autres, et planta son couteau le plus court droit dans la nuque d’un des hommes, enfonçant le second dans un estomac et parant un coup avec son genou.
Deux s’écroulèrent, les trois derniers s’avancèrent à nouveau. Le brun cracha du sang. Il se sentait faiblir, il fallait faire vite.Il s’appuya résolument sur sa jambe blessée, stabilisant son équilibre, et réceptionna avec un gémissement de souffrance le nouvel adversaire qui se jetait sur lui.
Un instant il fut tenté de rouler au sol avec ce dernier, mais c’aurait été dégager la voie pour qu’ils attaquent le mannequin, alors les coups s’enchaînèrent entre leurs corps presque collés l’un à l’autre. Les respirations s’entre croisaient. Il sentait des effluves de shampooing parvenir à ses narines, se mêler à un déodorant musqué, fort, presque envoûtant.
La lame du couteau du blond collé à lui pénétra son épaule, et la sienne trancha sa jugulaire d’un coup sec, le laissant s’écrouler à ses pieds. Il lâcha son couteau court, et plaqua sa main sur son épaule vacillant sous la douleur.
Plus que deux.
Un déjà blessé à la jambe, l’autre n’ayant qu’une mince estafilade sur la joue. D’un commun accord ils attaquèrent tous deux de biais, mais le brun l’avait prévu, et il se baissa à temps pour ne prendre que de simples égratignures le long de son dos, brisant un genou d’un coup bref, et tranchant une artère fémorale de l’autre côté.
Un hurlement retentit, changeant des grondements rageurs qu’il avait entendu jusqu’à présent.
C’est vrai, un genou rompu était peut-être plus douloureux, ou au moins d’une douleur plus vicieuse, qu’un coup de couteau. Il planta une dernière fois sa lame dans la nuque du blessé, et se mit à quatre pattes, respirant difficilement cherchant presque à tâtons l’arme qu’il avait laissé tomber sans la trouver. Le silence reprenait doucement place dans l’arène.
C’était terminé.
Il avait gagné.
Quelques respirations sifflantes des survivants se faisaient entendre par delà les formes ensanglantées qui tremblaient de froid et de souffrance.
Mais avant tout, c’était les sanglots étouffés derrière lui qui le firent se relever et se retourner vers le mur.
Il avait gagné… Mais à quel prix?
Il baissa les yeux vers Samuel, accroupis, les jambes tremblantes, une main devant sa bouche, du sang en dégoulinant tant il l’avait mordue, les yeux résolument clos. Il respirait la peur, sa poitrine oscillait à une vitesse fulgurante, et des larmes mal retenues coulaient de ses paupières fermées. Doucement, il s’avança, n’ayant pas la force d’ouvrir la bouche.
Et lorsque son pied traîna sur le sol en un frottement sonore, le châtain brandit un couteau sortit de nulle part devant lui, et se redressa contre le mur, sans ouvrir les yeux, mais en retirant sa main meurtrie de ses lèvres.
-Dis moi que c’est toi. Dis moi que c’est toi je t’en supplie, murmura-il à toute vitesse.
-Sa… Sam.
Deux yeux s’ouvrirent en une fraction de seconde, révélant à la lueur des réverbères les iris noisette du jeune mannequin, pupilles exagérément dilatées.
-Miyavi!
-C’est à moi ça je crois, fit l’autre, cherchant à déplacer l’attention sur autre chose que sur son corps mutilé et tremblant.
-Oui… Souffla Samuel. Oui c’est à toi. Oh Miyavi j’ai eu peur. Putain et tu es sacrément amoché!
-Si peu…Si peu, ricana le brun en vacillant.
-Viens, on va chez Sébastien.
-N…
Le refus du chef de quartier fut étouffé par un glapissement lorsque Samuel, la veste du brun en main, eut posé le regard sur les corps étendus au sol.
Une nausée le prit à la vue de tout ce sang.
-Putain, lâcha-il. Tu… Te… Bordel.
Il n’arrivait plus à parler devant l’horreur sans nom que représentait la scène. Et ce fut l’instant que choisirent les jambes du combattant pour céder sous son poids.
Le mannequin le rattrapa avant qu’il ne s’écroule, et le prit dans ses bras, le soulevant du sol, pour ensuite enjamber les corps sanglants qui s’étalaient devant ses yeux, faisant appel à son sang froid.
Les dix dernières minutes qui s’étaient déroulées avaient un petit quelque chose d’irréaliste.
Mais il ne trouvait pas quoi. Lorsqu’il s’engagea dans la ruelle ou habitait son ami, et qu’il posa le regard sur la forme à moitié inconsciente dans ses bras, il comprit.
Les longues jambes du jeune homme balançaient dans le vide, ses cheveux s’étaient détachés, une mèche paraissait manquer à l’appel, il respirait difficilement, ses côtes ayant souffert.
Le problème de cette histoire, était que c’était un jeune homme de 70 kilos, aussi fin et délicatement fait qu’une jeune femme qui s’était battu, se prenant des coups tandis que lui, 90 kilos de muscles faits en salle de muscu, n’avait rien pu faire pour l’aider parce qu’il ne savait définitivement pas se battre.
Encore moins contre des hommes entraînés.Alors Lui, mannequin de bientôt 28 ans, s’était laisser protéger par un gosse de seulement 22. Un gamin duquel son meilleur ami était amoureux quoi qu’il en dise.Il atteint la porte d’entrée et reposa le jeune homme au sol le temps de faire pénétrer le double des clefs appartenant précédemment à Cathy dans la serrure.Sébastien allait le tuer c‘était clair.
Poussant la porte contre le mur, il entendit la poignée s’enfoncer comme à chaque fois dans le trou de plâtre de la cloison. Un gémissement sonore se fit entendre contre lui. Miyavi tentait de le soulager de son poids en faisant quelques pas en avant.Mais il était épuisé, blessé, bourré, totalement inoffensif, à la merci du premier venu. Le châtain foncé le reprit dans ses bras, et entama l’ascension des escaliers de bois aux marches creusées par les pas, rendues glissantes par la cire que certains voisins s’obstinaient à mettre sur le vieux chêne. Le parcours du combattant en bref.
Lorsqu’il arriva à l’étage de son ami, il se laissa cogner contre la porte, cherchant à remettre la clef dans la serrure sans faire tomber le blessé qui avait r’ouvert les yeux.
-Sam… Sam bordel je veux pas qu’il me voie comme ça, je…
La porte s’ouvrit brusquement, révélant un professeur aux yeux écarquillés et aux cheveux défaits, de toute évidence fraîchement éveillé. Sa mâchoire sembla prête à choir au sol lorsqu’il vit l’état de son élève.
-Putain non. Non, non! Sam! Qu’est-ce que t’as foutu bordel?!
Son inquiétude était parfaitement visible, il paraissait être prêt à pleurer de rage de voir le jeune homme dans cet état.
Ni une ni deux il saisit le corps de Miyavi des bras de son ami épuisé, et fit demi tour vers sa chambre à grands pas, grimaçant lorsqu’un gémissement de douleur se fit entendre alors qu’il serrait un peu trop fort le gamin.
Avec une douceur dont il n’avait jamais fait preuve pour quiconque, il le déposa sur ses draps aux couleurs mordorées.
Passant ensuite la main sur son front, repoussant les mèches de cheveux qui voilaient son visage, pour rencontrer deux orbes noires, appartenant à un jeune homme parfaitement éveillé, définitivement honteux d’être là, qui ne savait absolument pas quoi dire.
Mais le regard douloureux que posait le professeur sur lui acheva de le détendre. … Ou de l’assommer.
C’était de l’inquiétude, de la tendresse, de la colère aussi qui traversait le regard vert de son aîné, et il ne put que se laisser aller dans les draps, serrant les dents pour ne pas geindre. Vivement, Sébastien se releva, et tomba nez à nez avec Samuel, qu’il fusilla du regard comme jamais.
Une aura de colère semblait s’étendre autour de lui. De là ou il était l’asiatique pouvait le sentir en rage, il voyait ses poings serrés, ses traits tirés, le pli de ses lèvres serrées, et le mannequin ne put que baisser les yeux, reculant de deux pas.
Pas besoin de mots. Samuel savait ce que son ami lui reprochait.
Pas sa présence comme on pourrait le penser, mais son état, alors que lui n’avait rien. Non bien sur, il ne souhaitait pas que son ami souffre, mais il aurait espéré qu’il l’aide.
Qu’il ai fait quelque chose pour l’empêcher de se prendre des coups.
Le professeur dévia son regard et partit pour la salle de bain, revenant avec une paire de ciseaux, du désinfectant et quelques bandages.
-Sam, va lui chercher un verre d’eau, lança-il son ami avant de s’adresser au jeune homme:
-Je vais découper tes fringues, j’ai pas envie de te faire plus mal que tu n’as déjà.
L’autre acquiesça douloureusement. Pas besoin de faire de scène, sa dignité était morte lorsqu’il avait passé le pas de la porte.
Quelques minutes plus tard, il finit de nettoyer les plaies, et donna des antalgiques au brun.
-Je suppose que l’hôpital est hors de propos…
-Vous supposez bien.
-Tu vas être alité pour quelques jours tu sais.
-Je partirais demain, ne vous inquiétez pas.
-C’est hors de question! Coupa Samuel. Sèb, tu peux pas le laisser bouger comme ça, il va se faire tuer!
-Ta gueule Sam, lança le châtain, amer.
-Mais tu SAIS qu’il va crever! Tu es au courant de tout! Je t’ai tout dit tu peux pas le…
-Tais-toi, siffla l’autre d’un ton mauvais. Miyavi tu vas rester ici jusqu’à ce que tu te remettes, je t’apporterai tes cours. Mais maintenant je veux savoir ce qui s’est passé.
Samuel expliqua rapidement la situation, et laissa sa voix mourir en fin de phrase lorsqu’il vit les poings de celui qui le logeait se serrer à nouveau.
Mais à sa surprise, c’est sur le chef de quartier qu’il s’énerva.
-Tu es inconscient! C’est la guerre et tu sors te bourrer la gueule! Sans escorte! Mais à QUOI tu as pensé?!
-Occupez vous de votre cul je vous ai rien demandé Gaurnier!
-Pardon? Bon sang mais c’est MON meilleur ami que t’as entraîné dans tes conneries! Et c’est VOS vies que tu as mis en jeu pour aller jouer aux adolescents en chaleur sur une PUTAIN de piste de danse!
-C’est bon arrêtez, il a rien eu…
-Mais il aurait pu êt…
-Mais il n’a RIEN eu! Je l’ai protégé d’accord?
Un rayon de soleil traversant les rideaux coupa la discussion, éclairant les yeux du professeur, tremblant de colère et de rage. Ce n’était pas seulement pour Samuel qu’il était en colère.
C’était le fait de voir tant de souffrance sur le visage de son élève si fort habituellement. Alors toute colère le quitta. Laissant place à une lassitude sans fond.
Sa main s’avança jusqu’au visage de l’alité, mais il croisa son regard, et suspendit son geste.
-Dors. Personne ne saura que tu es ici tant que tu ne seras pas en forme. Bonne nuit.
Il n’eut pas de réponse, le jeune homme venait de fermer les yeux pour fuir ce monde de douleur et de déception et en rejoindre un autre, plus beau, plus étrange, ou les fantasmes deviennent réalité l’espace d’une seconde. Sébastien rejoint la cuisine, ou Samuel, avachi sur une chaise subissait le contre coup de l’adrénaline.
-Ca va Sam?
-On ne peut mieux après m’être fait hurler dessus mon cher Sébastien.
-Excuse moi…
-Je sais, tu as eu peur pour lui.
-Pour toi!
-Pour nous. Ok. C’est bon Seb, c’est oublié.
-Pour vous… Oh je ne veux plus que tu reviennes dans cette ville pourrie. Je vais finir mon contrat, et je me ferais muter. En attendant reste loin.
Il prit le mannequin dans ses bras.
-Ca me ferait chier s’il t’arrivait quelque chose. T’aurais une cicatrice, ta carrière serait foutue, et le pire: je pourrais plus me la péter à côté de toi si t’es un balafré, chuchota-il à l’oreille du brun avec un sourire.
-Bien bien honey, je ferais attention c’est promis.
-Ton train est à quelle heure?
-Dans deux heures environ.
-Je t’accompagnerai à la gare. Je passerai à une pharmacie en même temps. Mais je ne pourrais pas rater de cours, sinon ils se douteront de quelque chose.
-Tu crois que les gosses de la fac cafteront?!
-J’en suis sûr. Eux, certains profs, tous.
-Merci de t’occuper de lui. Si je pouvais-je le ferais tu sais mais…
-C’est bon, je peux pas le laisser crever dans son quartier pourri.
-Et ça t’arrange bien avoue.
-Raconte pas de conneries plus grosses que toi Sam.
-Tu le connais mieux que moi tu sais…
-Je ne passe pas mes soirées au téléphone avec lui, donc non.
-Je parlais sur un plan physique, ricana Samuel avec un sourire fatigué.
Il se délecta de la faible rougeur qui apparut sur les joues du professeur gêné.
-C’est pas comme si ça allait recommencer de toute manière. Je vais m’occuper de lui, mais ce sera strictement professionnel.Il se dirigea vers la porte de la cuisine et lança qu’il allait prendre une douche sans entendre la dernière phrase du mannequin murmurée avec un sourire dément:
-Ca tu vois j’en doute mon chou…
Réponses aux commentaires:
Sofiane: Gnéhéhé non mais y a pas de problème ma biche hein, jt'en voudrais pas de te masturber HEIN *sourire embarassant*. Niark flemmasse, je te comprends amplement ^^ et je te remercie d'avoir craqué pour cette fois xD Ouiii point barre, je me suis sentie toute conne quand on me l'a appris xD... 20 heures par jour? pas mal, j'en suis à 14 xD... bisous!
Chocomenthe: Yeah girl je me suis inscrite et j'ai pubé, j'espère que ça va attirer du monde ça en vaut le coup ^^.
Liil0uù: Aw fatché il est dur à écrire ton pseudo xD Le lemon arrive, lime dans le prochain chapitre, lemon dans le suivant je crois. J'ai tout noté dans l'article papotage je crois.^^. Jsuis super flattée que tu aimes cette histoire et que tu en penses autant de belles choses! Mercibisous!
Wenna: hihi dis moi tu sais que tu dessines super bien? Je suis passée sur ton blog et il y a une image sur laquelle j'ai totalement craqué, je commenterai dessus. Merci pour tes adorables commentaires bisous!
Tadssadit: Inscris toi à la newsletter, je te jure que ça sera plus pratique pour toi ^^ bisous. Le grenat bleu est en écriture ^^.
Farah: AAAAAAAAAAAAh je sens que je vais te laisser sur ta faim non? xD? bisous!
Marine: Yeahhh je suis heureuse de voir que tu penses la même chose que moi de the good etc ^^. Faut que je passe sur ton blog pour répondre à tous tes commentaires, désolée pour le reatard my love. (je me mets à l'anglais, tout le monde a remarqué?) Bisous my dear merci pour tout <3!
Kagura: bon retour parmis nous ^^! Bon courage pour ton inter (qui est passée) j'espère qu'elle s'est bien déroulée ^^ bisouss!
Caro: Arffe jsuis désolée, j'ai pas terminé avec le suspense, c'est sadique, ça emmerde tout le monde je sais xD.. mais c'est un peu la victoire personnelle de l'auteur :p. Arf et pour la danse, tout se fait, ils sont jeunes, je suis totalement contre les règles à la con du "tu touches pas mon pote parce que j'ai décidé que peut-être un jour je me le taperai" les contacts sont humains, c'est essentiel. Bisous!
Nariel: Mdrrr comme à chaque fois je suis juste morte de rire en te relisant xD... Juré ma belle ce sera un couple, donc deux personnes. Promis! Pour le reste du com je crois qu'on en avait parlé sur fassedebouke, d'ailleurs faudrait que je m'y reconnecte unnjour... Bisous je t'aime!
Onakasuita: rooh c'est un super gentil commentaire ça =D Effectivement les gens se sont motivés ^^ça fait plaisir! J'espère que le chapitre qui vient te satisfaira un minimum aussi, j'en suis pas particulièrement fière, mais pour un passage à vide, j'ai fait de mon mieux ^^.Bisouss!
Yurika! Merci beauuuucoup pour avoir commenté ^^ Vraiment ça me touche que tu aies pris la peine de le faire ^^ . Merci beaucoup, et je suis ravie que tu aimes toujours mon histoire! bisouss!
Floutchy: hi je connaissais pas ce pseudo ^^! Merci beauuucoup pour ton commentaire, j'espère ne pas tavoir fait trop attendre. (question idiote.. un mois rien que ça quoi xD) bisouss!
Véra: mdrrrr Alzeimer nous gagne, moi j'oublie toujours plein de choses aussi, t'en fais pas =D La confrontation arrivera vraiment dans le chapitre suivant je pense, enfin, on en a un début ici ^^. bisous tout plein merci beaucoup pour ton commentaire!
Ley: Awww ouii j'arrive pour te lire d'ici heu quelques heures! Jpense que pour le réveil ça sera très chouette ^^ Jsuis contente t'es une des seules à ne pas avoir ralé pour l'approche Miyavi/Sam xD... Pourtant c'est pas atroce de danser avec quelqu'un... fin bon, mes chtites yaoistes ont du mal avec la liberté de corps et d'action, tant pis, merci à toi pour ton adorable commentaire ^^! bisousss!
Lydie: Olala oui, j'aimerai trop pouvoir me glisser dans l'histoire pour mater deux trois trucs en live parfois xD... Effectivement, pas indemnes, mais dis toi, l'adrénaline ça fait un peu (j'ai dit un peu) refluer l'alcool ^^. Donc.. ils vont plutôt bien je crois ^^. bisousss miss!!
Emma: MONSTRE! ANONYME! je plaisante ^^ Tu fais partie des trente qui commentent maintenant! T'imagines pas comme ça me fait plaisir que tu apparaisses ^^! J'ai l'impression d'avoir une grande famille du coup (la créa est timbrée, certes...). Tu as eu du courage de te sortir de l'ombre ^^. Je pense que quand on prend l'habitude de faire le fantome ça doit être dur de décrocher. Lol jsuis lamentable j'en parle comme d'une drogue xD... Bref, merci à toi pour ce commentaire, gros bisous. Désolée que ce soit court.. jfais cinq pages en général...
Camille: xDDD On sent directement la fille qui a découvert les smileys xD... Pour l'adresse du lac je sais pas du tout ^^ par contre cette semaine j'ai maté des paires de fesses absolument divines, j'aime les gays nudistes <3 Arffe oui, l'équitation ça coute bonbon, le mieux c'est de trouver un paysan que ça arrange de monter ses chevaux, sinon le club c'est hors de prix... Déjà les fringues et le matos c'est galère xD... MDR suite à ta menace j'ai décidé de pas les tuer (exceptionnellement hein ;) ;) ) Ils te doivent la vie qu'on va dire ^^! Bisousss
Légère Brise touch aigue-marine: Yeah Dieu de Dieu, moi ça me fait ma ptite déesse préférée ;) Merci pour tes compliments, t'es un amouuùùr avec plein de uuu!! Bisousss!
Subtility-Lyra: *La créa se place devant ses personnages, bras écartés, les laissant trembler derrière elle et se met à gueuler façon Gandalf* TU NE LES BOUFFERAS PAAAS!! Pour l'appareil photo je tenterai bien ^^ mais les canons se planquent et me laissent les gras pas très classes xD... bisousssssss
Alexx: J'ai toujours autant de mal à trouver une utilité à répondre à un commentaire un mois après en avoir parlé sur msn... DONC... heu merci ma chérie? xD? bisous!
Réveuse: Merdeuse! *boude* (xDDD, ne pas le prendre mal hein xD)YaYa: Je suis contente que tu aies aimé ^^. T'en fais pas, j'aime pas tuer mes personnages =) Bisous!
Satsukii: Hey Sat-Channn mercii pour ce commentaire adorable ^^! Sam et Miyu ne coucheront pas ensemble ^^ mais ça restera tendancieux ^^. Par contre Seb et Miyu....... gnéhéhéhé... bisouss!
Chacha: Ouii ils arrivent très vite ^^ bisous!
Véra: ah ben effectivement t'as commenté deux fois ^^! Je n'apprécie que plus xD!
Cindy: loool maiseuhhh Sebastien est super sexe aussi!! Enfin tu verras =D! bisouss
Sadisu: 1ère S?Spèce de FOLLE MASOCHISTE xD! Lool Samuel est pas méchant, il se tapera pas miyu, promis ^^. Sérieux t'as un vendeur de portables qui ressemble à Seb? Y a moyen que tu photographies? =D??? Lol comme je t'imagine trop à aller le voir trois fois par jour xD j'aurais fait pareilxD!
Draymal: Yeahh ^^jsuis contente que Miya le protecteur te plaise ^^, et j'espère que ce chapitre t'a plu aussi ^^! bisousss
MMali: Lol oui ils se connaissent, ils ont échangé leurs numéros, et ils causent via téléphone ^^. Tu bosses dans quoi? Je compatis, bosser le WE c'est inhumain...Courage darling ^^! lol pour les gays, moi jsuis montée à cheval pendant 15 ns avant de trouver, perds pas espoir =D
Camille: Vous êtes deux Camille, plus moi, et je crois qu'il y en avait une autre à un moment ^^. Ca fait trois et demi =D C'est un beau prénom hein *sourire stupide* Désolée pour les doubles mails, c'est moi qui fais des erreurs de manip... Sorry sorry! Mon dieu, c'est vrai que cinq kilos pour une poèle c'est peut-être un peu beaucoup.... Arg la honte. Bon faut que je modifie mes conneries xD En tout cas tu me fais bien rire! Han j'avais complètement oublié la bataille de peinture xD Faut que je me relise un jour xD... Pas d'hosto pour Miyu, après tout Seb en infirmière... C'est tellement mieux!!! bisoussss! Merci pour ton roman ^^!!!
Delphine: gnéhéhé tu verras ^^. enfin méfie toi, danser collé serré avec quelqu'un ne veut pas toujours dire quelque chose ^^^. Bisouss!
Merlin-La-Blairotte: Voilàààààà le chapiiiitre, désolée pour la dernière fois sur msn (c'est toi que j'ai agressé?) Merdasse j'ai oublié de te répondre je crois. Je pense que le Grenat Bleu arrive très vite. bisouss!
Twilight: Merciii^^. Ouep c'était caliente, j'adore le caliente =D. Lol pour le discours de Miyavi, c'est peut-être une maladresse de ma part, faudra que je me relise ^^ bisoussss et merciiii!
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