Coucou!
Je vous envoie vite fait ce chapitre qui traine sur mon ordi depuis quinze jours!
A dire vrai j'étais convaincue de l'avoir publié le jour même, mais apparemment non. Donc le voici. Pour le nouveau
prof, oui, c'est en cours, de toute façon j'ai promis de finir cette histoire avant fin Aout, ce qui me laisse... Omg, pas longtemps. Je m'y mets, je m'y mets, promis!
Pause pipi. Je reviens.
Re. Bon alors des news... J'ai eu le malheur de gribouiller sur un papier quelques jours avant mon anniversaire, du
coup j'ai eu de la peinture acrylique comme cadeau... Et comment dire? J'en chie royalement. Je pense que c'est les pinceaux qui font chier =) Mauvaise foi quand tu nous tiens. Bon le fait est
que je ne serais jamais une artiste hein, va falloir que je m'y fasse xD Mais je me défends bien, je dessine ... des fleurs... "Oh elle est jolie ta rose!" "c'est un coquelicot, connasse." Des
animaux... "Oh, un chat?" "Un renard, mais va mourir..."
Bref. La peinture c'est pas pour moi, la musique c'est pas pour moi, j'ai des souvenirs de mes cours de violoncelle,
et je me souviens de la gueule de ma mère quand je m'entrainais, et surtout du jour ou elle a tenté de me faire avaler que le grenier avait une meilleure acoustique que le salon... Bref.
L'écriture, c'est plus pour moi non plus ^^. Faut que je me trouve une passion boudiou xD
Que dire d'autre sans me plaindre?
Vous êtes de plus en plus nombreuses sur l'annuaire, merci à vous! N'hésitez pas à nous laisser des noms et adresses d'auteurs en commentaire, même si on les a déja recensés, y en a peut-être dans le tas des qu'on ne
connait pas.
Donc allez y, filez nous vos favoris, les favoris de vos favoris, les tontons de vos papis, les papons de vos
tatis!
Sinon, pensez à consulter le groupe
facebook de temps à autre, je suis censée y publier les dernières news =)
Notez bien le mot "censée".
Et puis vous découvrirez des dialogues Ô combien intéressants et des questions Ô combien lumineuses de nos très
chères compatriotes mangaphiles. {On est gentil, on se souvient que la créa est mangaphobe hein...}
J'allais vous mettre des extraits, mais en fait c'est vilain =)
Passons au chapitre, et puis j'm'en vais manger des trucs bizarres chinois, bon app les filles!
Chapitre 7 Commencé le 16/04 à 15h46
Assis sur le rebord de son lit, Jak laçait ses chaussures et jeta un regard vers Maika, toujours dans le short et t-shirt dans lequel il avait dormi, simplement
allongé par-dessus ses draps froissés qui fixait le plafond.
« T’as pas cours ? » Demanda finalement Jak en
se levant et en attrapant son sa de cours au pied de son lit. « C’est le premier jour ».
« T’es qui ? Ma mère ? » Répondit Maika
sans quitter des yeux le plafond. Jak soupira et secoua la tête, jetant son sac sur son épaule tandis qu’il quittait la pièce. Les deux derniers jours n’avaient pas été un enfer total, mais
presque. Maika ne lui parlait que très peu, chaque fois qu’il passait dans le hall il sentait le regard noir du requin, et en plus, le brouillard n’avait pas faibli.
D’ailleurs il était plus épais que jamais lorsque Jak sortit
des dortoirs pour se diriger vers les communs. Il pouvait à peine distinguer les portes du bâtiment Pasalen, là ou la majorité de ses classes se déroulaient. Il n’y avait que son cours de
botanique qui n’avait pas lieu là, mais dans les serres, du côté nord du campus.
Comme il était dans son habitude d’être en avance, Jak ne rencontra que peu d’étudiants dans les couloirs sur son chemin vers la salle 170 ou son premier cours à l’université d’Alyrrawood aurait lieu :
Etudes du langage. Il s’arrêta devant la porte pour essuyer sa main moite sur la jambe de son pantalon. Les études du langage n’étaient pas son point fort. Il parlait couramment en Alau, la
langue maternelle de sa mère, et il pouvait éventuellement parler un peu de Tirranish et un peu moins de Drekan, mais c’était tout. A cet instant il ne pouvait même pas se souvenir des deux
autres langues majeures de l’univers. Prenant une grande inspiration, il poussa la porte et entra dans la salle.
Il n’était pas le
seul type à aimer être en avance apparemment. Presque la moitié des sièges étaient déjà occupés. Tandis qu’il descendait les escaliers jusqu’au bas de l’amphithéâtre il jeta des coups d’œil à
droite à gauche, cherchant des visages connus. Il avait comparé son emploi du temps avec celui d’Izeri la veille, et le seul cours qu’ils avaient en
commun était celui intitulé Vampires 101 qui avait lieu les soirs après le diné, donc il savait qu’il ne serait pas chanceux au point de le trouver
ici, mais c’était une agréable de trouver son second choix dans le coin ;
« Jakil, par ici ! » Jak sourit lorsque Zaiden
l’appela du côté droit de l’amphi, à six rangs du sol. « Merci mon dieu t’es là », fit il tandis que Jak s’installait à côté de lui. « Tu peux me secouer si je
ronfle. »
« T’as pas pris Linguistique en majeure, si je comprends
bien » fit Jak avec un rire. « Moi non plus. Je suppose qu’on va devoir bosser après tout. »
Zaiden grogna.
« Je déteste étudier. Hey, je sais ! Et si à chaque
fois qu’on passe tous les deux un partiel, on restait éveillés toute la nuit à baiser sans fin ? Tu sais, comme une motivation… » Il s’interrompit, ses yeux à la lueur orange vacillante
s’assombrissant en un sombre rougeoiement de braises tandis qu’il grimaçait. « Désolé, je l’ai encore fait… »
« C’est bon t’inquiètes » fit le mage de terre, mais
Zaiden secoua la tête.
« Non, je dis des choses particulièrement stupides des
fois. Je suis un mage horrible. »
« Quoi, tu es mauvais à être un connard
manipulateur » fit jak en haussant les épaules « Je ne dirais pas que c’est une mauvaise chose. J’aime bien savoir que tu ne vas pas me poignarder dans le dos dès que tu en auras
l’occasion. »
Zaiden le fixa un moment puis s’esclaffa.
« Ouais, je suppose. J’aimerais que plus de gens voient ça
de ta façon, plutôt que de croire que je suis une sorte d’idiot. »
« Les gens de ce genre ne comptent pas » répondit
Jak, « Ne les laisse pas… »
« Ahem ». Le toussotement à l’avant de la salle
n’apporta pas un silence instantané, plais plutôt un étouffement gradué des voix tandis qu’un par un les étudiants s’apercevaient que le cours avait commencé. »
Les conversations moururent en cours de phrase, et les papiers
crissant les uns contre les autres furent immobilisés et oubliés tandis que le professeur boitait jusqu’au centre du creux de l’amphithéâtre, dans un effet de clair obscur
impitoyable.
C’était un Gryphlian blanc, avec la tête, les épaules et les
ailes d’un aigle, et les jambes, le torse et la queue d’un félin. Il avait été blessé plusieurs fois car il était brûlé de l’épaule gauche à la hanche, son aile gauche était amputée à hauteur de
l’épaule, et sa jambe gauche juste en dessous du genou. A la fois fasciné et repoussé, Jak ne pouvait ôter ses yeux des épaisses cicatrices couvrant le flanc que gryph. La peau cicatrisée était
dure à réparer, mais pas impossible. Pas si un mage avait du pouvoir et de l’entrainement.
« Merci pour votre attention », fit il, ses grands
yeux jaunes glissant sur les rangées de sièges. « Je suis Dakan Sashenti. Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec Astaniko, Dakan est mon titre, Sashenti mon nom. Vous pouvez
bien entendu vous adresser simplement à moi en tant que « professeur ». Il fit une pause, son regard acéré semblant se fixer pour une fraction de seconde sur chaque visage dans l’amphi.
Jak se trouva figé sous son regard perçant et sentit ses cheveux se dresser sur sa nuque.
« Chaque année, » continua le professeur,
« J’aime commencer par vous poser la question qui est invariablement sur toutes les lèvres : Quels sont les cinq langages principaux de l’univers ? » Il fit à nouveau une
pause, comme attendant une réponse, et se mit à rire, d’un rire rauque et profond. « Personne ne rit jamais à cette blague », fit il. « Dix sept ans et toujours personne ». Il
fit un nouveau pas boiteux vers les sièges et Jak vit plusieurs types du premier rang se reculer légèrement. Il ne pouvait pas les blâmer, c’était juste horrible.
« C’est ce qui arrive lorsque vous cherchez à vous battre
avec un sinueux dragon de trois mille ans. » dit Dakan Sashenti, repliant son aile restante. La plupart de ses plumes manquaient aussi.
« Des questions ? » Personne n’ouvrit la bouche. « Bien, nous ne reparlerons plus de ce sujet dans ce cas. Vous êtes ici pour apprendre les cinq premières langues : Alau,
Tirranish, Astaniko, Lidheddan et Drekan. » Jak ne put que se rendre compte du léger changement de ton lorsque le gryph prononça le nom du
langage Dracorien. Les Drac et Gryphes étaient des ennemis mortels, encore plus que les conflits entre les deux races de gryphes rivales : les Plumes Blanches et les Fourrures Noires.
C’était pour cela que la plupart des mondes civilisés étaient soit amis avec les Gryphes, soit avec les Dracs, mais jamais les deux.
« De plus », Sashanti continua, « vous aurez une
introduction à autant de langages secondaires que je pourrais entasser dans ce cours : Sarnel, Ardeish, English, Fugasha, Rukaan… » Il y
eut à nouveau cette note dégoutée dans sa voix. Le professeur pencha la tête sur le côté, d’un mouvement très… « oiseau », et fit un geste en direction des premiers rangs de sièges avec
sa jambe. « Oui, vous avez une question ? »
Jak jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, vers un type avec
de courts cheveux noirs coiffés en pics et un piercing à l’arcade qui avait la main levée. Le jeune
homme humidifia ses lèvres, ses yeux glissant sur les rangs devant lui, comme s’il venait juste de réaliser que tout le monde le fixait.
« Professeur, doit-on apprendre absolument tous ces
langages ? » demanda-il. Au sol, le Gryph ricana, les plumes le long de son cou se hérissèrent, le faisant avoir l’air coiffé de la même
manière que l’élève qui venait de poser la question.
« Je n’attendrais pas cela même d’un être de ma
race » fit-il. « Cette classe est un aperçu uniquement, afin que vous soyez à même de prendre des décisions avisées quand et si vous choisissez d’apprendre une nouvelle langue dans le
futur. Maintenant, si vous voulez bien prendre des notes, il va être temps de vous préparer. »
Jak fouilla dans son sac pour en sortir un carnet et un
stylo.
« Bien » fit-il, « ça n’a pas l’air si mal après
tout. Je vois déjà venir un paquet de tests à passer. Hein Zaiden ? » Il jeta un coup d’œil vers le mage de feu, la tête de ce dernier tombant en avant, son menton sur son torse. Jak
soupira.
Après que Dakan Sashenti acheva son cours, Jak empaqueta ses
affaires tandis que Zaiden se frottait les yeux en s’éveillant avant d’étirer son dos avec un craquement sonore.
« Alors, j’ai raté un truc important ? »
Demanda-il.
« J’ai pris des notes » répondit Jak en se levant de
son siège et en mettant son sac en bandoulière. « Tu comptes dormir pendant ce cours tous les jours ? »
« Désolé » fit le mage, en attrapant sa besace de
cuir et en suivant le brun vers les escaliers. « J’ai eu une dure nuit. Mon coloc et son mec vampire m’ont tenu éveillé presque jusqu’à l’aurore. » Il frissonna. « Je supporte pas
les vampires. Et toi ? »
« J’ai jamais eu franchement à faire avec eux. » dit
Jak avec un haussement d’épaules tandis qu’ils marchaient le long du grand hall en direction des serres. « Peut-être que je me ferais une opinion après le cours sur les vampires de ce soir.
Tu as quoi maintenant ? »
« Herbologie. »
« Moi aussi, mais c’est pas une classe de première
année ? »
« Ouais » fit Zaiden en souriant honteusement.
« J’ai raté l’année dernière. Je ne suis pas franchement un bon étudiant. »
« Vraiment ? » Répondit le brun, tenant de
maintenir le sarcasme inaudible. « Ben, j’espère que tu essaieras plus fort, parce que je suis franchement motivé pour un peu de sexe de la célébration une fois qu’on aura eu nos
examens. »
« Sérieux ? » demanda Zaiden en lui souriant.
« Et moi qui croyait que tu étais trop bon pour moi. » Jak rit. « Nan, sérieux, t’es sexy, intelligent, sympa et… Et je suis vraiment raté avec une grande
gueule. »
« Mais non, tu l’es pas. » Fit Jak en ralentissant
son pas tandis qu’ils quittaient le couloir pour s’approcher du secteur des professeurs. Le couloir était vide à part eux et une ligne de peintures suspendues aux murs. La plupart mettaient en
scène de sombres visages de vieux hommes ou de faeries sans âge, avec parfois d’occasionnels femmes et gryphes, et même éventuellement un atheanien et un selkie.
« Qui sont ces gens ? » demanda Jak, baissant la
voix lorsqu’elle résonna le long du corridor.
« Des profs », fit Zaiden, en attrapant la main du
mage. « Viens, y a un truc que je veux te montrer avant les cours. »
« C’est quoi l’urgence ? » Rit Jak lorsque le
mage de feu le traina pratiquement le long du couloir.
« On a presque quinze minutes » Sourit Zaiden en
guise de réponse.
Ils émergèrent brusquement des doubles portes pour s’enfoncer
dans une nappe de brouillard, avec l’humidité présente dans l’air, immobile et silencieux, les arbres et buissons proches ne formaient que plus de sombres ombres sans formes.
Zaiden s’éloigna du sentier pour marcher dans l’herbe trempe,
et se dirigea vers l’ouest le long du mur extérieur des appartements des professeurs, loin des serres, en direction de…
« Zaiden, qu’y a-t-il par là ? » Demanda le
mage, en regardant les alentours. A part le mur de pierre, il ne pouvait rien voir. Il ralentit, résistant au mage qui continuait de l’entrainer, et resserra sa prise sur sa main. « Zaiden,
tu m’emmènes ou ? »
Zaiden s’arrêta et se retourna vers lui avec un air
blessé.
« Tu crois que je vais te trainer dans le brouillard et te
laisser la ? » demanda-il, en faisant un pas vers Jak et en laissant tomber sa besace dans l’herbe. Jak ouvrit la bouche, n’aima pas ce qu’il s’apprêtait à dire, et la referma. C’était
exactement ce à quoi il pensait. Il était un mage après tout, et il était habitué à ce que les mages agissent comme des mages. « Jak, je voulais juste que personne ne puisse nous
voir. »
« Nous voir… » Zaiden le fit taire avec un baiser
doux, presque hésitant, les mains chaudes du mage se levant pour prendre le visage de Jak en coupe, ses doigts glissant dans ses cheveux. Jak recula, le souffle coupé, et fixa les yeux brillants
du mage dans les profondeurs desquelles dansaient des flammes. « Sérieusement ? » murmura-il. Zaiden ne fit que sourire et l’embrassa à nouveau, avec plus d’aisance cette fois, ses
lèvres s’entrouvrant, convainquant leurs jumelles de faire de même, et glissant sa langue entre elles.
Il avait un léger gout de fumée de feu de bois, ce même genre d’odeur sauvage d’extérieur qui s’attachait des jours sur les vêtements du jeune mage
après un voyage en famille dans les montagnes. Avec un grondement, Jak fit tomber son sac et enroula un bras autour de la taille de Zaiden, rapprochant le jeune homme contre lui, son autre main
montant pour s’emmêler dans les cheveux à la base de la nuque de ce dernier. Grand Maele, il se sentait tellement bien, tellement chaud au creux des bras de Jak.
Soudainement, Zaiden recula, poussant Jak contre le mur. Jak
frissonna lorsque le froid des pierres derrière lui traversa sa veste. Les lèvres du mage de feu glissèrent le long de sa gorge, brûlantes sur la peau glacée du mage, ses dents griffant, mordant
cette peau si tendre. Jak hoqueta et resserra sa main en un poing dans les cheveux du mage.
« On devrait s’arrêter » fit Jak, hors d’haleine, la
voix rauque et rêche. « Tu me rends tellement… dur. » Zaiden se pressa contre lui, écrasant son entrejambe contre l’érection du mage. « Oh putain, Zaiden… On doit aller en
cours. »
« Juste deux minutes de plus » chuchota Zaiden à son
oreille, ses mains voyageant le long du torse du brun, jouant avec ses mamelons à travers le fin tissu de son T-shirt.
« Je peux pas aller en herbologie avec la trique »
fit Jak, les dents serrées tandis qu’il repoussait Zaiden à contrecœur. Zaiden baissa les yeux, ses mains glissant entre leurs corps, attrapant le haut du pantalon du mage, et en ouvrant le
bouton.
« Je m’en occupe », susurra-il, ses lèvres frôlant
celles de Jak. Sans autre mot il se laissa tomber sur un genou et baissa la braguette du mage, une main extrayant sa queue dans l’air froid et
humide. Jak frissonna, puis gémit lorsque la bouche brûlante et trempe du mage se referma sur son gland. Légèrement au début, puis avec de plus en plus de pression, Zaiden suça et lécha, faisant
aller et venir sa langue d’avant en arrière le long de cette zone si sensible juste sous le gland.
Les hanches du mage eurent un soubresaut, et il enfonça sa
queue plus loin dans la bouche de Zaiden.
« Désolé » haleta-il, mais Zaiden ne fit que tirer sur ses hanches, relaxant sa mâchoire tandis qu’il encourageait Jak à pénétrer plus loin sa bouche. Le souffle de ce dernier
s’accéléra, ses couilles se resserrant et durcissant tandis que Zaiden gémissait, ses lèvres serrées autour de la hampe alors qu’il baisait sa bouche. « Zai… Oh putain j'y suis
presque Zai. »
Zaiden resserra sa prise sur les hanches du mage, poussa ses
fesses contre le mur, l’immobilisant et un gémissement pantelant s’échappa des lèvres de Jak lorsqu’il relâcha sa queue. Zaiden lui sourit, et donna un petit coup de langue sur le gland, léchant
le liquide nacré perlant sur la peau sombre de Jak.
« Ce serait mal de te laisser jouir dans ma bouche ?
Demanda-il, son souffle froid sur la verge trempée du mage. Jak frissonna lorsque la fraicheur de l’air fit baisser sa trique, sa queue tentant de rentrer dans la chaleur de son jean.
« Ooops, ça ne peut pas arriver ça. » Fit Zaiden, enroulant une de ses mains brûlantes autour de lui, et le branlant doucement jusqu’à complète rémission. Ses yeux oranges papillonnants restaient posés sur le visage de Jak, attendant une réponse.
« J’ai… J’ai rien, si c’est ce que tu demandes »
fit-il, en secouant la tête. « Jsuis clean, mais… T’es pas obligé de… »
« C’est pas ce que je voulais dire » fit Zaiden, en
rougissant. « Je veux dire, est-ce que je baisserai dans ton estime si je veux que tu viennes dans ma bouche ? »
« Oh ». Jak haussa les sourcils. « Non, je ne
penserais pas plus de mal de toi. Je trouve ça plutôt hot en fait ».
Zaiden sourit.
« Moi aussi. Mais je connais plusieurs mecs qui pensaient
que c’était dégout… » Un son dans la direction des serres fit tourner leurs têtes d’un coup sec, et Jak observa avec horreur une ombre se matérialiser dans le brouillard pour en émerger
rapidement. Pas de sexe dans les espaces publics. Il allait être expulsé.