Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 13:21

Bonjouuur! Alors OUI je sais, une semaine voire deux de retard, c'est pathétique. Surtout que le chapitre était dans ma boite mail à l'heure boudiou!

Alors heum, vous voulez mes excuses? Ben la semaine dernière, j'avais un devoir de socio à faire, avec la chinoise de ma classe, qui a beau faire de son mieux, elle pige pas grand chose des textes compliqués, et c'est compréhensible quand on sait que moi même j'y ai pas pigé grand chose non plus.

Donc dans le cadre de ce devoir fumeux, j'ai fait ma première nuit blanche sans être beurrée de dimanche à lundi.

Et... Et ben j'ai jamais autant pêté la forme de ma vie xD J'étais une vraie pile électrique. Ok on s'en branle. Bref. et puis après, ce week end, j'ai du remonter à stras pour une fête de famille, donc j'ai passé mon week end dans le train, je suis rentrée vers onze heures, et j'ai pas eu le temps du tout, et et et et...

Je. Suis. Désolée.

Donc je vous présente mes lus plates excuses, à vous comme à Inrain.

Pardon les filles.

 

 

Grande nouvelle qui n'a rien à voir, Inrain a créé son blog!

SI!

 

 

D'ailleurs l'épilogue, -qui est une pûre merveille-, va être publié dessus.

Et Vous pourrez admirer le design et l'image de fond fait maison, qui sont superbes ^^!

Et lire ses autres histoires etc etc etc

 

 

Le lien ici:

 

INRAINBOWZ

 

N'oubliez pas de la mettre en favoris les filles!

 

Place au chapitre!

 

 

Alors voilà. C’est le dernier.

 

Alors déjà, je tiens à vous présenter mes excuses parce que ce chapitre est vraiment… pas super drôle (euphémisme : figure de style qui consiste à atténuer ou adoucir une idée déplaisante). Je me suis exclusivement concentré sur les sentiments de Stef’ qui sont ici très denses, alors si ça vous semble un peu confus et parfois contradictoire, c’est normal (l’homme est plein de contradiction, non ?).

Il était honteusement court alors j’ai rajouté pas mal par rapport à la version initiale mais du coup ça me serre encore plus la gorge maintenant. Stef’, j’espère que tu me pardonneras.

L’épilogue a son importance aussi, moi je trouve que finalement ça se termine pas si mal mais en le relisant je me suis rendu compte qu’en fait si, c’est un peu triste tout de même. Enfin, vous verrez la semaine prochaine.

 

Bonne lecture ! (ne me faites pas de mal, c’est pas de ma faute si mes persos sont ce qu’ils sont, c’est pas de ma faute si ça tourne comme ça, je vous assure, c’est eux, ils savent pas faire autrement… Enjoy !)

 

 

 

 

 

Photo : Without, by photo-earth (DA) 

 

 

Et oui, ils mentent ! 

 

 

 

                La fin atypique de cette histoire, c’est à moi qu’on la doit.

                On aurait pu s’arrêter là, on aurait pu croire que la suite était déjà toute tracée. C’était sans compter sur un élément essentiel : malgré tout ce que je peux en dire, nous ne sommes pas dans un film. Nous ne sommes pas emplis de bon sentiment, nous ne sommes pas heureux. Et je n’ai définitivement pas l’étoffe d’un personnage principal digne d’intérêt.

                Il y a quelques heures je courais avec Ax en direction de la route et de la liberté, d’une vie différente mais en sa compagnie, et me voilà enfermée dans une pièce sombre, une cage dans le sous-sol du manoir. Assise contre un mur de pierre froide suintant l’humidité, dans une pénombre qui m’effraie et me réconforte en même temps, j’attends patiemment ma fin en essayant de faire abstraction de la douleur qui me liquéfie le cerveau. Et mon choix me surprend vraiment.     

                Nous courions, Axel et moi, pour rejoindre Arman et quitter cet endroit. Et malgré moi, je réfléchissais à toute vitesse. Tiph’ ne se souviendrait de rien à son réveil, ni de lui ni de moi. D’ailleurs je n’avais – et je n’ai toujours pas – la certitude qu’il se réveillerait après une transformation aussi hasardeuse, même si je sais qu’il a été mordu plusieurs fois par Ax, malgré mon interdiction justifiée. Alors il devrait tout réapprendre, comme moi. Axel devrait s’occuper de nous deux, mais… le ferait-il ? Il ne restait rien dans ses yeux et ses gestes de l’affection qu’il avait pu me porter, seul comptait Tiphaine pour lui, du moins, c’était ma conclusion. L’affection ne survit pas à la transformation, je suppose.

                Alors pourquoi aller avec eux ?

                Une fois que l’idée est formulée, qu’elle a pris corps quelque part dans un coin de notre esprit, il n’est plus la peine d’espérer l’en déloger. Je me suis arrêtée de courir. J’ai ralentis progressivement pour finir par m’immobiliser tout à fait, stupéfié par le cours qu’avaient pris mes pensées.

                « Vas-y sans moi, Axel. »

                Ma voix était faible et mal assuré et j’aurais peut-être préféré qu’il ne m’entende pas. Mais il s’est arrêté à son tour, et à la façon dont il m’a regardé à ce moment-là, il a su exactement comme moi que j’étais perdue, possédée par une idée qui m’empêcherait définitivement de faire un pas plus.

                « Je leur ferais croire que tu es mort. Ainsi, ils ne te poursuivront pas.

                -Et toi, qu’est-ce que tu vas faire ?

                -Ce que j’ai toujours fait. L’égoïste. Je vais vous oublier. Quand je me réveillerais, tout aura changé. Vous n’avez pas besoin de moi. »

                Et ça m’a fait mal de le dire à voix haute, une douleur bien différente de celle que mon corps en pleine mutation me faisait subir, et pourtant tellement vive que j’aurais tout donné pour la faire disparaître.

                Peut-être que j’aurais changé d’avis si il avait fait mine de me retenir. Je n’aurais d’ailleurs pas été très difficile à convaincre,  je n’étais pas vraiment sure de moi. C’était impulsif. Mais il n’a rien dit. Il n’a rien dit pour me retenir, pour me prouver qu’il m’aimait encore, il n’a pas esquissé un geste pour me sauver des ténèbres effrayantes qui commençaient à m’encercler, qui menaçaient de m’engloutir et contre lesquelles je n’avais plus le cœur de lutter.

                « Très bien. »

Très bien. C’est tous ce qu’il a trouvé à répondre. Très bien, vas-y. De toute façon, qu’est-ce que tu veux que ça me foutes ?

Il s’est détourné. Très profondément, j’ai espéré qu’il fasse volte-face et qu’il me demande de venir – je serais venue, c’est sûr. J’ai espéré qu’il me tende la main et qu’il me sauve comme moi je l’avais sauvé. J’ai espéré qu’il reste quelque part en lui la moindre trace de son amour pour moi. Je suis complètement tombée sous son emprise, en fin de compte.

                Il s’est effectivement retourné, et l’espace d’un instant, j’ai retrouvé Axel, le vrai, celui que j’avais recueilli en bas de mon immeuble, celui qui m’avait fait rire, sourire, celui pour qui j’avais risqué ma vie et celle de mon adorable petit frère que je ne reverrais jamais par sa faute. Il a été sur le point de dire quelque chose, qui aurait sans doute changé notre vie à tous les deux. Mais il n’a rien dit. Ah si, juste trois mots, si bas que je ne suis pas sûre de ne pas les avoir hallucinés. Peut-être que je souhaitais tellement avoir une preuve de son repentir que mon esprit les a lui-même fabriquer. Qu’importe.

                « Je suis désolé. »

Il pouvait l’être. Oh oui, il pouvait être désolé, ce petit bâtard, lui qui me laissait là parce que ça l’arrangeait bien, qui sautait sur la première occasion, sur ma première ébauche d’hésitation pour se débarrasser de moi, comme si il n’attendait que ça. Alors Axel est parti. Et moi, je suis restée là, j’ai regardé sa silhouette s’éloigner indéfiniment de moi et disparaître pour toujours. J’ai choisi. Motivé par une raison ignoble : je ne suis même pas sûr que Tiph’ se réveillera un jour. Je préfère rester. Et me voiler la face.

                Je ne suis rien de plus qu’une parfaite égoïste.

                Je préfère tout oublier, je préfère échapper à mon échec. Je préfère qu’Axel sorte de ma vie et qu’il n’y remette plus jamais les pieds. Je ne lui pardonnerais jamais. Je ne veux pas qu’il nous regarde chaque jour en repensant à ce qu’il s’est passé entre nous et que peu à peu, lentement, je les sente tous les deux s’éloigner de moi, me laissant seule dans l’incompréhension, orpheline. Je préfère les laisser tous les deux et m’épargner sa pitié. 

                « Salut, Ax. »

Il était déjà loin. J’étais déjà seule.

                Ensuite, et bien, ce qui devait arriver arriva. La douleur augmentant subitement, je me suis retrouvée incapable du moindre mouvement quand ils sont venus me chercher. J’étais allongé sur la terre dure et je contemplais le ciel qui apparaissait par intermittence entre le feuillage des arbres de la forêt. Ils ont fait une tête d’ahuri en me trouvant là, immobile sur le sol gelé, à attendre patiemment que l’on vienne me chercher. Je crois même que je leur ai souri. Je suppose que le corps des vampires se désagrège réellement à leur mort – ce sont des cadavres après tout, en état de décomposition depuis des décennies – car ils n’ont pas eu l’air de s’attendre à trouver un Ax mort dans le paysage quand je leur ai dit, avec une expression joviale tout à fait inapproprié, que je l’avais tué. Mais ils ne me croyaient pas, c’était évident, ça semblait très gros, je le reconnais.

                Je riais. Je riais quand ils m’ont trainée vers le manoir, en songeant que j’avais couru toute cette distance pour rien. Je riais en franchissant les portes de l’immense bâtisse, en me disant que bientôt j’appellerais cet endroit ma « maison ». Que penserait ma mère, si elle me voyait ? Et Raphaëlle, qui s’est engagé dans l’armée ? Dylan, qui aura des enfants que je ne rencontrerais jamais ? Et comment réagira Maxence, la sœur chérie de Tiphaine, quand elle apprendra la mort de son jumeau et ma disparition ? Et Lukas, qu’est-ce qu’il pense, lui ? Qu’est-ce qu’il gardera de moi ? Je méditais tout cela, complètement déconnectée du monde, des vampires qui défilaient sous mes yeux, des discussions qu’ils tenaient à mon propos, de leur regard méprisant et parfois légèrement effrayé. Et la fac ? Quand finiront-ils par effacer mon nom de la liste des candidats aux examens ? Et le patron du vidéoclub, combien de temps avant qu’il n’engage une autre jeune pommée en désintégration sociale ? Combien de temps avant que toute trace de mon existence n’ai totalement disparu ? J’ai eu peur, tout d’un coup.

Au lieu de me faire subir un interrogatoire, ils ont fait venir la jeune Sarajevo, celle qui lit dans les pensées, dans cette cellule exiguë. Sa beauté insultait la médiocrité des lieux. Je n’avais pas pensé à cela. J’ai paniqué, un cours instant, en me disant qu’en plus tout cela aurait définitivement été vain si les deux hommes de ma vie se faisaient poursuivre éternellement par les vampires. Mais la jeune femme a été sans appel.

                « Elle a eu une chance pathétique, et il s’est sans doute laissé faire, mais elle l’a tué, c’est certain. »

Je n’ai rien dit bien sûr. Elle m’a regardé droit dans les yeux, déterminée, me défiant seulement de ciller face à son mensonge, mais je n’ai pas bronché. « Pourquoi ? » hurlait-je dans mon esprit. Elle n’a murmuré que deux pauvres petits mots bien évasifs : par amour. Par amour pour qui ? Pour Johann, son frère ? Pour les héroïnes égoïstes ? Pour les fins sordides ? Je ne le saurai jamais. Dans une heure ou deux, tout cela ne sera plus que cendres, et je ne me souviendrai de rien. Ni de la trahison de Lukas, ni de celle, inconsciente mais bien réelle, d’Axel et Tiphaine, ni  de la dépendance de Mandy à mon égard, ni de ceux que j’ai froidement assassinés dans cet immeuble de Prague, ni de celle que j’étais, lâche, égoïste, bornée, ni de la douleur qui déchire mon corps en deux. La solution de facilité, en somme. Je suis pitoyable.

                C’est tellement facile de détester Axel. C’est tellement plus simple que de l’aimer. Il a tué son propre frère merde. Il m’a laissée derrière lui comme si je n’étais rien d’autre qu’une connaissance  exaspérante, comme si je n’avais rien fait pour lui. Quelle ingratitude. C’est un enfoiré. J’ai le droit de le détester, c’est légitime. Même si ça fait mal. Même si il ne s’en rend sans doute même pas compte, parce que je suis rien pour lui et qu’il ne comprendrait pas si je luis disais qu’il me fait souffrir. Le pire, c’est que malgré tout, je me dis que si Tiphaine ne se réveille pas… non seulement je serais la reine des monstres, et en plus de ça, Axel me détestera. Et ça aussi c’est insupportable, au même titre que tout le reste. Je le déteste. Pour ce qu’il a fait de moi, pour m’avoir forcée à l’aimer plus que de raison, je le déteste.

                Mon téléphone portable sonne. Par je ne sais quelle imprudence ils l’ont laissé dans ma poche, peut-être parce qu’il aurait été inutile de me le prendre, de tout façon. Le côté mignon et niais de notre histoire a laissé place à la réalité sanglante des légendes de conte de fée. Les vampires, dont je ferai bientôt partie, rien de romantique ni de très glorieux. Juste une race semblable aux autres : qui tue pour se nourrir, étend son pouvoir, en use et en abuse sur des créatures plus faible. Une réalité bien loin de l’exotisme d’un Twilight, où il fait beau et que tout le monde s’aime. Mais où est l’amour là-dedans, hein ? Où est le bonheur, où est l’exotisme ? Un ramassis de connerie, de mensonges en couleur. Bande de con. Quelles sont réellement leur caractéristiques alors ? Quels aspects de leur existence se rapportent aux mythes, et lesquels à la réalité ? Mon téléphone sonne, comme pour me rappeler le monde que je suis en train de quitter. Il émet les notes stridentes d’une chanson agaçante. Cubicle.

                « Allô ?

                -Stef’, ça va ? Où tu es ?

                -Tais-toi donc Mandy, tu me donnes mal au crâne. »

Mais elle n’est plus disposée à écouter mes ordres. Sans doute a-t-elle perçu, avec sa foutue intuition, qu’elle avait des raisons de s’inquiéter. Quelle ironie qu’elle appelle maintenant.

                « Stef’, où tu es, je veux te voir…

                -Ce n’est pas possible. Je ne suis pas en ville.

                -Pourquoi, pourquoi tu n’es pas là ? »

Elle se met à pleurer, tout doucement. Elle me fait de la peine, cette gourde. Je vais la laisser seul.

                « Lukas m’a dit que tu étais partie. Tu reviens quand dis ? Je veux te voir… »

La petite Mandy pleure comme une enfant. Elle m’insupporte plus encore que d’habitude, mais je ne me sens pas de l’insulter maintenant. Je ne voudrais pas gâcher cette ultime scène cliché. Celle des adieux. C’est drôle, je viens de porter une main à mon visage, et il se trouve que je pleure moi aussi. Ça faisait longtemps.

                « Je suis désolée, Mandy. »

Désolée de te laisser te débrouiller toute seule. Désolée que tu apprennes bientôt ma mort, celle de mon petit frère et le carnage de mon immeuble et que tu ne comprennes pas pourquoi. Je me rends compte en repensant à ce qu’Axel m’a dit que c’est en quelque sorte Mandy la responsable de tout ce qui m’est arrivé. C’est elle qui m’a forcé à sortir Ax de cette ruelle. Je lui dédie une haine brulante pendant quelques secondes, rien que pour le plaisir, avant de me mettre à rire de ma propre hypocrisie. Mandy pleure à l’autre bout de la ligne. Moi aussi je pleure, mais sagement et en silence, de sorte qu’elle ne s’aperçoit de rien.

                « A plus, Mandy.

                -Je t’aime Stef’ tu sais ? Je t’adore. Alors… »

J’hésite à lui dire que tout est de sa faute. J’hésite vraiment, à lui dire à quel point je lui en veux en ce moment précis, à quel point Lukas n’est qu’un sinistre comédien, à quelle point j’en veux au monde entier, j’hésite à lui avouer combien je me déteste, combien j’ai envie de pleurer comme une enfant jusqu’à suffoquer de désespoir, jusqu’à ce que je m’assèche totalement. Mais je ne suis pas si cruelle, ou du moins pas ce soir.

                Moi aussi je t’aime, tu sais. Mais tu ne le sauras jamais. Là, tout de suite, je me raccroche à ce téléphone comme à une bouée de sauvetage. Si je le pouvais, je resterais éternellement pendu au bout du fil, tu sais.

Je me reprends bien vite. C’est finit tout ça. Terminé, over, on remballe, on capitule. Mes larmes se tarissent.

                « Je dois te laisser. »

Je raccroche avec rage, arrache la batterie. Quelle utilité pourrait bien avoir ce truc maintenant ? Je le balance dans un coin et essuie mon visage humide avant de me recroqueviller dans un coin, repliée sur moi-même. Je délire un moment, m’imaginant avec Axel dans la voiture d’Arman, à lui bricoler des excuses bidons quand à mon état déplorable. Je nous vois, Axel, Tiph’ et moi, nous offrir avec joie quelques festins sanglants puis rentré dans notre appartement, heureux d’être ensemble. Lukas qui reste avec moi, Mandy, fidèle et serviable, dans un coin de la scène. Une unique et dernière larme s’échappe de mes yeux trop clairs. Et finalement, je perds connaissance.

 

 

 

Epilogue à lire sur le blog d'Inrain ce dimanche!

Par Absynthe - Publié dans : Un Vampire? Non merci! Par Inrainbowz - Communauté : Auteurs Sadiques
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