Mercredi 12 janvier 3 12 /01 /Jan 13:16

(Petit mot de la créa': Bien bien bien je vous remercie de vous être finalement exprimées. Je me suis aperçue qu'en fait vous n'êtes pas pleines de mauvaise volonté et de flemme comme on peut l'imaginer en voyant le manque de réactions face au travail Ô combien conséquent d'une jeune demoiselle talentueuse, mais qu'en réalité, vous avez juste besoin... De temps!

Oui, ça y est, la créa capricieuse vous a compris! Désormais nous vous laisserons le temps de lire -et de remercier/critiquer/papoter- avant de publier la suite. De ce fait, le rythme de publication est entièrement entre vos mains. Le prochain chapitre peut arriver dans trois jours si vous êtes suffisament motivées, ou bien dans trois semaines. C'est vous qui voyez.

Note aux auteurs:

(Aux lectrices aussi en fait...)

Vous écrivez ou avez écrit du Yaoi? Faites vous référencer! Un annuaire va être mis en place d'ici quelques jours/semaines et vous vous devez d'y figurer! Pour votre bien, celui de vos lectrices, et celui de vos futures lectrices!

Pour cela, envoyez un petit mail à l'adresse annuaireyaoi@hotmail.fr avec à l'intérieur un petit mot du genre "Coucou, moi c'est machin, envoyez moi votre questionnaire! Voici mon site/mon compte fanfiction/fictionpress!" Ce n'est pas un site de critique donc du moment que vous écrivez, vous serez publiées. Un questionnaire pas franchement compliqué vous sera envoyé, et une fois complété et ré-envoyé, vous serez dessus.

Il est d'après moi très important que vous le fassiez, ça aidera le yaoi à s'étennnnndreee...

Et si vous n'êtes pas auteur, par pitié, motivez les personnes que vous aimez lire et passez leur cette adresse mail ou envoyez leurs sites et/ou comptes à l'annuaire pour que le staff les contacte directement!

 

En attendant, très bonne lecture à vous, vous entrez dans le passage gros suspence de l'histoire. Ma partie préférée. Accrochez vous à vos claviers!)

 

 

Bien le bonjour à tous, pour mon premier post de l’année 2011. V’la le onzième !

 

Alors bon, les deux (ou trois) précédents vous ont moyennement emballé à ce que je vois. Ou alors c’est parce que vous étiez occupés à cuver votre vinasse en vous empiffrant de plats en sauce. C’est ce que j’ai fait, à part le truc du vin. Mais ne partez pas ! On laisse tomber les chapitres meugnon où il se passe rien ! Place au drame, le sang, les larmes, les morts, tous ce que j’aime quoi.

 

Commentez si vous avez lu siouplait. J’me sens seule ^^. Sinon, je vous souhaite que cette année ne soit pas trop pourrie, et que vous surviviez jusqu’à la suivante !

 

Bonne lecture !

               

 

  (Arrivera ce soir)

Image : The Last Stand, by ATAPLATA (DA)

 

 

                Bordel de merde.

                Je plaisantais, quand je disais que notre histoire n’était pas assez tragique à mon goût.

                Je le pensais pas, putain, je ne voulais pas que ça arrive…

                « Tiph’, sort de là, je t’en prie. »

Pas de réponse. Ça fait un moment qu’il ne dit plus rien. Des heures. Je n’ai pas rouvert les volets alors que j’aurais très bien pu, la lumière vacille, elle va bientôt s’éteindre, cette ampoule a tellement servi ces dernières semaines. Sa défaillance tombe à point nommé, comme un fait exprès.

                « Mais merde, pourquoi tu fais ça hein ? Pourquoi pour lui ? Tu le connais depuis à peine deux mois ! Je suis ta sœur putain ! Je ne compte pas ? »

                Je parle littéralement à une porte. La porte blanc crasseux de ma salle de bain. Seul le silence me répond.

                « Tiph’, s’il te plait…

                -Qu’est-ce qu’on a bien pu faire de mal ? »

La porte pivote doucement, manquant de me faire tomber à la renverse. Tiphaine a le visage barbouillé de larmes, les yeux gonflés, les joues rougies.

                « Est-ce que c’est… de ma faute ? »

Je le serre contre moi, pour le laisser pleurer. Je n’ai pas versé une larme, moi. Ce n’est pas l’envie qui manque. Mais je n’y arrive pas.

                « Dis pas n’importe quoi. On le savait depuis le début que ça finirait par arriver.

                -Moi je ne savais pas. »

Je ne réponds rien, ne trouvant rien à répondre, je le serre juste un peu plus fort tandis qu’il referme ses bras autour de ma taille.

                « On ne m’avait rien dit… »

Ses sanglots résonnent dans le silence.

               

                Le jour de l’an est arrivé plus vite que je ne l’aurais cru ; on avait décidé de rester tous les trois – à ma demande plutôt impérative – et de trinquer avec un petit verre de Becherovkaen en regardant l’émission minable qui marque le changement d’année.

                On s’est levé un peu avant minuit, pour se faire la bise, se faire l’accolade, peut-être se câliner un peu, l’air de rien. J’ai su d’un seul maigre coup d’œil que quelque chose n’allait pas du tout, quand j’ai croisé le regard soudainement et curieusement vide d’Axel. J’ai réagis avec une vitesse qui me surprend moi-même : j’ai attrapé Tiphaine par le bras, et je l’ai jeté sans ménagement dans la salle de bain, où je l’ai enfermé avec empressement. Il n’a pas cru un instant à une blague. Il s’est aussitôt mis à tambouriner conter la porte, hurlant, suppliant pour que je le laisse sortir, terrifié par ce qui pouvait bien se passer de l’autre côté de cette horrible porte. Et moi, je faisais face, incrédule, à Axel, ou aurait-on pu le croire. Parce que l’adolescent, droit comme un I et impassible, telle une statue de marbre, qui me faisait face dans cette pièce limitée, n’était pas Axel. C’était simplement… quelqu’un d’autre. Il avait le même visage, les même boucles devant les yeux, il portait toujours mes fringues trop grandes pour lui, et pourtant…

                « Ax ? »

Je n’ai pas pu m’empêcher de demander. Pour briser le silence entre nous, qui m’étreignait douloureusement le cœur et qui rendait les cris de mon petit frère plus présents, plus urgents aussi, alors que le présentateur grisonnant dispensait toujours ses répliques stupides en bruit de fond. Je serrais si fort dans ma paume la clé de la salle de bain que j’en ai gardé la trace pendant plusieurs heures.

                « Je vous remercie pour votre accueil. Nous vous dédommagerons largement pour le service que vous m’avez rendu. Adieu. »

                C’était un cauchemar. Vraiment. Axel qui se détournait, aussi simplement que si j’avais été un banc de pierre, ou un chien égaré, pour se diriger d’un pas mesuré, atrocement régulier, vers la porte de mon appartement. Le panneau de bois au-delà duquel Axel, le garçon que j’avais recueilli ici, aurait disparu. Où  il cesserait tout simplement d’exister.

                « Attends ! Tu vas pas partir comme ça putain ! Tu me dois un minimum d’éclaircissements, non ? »

Il n’a même pas daigné se retourner, tout juste à tourner légèrement sa tête dans ma direction. Son dos frêle me paraissait soudainement effrayant.

                « Pourquoi ? »

Pourquoi. La question à laquelle je n’avais pas de réponse. J’ai revu très brièvement mais avec une netteté surprenante – et effrayante – le jour où mon père a empoigné son sac de voyage bleu, celui qu’il prenait pour mettre nos vêtements lorsque l’on partait en vacances, et qu’il a juste franchi notre porte, n’estimant pas nous devoir un mot d’explication, d’excuse, d’adieu. J’ai cette image imprimée dans mon esprit, sa silhouette imprécise se découpant en contrejour dans l’encadrement de la porte d’entrée. J’avais l’impression de revivre la même scène, à ceci près qu’il faisait nuit, bien entendu. Je me trouvais confrontée au regard sans âme du vampire qui avait habité près de moi, confrontée à ma hantise de devoir y lire son indifférence, son ennui, son mépris. La peur et l’effroi ont naturellement cédé la place à la colère, tellement plus efficace, plus facile à gérer et surtout terriblement moins douloureuse.

                « Tu ne pars pas. Pas comme ça. »

Il a repris sa marche. J’ai essayé de le retenir. Je l’ai à peine effleuré : avec une rapidité qui n’avait rien de commun, il a pivoté sur lui-même pour m’envoyer m’écraser contre le mur du fond, celui où subsistait des traces de mon propre sang, celui que je lui avais donné. Je sentais ce même sang s’écouler du haut de mon crâne tandis que je le voyais, curieusement en biais, continuer d’avancer, franchir la porte, et disparaître.

                Finalement, le sang et les larmes, je les aie eus. De tous les scénarios que l’on avait élaboré, Axel et moi, puis que j’avais affabulé moi-même quand je cherchais vainement le sommeil en supportant ses cris, c’est l’un des pires qui a finalement pris place sous mes yeux. Le pire, c’était qu’il nous tue tous les deux. Quoique…

 

O

 

                « Tiphaine… Il va falloir qu’on fasse quelque chose. »

Parce que là, franchement, ce n’est plus tenable. Est-ce que ça fait partie de son influence ? Est-ce que nous subissons les effets secondaires d’un trop grand attachement à sa présence ? Comme on se sèvre d’une drogue trop addictive ? Toujours est-il que nous sommes abattus, et qu’il rirait sans doute avec joie, s’il nous voyait. Quatre jours d’absence m’ont convaincu que la situation ne pouvait pas durer. Tiphaine me fait trop de peine pour que je puisse encore le regarder dans les yeux, ses yeux rougis, creusés, soulignés de cernes marquées. D’autant que je me sens responsable – coupable – de ce qui nous arrive aujourd’hui. C’est de ma faute, c’est évident.

                « Comme quoi ? Axel est parti. Fin de l’histoire. »

Après être passé successivement par une phase de colère intense, de désespoir sans fond, d’indifférence factice, et de culpabilité infondée, Tiph’ a à présent glissé dans la résignation. « C’est comme ça, on y peut rien ». « C’était inéluctable ». « De toute façon, ça ne pouvait pas être autrement ». Si, justement, ça peut.

                Je ne me sens vraiment pas bien. Pas seulement par rapport à ma tristesse, et mon dégout, mais physiquement, dans tout mon corps. Je n’ai plus de force. Je me sens nauséeuse, au bord de l’évanouissement. Les symptômes du manque, ceux que j’ai vu chez de nombreuses connaissances de mon milieu social qui ont le plus souvent fini six pieds sous terre, une dose de trop dans les veines, et même chez Axel, quand il s’écoulait un peu plus de temps que d’ordinaire entre ses repas. J’ai peur de savoir de quoi je manque ; la lumière du jour me devient à chaque instant un peu plus difficile à supporter, je n’ai plus d’appétit… J’ai peur de savoir ce que cela peut signifier. Je me perds en élucubrations délirantes, en essayant de recroiser toutes les informations que j’ai pu apprendre au fil de mes lectures et des films que j’ai vu sur les vampires. J’ai peur. Je crève de trouille. Je n’ai rien dit à Tiph’ évidemment, je ne dirais rien à personne. Mais je suis terrorisée.

                « Je vais te gifler si tu continues comme ça. Peut-être que ça te secoueras un peu.

                -Mais pourquoi je devrais me bouger hein ? Dis-moi ?!

                -Ça ne te dérange pas que tout se termine ainsi ? »

Il ne dit rien. Je sais que j’ai touché juste. Tiphaine est tombé amoureux d’Axel, exactement de la même façon que des milliers de connards tombent amoureux chaque jour, et je n’ai rien fait pour le protéger. Le fait est que j’ai hélas l’impression de m’être fait avoir en beauté par mes propres sentiments : Lukas n’a plus donné signe de vie depuis que l’on s’est quittés, quelques heures avant le jour de l’an et la disparition d’Axel, et je ne suis pas sortie depuis.

                « Et qu’est-ce que tu proposes alors ? On ne savait rien de lui, et je ne vois pas par quoi on pourrait commencer.

                -Moi je sais. »

Cela seul suffit à le sortir quelque peu de sa mélancolie contemplative. Je savais qu’il n’avait pas vraiment abandonné, au fond.

                « Et ?

                -Et il faut déjà qu’on se décide à mettre un pied en dehors de cet appartement. »

J’essaie de le motiver un peu, parce que je suppose que ce n’est pas gagné. L’espoir est peut-être un moteur formidable, il n’en reste pas moins fragile et laborieux à entretenir.

                Je n’ai qu’une seule piste, maigre et présentant le risque de ne mener à rien. Le souvenir d’une scène sur le pallier, la réaction d’Axel, sa perplexité, ce qu’il n’a pas voulu me dire à ce moment-là, sur le garçon qu’il croisait pour la première fois.

                Lukas.

O

 

               

                « Tiens, Stef’, bonjour ! Comment vas-tu ?

                -Bien. Désolé Samuel, je suis pressé. Est-ce que Lukas est là ?

                -Non, il est au garage. Il y a un problème ?

                -Non, ne t’inquiète pas. »

Je prends congé, quittant le hall d’entrée faiblement éclairer et le pallier de porte de l’appartement du concierge. J’ai l’impression de l’avoir répété des centaines de fois, de n’avoir dit que ça. Ne t’inquiète pas. Aux jumeaux quand maman allait à l’hôpital : ne vous inquiétez pas. À Mandy, sans cesse à s’en faire pour moi : t’inquiète pas. À mon frère, en lui disant que la douleur allait passer. À tous ceux qui se sont préoccupés de mon sort. Ne vous inquiétez pas.

                Je n’ai fait que mentir, en somme.

                Les rues ont retrouvé leur calme même si elles sont toujours encombrées par des amas de neige boueuse. Le garage n’est qu’à quelques rues de notre immeuble, et pourtant je peine à mettre un pied devant l’autre. Je suis en sueur, essoufflée et exténuée quand j’arrive finalement là où travaille Lukas, alors qu’il fait un froid polaire. J’ai demandé à Tiph’ de m’attendre à l’appartement, parce que j’ai peur de la réaction qu’il pourrait avoir, de ce que nous risquons d’apprendre. Le fils du propriétaire écarquille les yeux de stupeur en me voyant approcher. Il enlève rapidement ses gants de mécanicien plein d’huile et se précipite à ma rencontre.

                « Stef’ ! Qu’est-ce qui t’arrive ? »

Il me réceptionne au moment où je me sens défaillir. L’odeur de l’essence me monte au nez, écœurante.

                « Il faut…qu’on parle. Maintenant. »

Il me faut quelques minutes pour que mes vertiges cessent, en buvant un verre d’eau glacé dans le bureau-salle de pause du garage, mais j’ai l’horrible impression d’avoir besoin d’autre chose. Autre chose de vital. L’horloge murale égrène les secondes, bruyantes dans le mutisme qui nous éloigne l’un de l’autre.

                « Qu’est-ce qu’il y a ? »

Il me tire de mes sombres réflexions. Je voudrais lui dire de ne pas s’inquiéter pour effacer de son visage cette expression affolée, mais je ne m’en sens pas le courage. Après tout, il y a bien lieu de s’alarmer sur mon état.

                « Axel a disparu, mais je suppose que tu étais déjà au courant. »

Il ne dit rien, ce que je prends comme une invitation à continuer. Il se tient debout face dans un coin de la salle et moi je me sens en position de faiblesse, assise sur un siège en plastique. Je n’avais jamais remarqué à quel point il était plus grand que moi, plus large, plus imposant, à quel point il me dominait physiquement. Je m’en rends surement compte maintenant parce que ma confiance en lui s’est effritée. Je m’en méfie.

                « Tu connaissais Axel avant qu’il n’arrive chez moi ou, en tout cas, il t’avais déjà vu… »

Silence. Lèvres pincées, regard fuyant, bras croisés, sur la défensive.

                « Je veux que tu me dises où il est. Et tant qu’à faire, sur combien de choses exactement tu m’as menti. Et qui tu es au juste. »

L’inquiétude a laissé place à la stupéfaction, puis à la résignation. Il semble rendre les armes.

                « Très bien. Va chez moi et attends-moi là-bas. Tu n’auras qu’à dire à mon père que je rentre bientôt.

                -Tu as intérêt. »

Je suis partie, en faisant un effort immense pour ne pas tituber, et pour ne pas me retourner pour rencontrer ses yeux noirs et insondables que je devinais peser sur moi.

 

O

 

                « Je suis semblable à ce que tu es en train de devenir, même si c’est à un stade beaucoup moins avancé chez moi. Et je suis à leur service. »

C’était évident. C’est comme ça qu’il commence, maintenant que nous sommes installés dans sa chambre au mur envahie de photos de Prague en noir et blanc. J’aime bien cette chambre, d’ordinaire. Aujourd’hui j’ai envie d’y mettre le feu. Je le dévisage avec insistance, attendant la suite.

                « Qu’est-ce que tu veux dire ?

                -Il t’a mordu. À plusieurs reprises. Le poison contenu dans le corps des vampires est inoffensif à faible dose pour les humains, mais à la longue, tu…

                -Tu deviens comme eux.

                -Le processus a déjà commencé. Johan n’est pas n’importe qui.

                -Alors c’est bien comme ça qu’il s’appelle… »

Maintenant que je le sais, je trouve que finalement, Axel lui convenait mieux.

                « En fait, c’est un diminutif, son nom c’est…

                « Peu importe. Et pour toi alors ?

                -Ah, moi, c’est différent. Je n’ai été mordu qu’une seule fois. »

Il relève brièvement son t-shirt, et subsiste sur son flanc la trace d’une mâchoire de bonne taille. Je reste quelques secondes interdite. Je me suis fait avoir sur toute la ligne. Il continue, indifférent à mon mal-être. 

                « Une sorte d’accident malheureux. Je ne deviendrai jamais un des leurs, à moins de me faire croquer à nouveau. Mais je suis enchaîné à leur famille. C’était ça ou l’amnésie totale.

                -Et tu as choisi de faire le larbin. C’est vrai, c’est tellement plus agréable…

                -Ne juge pas sans savoir. On ne renonce pas si facilement à ses souvenirs.

                -Ce n’est pas ce qu’il lui est arrivé,  à lui ?

                -Pas exactement. Ce n’était que temporaire. C’était un châtiment. »

Le fameux « châtiment », celui qui en était à la moitié quand je me suis fait agressée, celui qui a amené Axel sur la pas de ma porte.

                « Alors dis-moi. Où est-ce que je peux le trouver ? »

 

Par Absynthe - Publié dans : Un Vampire? Non merci! Par Inrainbowz - Communauté : Lawful Drug
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