Baptiste vivait désormais chez David depuis plus d'un mois. Jour après jour, ils avaient avancé dans le projet du photographe, séance par séance, sortant lorsqu'il ne faisait pas trop froid pour éviter de tomber malade. C'était désormais fin Décembre, et la neige était confortablement installée sur la ville dans laquelle ils se trouvaient. Baptiste, lorsqu'ils ne se rendaient pas dehors pour prendre des clichés, passait son temps assis sur le très agréable canapé du photographe, devant la fenêtre, et observait le paysage. David, parfois, lorsqu'il ne se plantait pas devant son ordinateur pour retoucher les photographies qu'il avait prises, s'installait avec lui et ils parlaient un peu d'eux. Cependant, Baptiste ne savait que peu de choses de son hôte. Cela lui suffisait pourtant pour lui faire confiance.
Ce matin-là, il dormait paisiblement, avait passé une très bonne nuit, bien au chaud. Le jour se levant peu à peu, il s'éveilla doucement. Allongé sur le ventre dans son lit... Non. Attendez. C'était pas son lit, ça ?!
Il se redressa brusquement et regarda autour de lui. Il n'était pas venu souvent dans cette pièce, mais assez pour la reconnaître. La chambre de David. Son coeur s'emballant, il chercha le photographe du regard, mais ne le vit nulle part. Il se laissa lourdement retomber sur le matelas et soupira.
Qu'avait-il fait ? Il ne se souvenait pas être venu ici la veille. Il ne se souvenait de rien, en fait. Si, d'une chose au moins. David avait, la veille, selon lui, prit la plus belle photo de lui depuis le début, et avait voulu fêter ça, sans pour autant accepter de lui montrer le cliché en question pour autant.
Baptiste soupira à nouveau. Il resta de longues minutes étendu là, avant de soudainement se rendre compte que, par dessus le marché, il était à moitié nu. Il gémit douloureusement, ne voyant vraiment pas quelle connerie il avait pu faire durant la nuit. Il eut beau réfléchir pendant de longues minutes, il ne voyait vraiment pas. Il allait se lever quand la porte de la chambre s'ouvrit. Il remonta alors le drap dans son dos et se retourna, appuyé sur ses coudes, pour voir David qui l'observait dans l'encadrement de la porte.
Le photographe n'avait pas l'air surpris de le voir ici. C'est donc qu'il était au courant de quelque chose que lui-même ignorait. David lui adressa un léger sourire puis s'approcha du lit et vint s'accroupir près du lit. Il pencha la tête sur le côté pour croiser son regard et, prévenant, l'interrogea :
-Ça va ?
-Moyen, répondit sèchement Baptiste.
Son hôte sourit un peu plus. Il se rapprocha légèrement de lui et lui glissa :
-Tu te souviens ?
-De quoi ?!
Le voyant si nerveux, David mit fin à sa torture et commença :
-De ce qu'il s'est passé hier soir.
Le photographe l'observa un moment, et voyant qu'il ne réagissait pas et restait sur la défensive, il continua.
-Hier soir, j'ai pris une photo dont je suis très fier, et on a fêté ça. Tu te rappelles ?
-Oui, jusque là ça va, soupira Baptiste.
David sourit et enchaina.
-On a ouvert une bouteille de champagne, tu as commencé à boire, et puis étant un peu pompette, tu en as redemandé. On a pas mal picolé, et à la fin, tu étais vraiment bourré, et tu t'es renversé ton verre dessus.
Baptiste ne put retenir un léger rire en imaginant la scène.
-C'est là que je me suis dit qu'il était temps pour toi d'aller te coucher, continua David en souriant. Je t'ai enlevé tes vêtements, les ai mis à laver et t'ai couché.
Le jeune homme acquiesça, puis se rendit compte qu'un détail clochait.
-Et pourquoi dans ta chambre ?
Le photographe fit la moue.
-Ça va te mettre mal à l'aise.
Baptiste haussa les sourcils, puis décida qu'après tout, il n'était plus à ça près.
-Tant pis.
David haussa les épaules d'un air entendu puis se lança :
-En fait, tu t'accrochais à moi en répétant que tu ne voulais pas dormir tout seul, et même après que je t'aies couché dans ta chambre, tu t'es relevé, avec difficulté mais relevé quand même, et tu m'as suivi, alors on s'est couchés ensemble, puis j'ai été dormir dans ta chambre pour ne pas te gêner.
Baptiste se prit la tête dans les mains en soupirant.
-Mon Dieu... Je suis désolé, ajouta-t-il en se retournant vers David.
Celui-ci sourit.
-C'est pas grave. Ça m'a fait rire.
Baptiste eut une légère moue, mi-amusé mi-vexé que le photographe se moque de lui. Ce dernier, après ses derniers mots, s'était mis à l'observer d'un œil curieux, semblant évaluer quelque chose. Le jeune homme l'interrogea du regard :
-Quoi ?
David hésita un instant puis demanda, de la voix d'un enfant qui espère obtenir un cadeau :
-Je peux te prendre en photo ?
Baptiste fronça les sourcils.
-Là ?
-Ben oui, pas dans trois semaines.
Le jeune homme adressa une grimace de dédain au photographe puis réfléchit. Il ne mit pas longtemps à se décider.
-Oui... Je vois pas ce que ça peut me faire. Mais dépêche-toi, je ne vais pas rester au lit toute la matinée.
David le gratifia d'un magnifique sourire puis quitta la pièce en courant. Il revint à peine une minute plus tard, armé de son appareil et du pied associé. Il commença à s'installer, et le jeune homme le regarda faire, appréciant toujours de voir son hôte aussi appliqué et passionné lorsqu'il s'agissait de photographie.
Au bout de quelques minutes de réglages infimes, David s'intéressa enfin à lui et vint près du lit, vérifiant sa position.
-Tiens-toi bien sur les coudes, comme tout à l'heure, et tourne toi vers l'objectif.
Baptiste s'exécuta, et se tourna vers David tandis que celui-ci reprenait sa place derrière l'objectif. Il fit à nouveau quelques réglages, le regarda, fit la moue, puis lui demanda :
-Plisse un peu les yeux.
Le jeune homme fronça les sourcils.
-Comme si tu venais de t'éveiller.
Baptiste soupira puis s'imagina au sortir du sommeil et porta à nouveau son regard sur David, qui le regardait encore, l'examinant dans le but de trouver autre chose à lui dire. Il vit le photographe pencher la tête sur le côté, puis murmurer :
-Il manque quelque chose.
Baptiste allait protester quand son hôte se leva et vint vers lui. Il lui jeta un regard hésitant, puis se pencha et vint déposer un baiser dans son cou. Le jeune homme s'empourpra, bafouilla et n'eut pas le temps de réagir que déjà David était reparti derrière son appareil et le mitraillait.
Quelques secondes après, le temps pour Baptiste de prendre pleinement conscience de la situation, le photographe avait cessé de prendre des clichés et le regardait, sourire aux lèvres. Il se saisit ensuite de son appareil, qu'il ôta du pied réglable, et observa l'écran avec attention.
-C'est parfait, annonça-t-il en se relevant.
Le jeune homme, toujours sous le choc de ce qui venait de se produire, n'osa rien dire. David lui adressa un sourire éclatant. Visiblement, il était fier de lui. Avant de sortir, il lui lança :
-Je t'amène des vêtements.
Toujours muet, Baptiste acquiesça.
Lorsqu'il fut seul, il secoua la tête, toujours éberlué et particulièrement gêné que David eût fait une chose pareille. Il soupira, et repoussa les draps au pied du lit pour s'extraire de celui-ci. Il se leva et constata qu'il était en caleçon. Il rougit à l'idée que David l'avait vu complètement ivre la veille et avait du le déshabiller. Remarque, il aurait très bien pu le laisser dans son état, comatant dans le salon. Mais il hésitait sur l'explication à donner à son comportement altruiste. Il tenta à nouveau de penser à autre chose, cette réflexion-là étant trop... Trop.
Malheureusement, à se prendre la tête avec des choses comme ça, on en oublie le principal. En l'occurrence, il avait souvent tendance à oublier la situation dans laquelle il se trouvait, et également sa tenue, plutôt légère en ce moment. C'est donc alors qu'il se dirigeait vers la porte pour regagner sa chambre, que David ouvrit celle-ci et le trouva à moitié nu.
Le photographe, après quelques minutes où il sembla plus surpris qu'autre chose, sourit, amusé. Cependant, Baptiste décelait autre chose dans son regard, une autre lueur, un peu en retrait. Ses yeux étaient presque... appréciateurs.
Il piqua un fard et baissa la tête, ne sachant plus où se mettre. David s'approcha de lui et souffla, tentant de le rassurer :
-Cette fois, au moins, t'as un caleçon...
Sans succès. Le jeune homme s'empourpra un possible, si tant est que c'était possible, et quitta la chambre en courant. Alors qu'il était à quelques mètres à peine de la porte de sa propre chambre, il fut stoppé et tiré en arrière par David qui l'avait attrapé par le bras. D'un coup, il alla s'écraser contre le torse du photographe qui le regardait fixement sans rien dire.
Le jeune homme tenta de se soustraire à lui mais la poigne de son hôte était ferme. Il soupira. La voix du grand homme lui parvint alors :
-Excuse-moi. Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.
-Trop tard, répondit amèrement Baptiste. S'il te plait, lâche-moi si tu ne veux pas que ça empire.
David resta interloqué un instant, puis baissa la tête et relâcha son bras. Le jeune homme se dépêcha de fuir loin de lui avant d'entendre :
-Attends !
Il se retourna et vit David tendant le bras vers lui, un paquet de fringues roulés en boule à la main.
-Tes vêtements.
Baptiste hocha la tête, fit un pas vers lui, saisit ses habits un peu brusquement puis fila s'enfermer dans sa chambre, le coeur battant à toute allure.
-Baptiste !
L'interpellé se précipita dans le salon pour voir David qui rentrait. Le photographe était parti le matin en cours, comme tous les Mardis, sauf que cette journée avait une saveur particulière. Une semaine auparavant, David avait rendu son dossier à son professeur, et depuis sept jours exactement ils attendaient, anxieux et impatients, la date de rendu des notes. Il y avait un autre enjeu pour Baptiste, car son hôte avait catégoriquement refusé de lui montrer le dossier terminé avant de savoir quelle note il aurait obtenu. Il avait eu beau piquer des crises, arguer que lui aussi avait participé à la réalisation de ces photographies, il n'avait pu lui faire entendre raison.
Et depuis une semaine donc, le temps passait pour lui avec une extrême lenteur, et chaque jour il aurait voulu pouvoir l'accélérer.
C'est pourquoi, ce soir-là, il s'était rué dans le salon, les yeux pétillant d'impatience. Le sourire de David avait soulevé en lui une émotion si grande qu'il avait alors couru vers lui et avait planté son regard dans le sien, dans l'espoir d'une réponse. Son vis-à-vis saisit sa main et lui dit :
-Viens.
Il l'entraina vers la table du salon et ils s'y installèrent, côte à côte. David ouvrit son sac de cours et en sortit toutes ses affaires, qu'il étala devant eux. Il y avait là son ordinateur, une pochette pleine de feuilles gribouillées, et... le dossier. Baptiste s'en saisit mais David le lui reprit, un sourire amusé au coin des lèvres. Le jeune homme arqua les sourcils, ne comprenant pas pourquoi il devait encore attendre.
-Je te montre la note d'abord, et après les photos sur l'ordinateur.
Il acquiesça, et se mordit la lèvre alors que le photographe ouvrait le dossier et en sortait la fiche de note. Lentement, comme pour le faire mourir sur place tant il n'en pouvait plus d'attendre, il amena la feuille de papier devant lui, mais Baptiste la lui arracha des mains, sa patience définitivement épuisée. Le coeur battant, les mains tremblantes, il parcourut la fiche du regard, à la recherche du chiffre tant attendu...
17/20.
Il ouvrit la bouche et retint un grand cri. Il se tourna à nouveau vers David qui ne l'avait pas quitté du regard pendant tout ce temps. N'y tenant finalement plus, il se jeta sur lui et l'étreignit de toutes ses forces.
-Félicitations, souffla-t-il.
-Tu y es pour beaucoup.
Ils restèrent enlacées de longues secondes, Baptiste le nez dans les cheveux bruns de son hôte, et ce dernier serrant sa taille. Puis le jeune homme se redressa et réclama, surexcité :
-Les photos !
David sourit. Il se leva, prit à nouveau sa main puis saisit son ordinateur et l'entraina jusqu'au canapé. Ils s'y assirent, collés l'un à l'autre, et le photographe démarra son ordinateur. Baptiste le vit chercher rapidement dans ses dossiers, et ouvrir celui qui portait son prénom. Il ne s'était jamais rendu compte de cela et rougit en s'en apercevant. Cependant, il ne fit aucune remarque et attendit, appuyé contre son épaule, que David lance le diaporama. Lorsque ce fut fait, ils s'appuyèrent tous deux contre le dossier du canapé et commencèrent à regarder les images qui défilaient.
Baptiste eut tout d'abord du mal à se reconnaître sur les premiers clichés. Il s'était habitué à sa nouvelle apparence, et voir celle qu'il avait lorsqu'il n'était encore qu'un clochard faisait remonter en lui quelques souvenirs désagréables. Puis, au fur et à mesure qu'ils progressaient dans le temps, il comprit les intentions de son hôte. Les premiers clichés étaient ternes, sombres, sans couleurs. Puis, petit à petit, en même temps que son image s'améliorait et qu'il se redressait, les photos s'éclaircissaient, et quelques couleurs apparaissaient furtivement.
L'émotion le gagna et il oublia soudain que c'était lui le modèle, lui qui avait donné lieu à un ensemble si... Il ne trouvait même pas les mots.
Sans qu'il s'en rende vraiment compte, sa main s'était glissée dans celle de David et leurs doigts étaient désormais étroitement entrelacés.
Le temps passa vite, trop vite, et fut vite venu le moment où la dernière image, éclatante, parut devant leurs yeux, avant que l'écran ne redevienne noir.
David ferma l'écran de son ordinateur et ils restèrent silencieux, ne bougeant pas, se tenant toujours l'un contre l'autre.
Baptiste peu à peu sortait du rêve. Il savait, depuis une semaine déjà, ce que signifierait cet instant lorsqu'il arriverait. L'heure de son départ. Il avait passé des moments merveilleux avec David, et cet homme avait réussi à le rendre heureux pour une certaine période de sa vie, mais il ne pouvait lui imposer sa présence plus longtemps. Il ferma les yeux, et repassa dans sa tête les images de tout ce qu'ils avaient vécu ensemble. Cela lui parut durer des siècles, tant leur vie à deux avait été riche.
Puis, quand il eut fini, il rouvrit les yeux et soupira. Il devait partir maintenant, ou il n'y arriverait jamais. Il inspira un bon coup puis se leva, et planta ses yeux dans ceux de David qui s'étaient posés sur lui, légèrement étonnés par son brusque changement d'attitude. Baptiste lui sourit, triste, puis commença :
-Je... te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi. Même si au début je n'ai pas été très agréable avec toi, tu as vraiment été formidable avec moi. Ne t'inquiète pas, je ne m'imposerai pas, et je respecte notre contrat. Laisse-moi juste quelques minutes pour prendre mes affaires.
Il détourna ensuite le regard pour masquer à David les quelques larmes qui avaient gagné ses yeux. Il s'éloigna d'un pas rapide vers la porte de la pièce qui ne serait plus pour longtemps sa chambre, mais fut stoppé à quelques mètres, au beau milieu du salon, par David qui l'avait saisi par le bras. Le photographe le regardait, et semblait déterminé. Baptiste n'en crut pas ses oreilles lorsque d'une voix ferme, son vis-à-vis lâcha :
-Reste.
Il écarquilla les yeux, et sans comprendre, bafouilla :
-Mais, tu avais dit... Je croyais...
Le photographe l'interrompit :
-Tu croyais vraiment que j'allais te mettre dehors après tout ça ? Tu crois que je te laisserais retourner dans la rue, sans rien ?
Il ne trouva, à cela, rien à répondre. Il voulut cependant objecter, chercha quelque chose à redire, et ouvrit pour la bouche pour parler, mais David dit à nouveau :
-Reste.
Un silence passa, pendant lequel le jeune homme lut dans les yeux de l'autre homme qu'il n'y avait pas d'autre issue.
-Avec moi.
Perdant alors toute raison, Baptiste se jeta littéralement sur David, l'attira à lui et passant ses bras autour de son cou, l'embrassa férocement. Durant quelques secondes, leurs bouches restèrent simplement collées, puis leurs langues se joignirent, pour mener une danse endiablée, au bout de laquelle ils se séparèrent à bout de souffle.
Alors, Baptiste sourit, et les yeux dans les yeux avec celui qui désormais était tout pour lui, dit simplement :
-Merci.
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Et là on lève des yeux amoureux et larmoyants vers Merlin et on dit la même chose:
"Merci".
Merci beaucoup pour ce petit bijou!
Je t'envoie mes deux remarques ridicules et demi par mail dès demain! Bisous!
Les filles, j'espère que vous allez la remercier pour ce travail parce que bon dieu c'était un petit voyage dans le royaume du bonheur qu'elle nous a offert. Le tout sans relecture, et pourtant... PAS DE FAUTES!
On peut pas en dire autant hein?
Pas de fautes, pas de style chiant, pas de vannes lourdes. Tout est fin, délicat, mesuré, calculé et parfaitement orchestré. C'est de l'art.
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Très belle histoire qui se lit d'une traite.
Merci ^^
super histoire ! vraiment, j'ai adoré ! c'est très bien écrit, clair mais à la fois descriptif et suffisamment pour qu'on soit bien dans le contexte ! les David m'a fait rire avec toute les fois ou souriait pour un rien ^^
enfin voilà c'est un petit commentaire pour dire que j'ai beaucoup aimé et que je vais passer sur ton blog un de ses 4 !
et ps pour aby : un tite suite pour le grenat ? *regard du chat botté !* =D
*écoute sagement ce qu'a dit Aby*
MERCI ! Merci beaucoup pour cette histoire Merlin. Elle est simple, sans fioritures et je peux t'assurer que dans ma bouche, cette notion en un grand compliment. L'histoire n'a pas besoin de se perdre en de multiples détails pour être efficace. On s'attache extrêmement facilement à Baptiste et David, mais surtout au premier. On trépigne parce qu'on aimerait savoir à quoi pourrait bien ressembler ce dossier dans la réalité.
J'ai vraiment beaucoup aimé ton histoire... Je regrette presque de ne pas avoir eu le temps de la lire avant ^^
Juste un mot: MAGNIFIQUE !!
c'étais superbe, agréable à lire, je n’oublierai pas cette histoire de si tôt :)
Oui merci ^^.
Je m'attendai a un petit lemon avec un saut dans le temps, mais je crois que je préfère cette fin simple.
Une histoire tout simplement géniale, bravo.