Oh Dieu, les filles, ça y est! J'ai enfin fini ce chapitre cauchemardesque! Plus qu'un et l'épilogue et j'ai finiiii! Alors comme dit dans les chapitres des autres histoires publiés précédement, ce chapitre m'a saoulée. A un point phénoménal. Je sais pas combien d'entre vous j'ai emmerdé pour avoir un soutien moral, mais merci à vous les filles! Merci!
Bon, il fait... 8 pages word. ouai, depuis juin, huit pages word, c'est risible. J'avoue. Si aux alentours de la quatrième, donc plus ou moins la moitié, vous commencez à vous faire chier, dites vous que moi j'ai carrément abandonné la relecture de cette partie foutrement emmerdante.
Voilà.
Ahaha ça donne envie hein? xD?
Faites pas genre, on arrive au moment que vous attendez toutes!
Bon, l'introduction dynamique et motivante... C'est fait.
Passons aux trucs à dire ^^!
J'ai reçu un adorable mail juste hier. Il faut que je vous le fasse partager absolument, merci mille fois à Orane, tu as réussi à me faire me dandiner comme une andouille tellement j'étais gênée ^^. Et merci à Sû qui, d'après ce que j'ai lu sur le chat qu'elles squattent outrageusement {je déconne les filles} a fait office de pompom girl pour rassurer Orane sur la qualité de la chose ^^.
C'est superbe, mon égo atteint des sommets -encore- et se mange le plafond, merci. Merci beaucoup. {qu'elle est loquace... c'est l'émotion!}
Je croise les doigts pour que la police passe correctement!
A la teinte d’une nuit d’une nuit d’encre.
Brûlant d’une flamme papillonnante.
Se laisse désirer un rêve.
Y plonger est fatal : la drogue est dure, tel l’alcool aux ardents reflets.
N e résiste pas, me murmurent les lettres tracées.
Terrifiante attirance qui brûle mes entrailles. Je suis hypnotisée.
Hésitante et pourtant décidée, je me noie dans la flamme du pêché.
En m’y diluant, je deviens Abysh. Je me nourris du rêve, et l’aime sans compter.
Autre chose, je me répète sans doute mais l'Annuaire Yaoi a ouvert récemment. Vous pouvez d'ores et déjà allez faire partager vos meilleurs sites de yaoi dans un commentaire. Cliquez sur le logo dans la colonne de droite!
Et enfin, rien à voir, mais Inrain vient de commencer une nouvelle histoire qui me plait énormément! Je voudrais que vous alliez l'embêter pour que je puisse lui la suite. C'est possible? Vous êtes des amours =)
Voilà, j'arrête de papoter, je vous souhaite une très bonne lecture, beaucoup de courage, énormément de patience, et un esprit critique détaillé :p
Non je plaisante, pas trop détaillé non plus, je veux pas avoir à lire des monstruosités ^^
Ouh, erog a décidé de faire chier, il a déjà publié sans mon accord, a supprimé toute ma page, etc etc. Que du bonheur. {huitième essai. On va faire sans image et sans surprise pour l'instant.)
Chapitre 44:
Il était midi. La nuit et la matinée s'étaient écoulées avec une lenteur effrayante. Le temps loin du brun paraissait doubler en longueur et Sébastien avait eu beaucoup de choses à penser. Lorsque la veille au soir il avait fui son appartement après une énième tentative d'approche du brun, il avait déambulé dans les rues et s'était rapidement replié dans le parc tant elles étaient animées.
Les gyrophares réfléchissaient leurs lumières sur les murs des ruelles trop sombres et sur l'aplat de couleurs fades des visages inquiets. Les rondes des paramilitaires martelaient les pavés du claquement secs de leurs bottes coquées, et leur allure sombre et décidée donnait l'impression au jeune professeur de vivre dans une réplique de ville française occupée par les SS allemands.
Il aurait été le français planquant un juif dans sa cave...
...ici plutôt dans son lit, sous sa couette et parfois même contre lui.
Son coeur avait battu plus fort chaque fois que leurs regards s'étaient posés sur lui, au même rythme que le balancement des armes sur leur poitrine. Ce fut lorsqu'il se fit contrôler qu'il décida de s'éclipser sous le couvert des grands arbres.
« Vous devriez rentrer chez vous monsieur Gaurnier, le quartier n'est pas sûr, un couvre feu va être mis en place dans la semaine, un professeur de littérature ne devrait pas se risquer à croiser ces vandales. »
Le châtain avait acquiescé bravement et s'était éloigné après avoir jeté un dernier regard inquiet en direction de leur armement. Pas de tazer, que des armes à feu. Si Miyavi avait été au combat pour son quartier à cet instant, lui auraient-ils tiré dessus? C'était irréel et inadmissible.
En l'espace de quelques mois la ville entière s'était transformée. Un an plus tô , jamais il n'aurait imaginé que les paras puissent être autre part que dans des défilés à Paris et dans des guerres floues dans des pays lointains. Enfin... Un an plus tôt il n'aurait pas imaginé non plus que la ville appartienne à des clans.
Et aujourd'hui il en avait le chef dans son lit. Le responsable de tout ce chaos vivait chez lui.
...Non.
Le réel responsable c'était lui-même. Si Miyavi n'avait pas eu à lui ramener ses affaires, s'il n'avait pas été obsédé par lui, rien de tout ça ne serait arrivé. S'il avait cédé le premier jour, il ne se serait rien passé.
Il s'avachit sur un banc et contempla l'obscurité face à lui. Au loin, la ville résonnait de cris, de freinages, de portes enfoncées et par intervalles réguliers, de coups de feu. C'était impressionnant de constater la facilité avec laquelle ce climat de terreur s'était installé sans que personne ne réagisse, sans même qu'on le remarque réellement.
Et même lui, grand penseur de pacotille au milieu du chaos, se préoccupait actuellement bien plus de la créature manucurée et pourtant définitivement virile qu'il avait laissé chez lui, plutôt que du paysage triste que formait l'agglomération.
Les gens étaient toujours les mêmes, moins nombreux certes, mais ils avaient toujours les mêmes attitudes, le même trajet pour se rendre au travail, passant devant les magasins défoncés, incendiés, devant les voitures retournées et flambées, comme s'il n'avait s'agit que d'une légère modification du quotidien.
Sébastien se redressa et avança un peu plus dans le parc, songeant à son affection terriblement réelle pour le brun. A tout ce qui ne s'était pas passé entre eux. A tous ces départs et contre feux. A l'immense « rien » que qualifiait leur relation.
Pourtant, tandis qu'il avançait dans l'allée, tendant l'oreille avec l'espoir d'entendre le son d'un oiseau de nuit, d'un animal, le souvenir des attitudes et mimiques du brun lui revenait à l'esprit.
Ce sourire tellement fier et sûr de lui, toujours plein d'assurance, tant et si bien qu'il s'était toujours senti inférieur à son cadet.
Ce fut comme une gifle lorsque cette pensée l'atteint alors qu'il distinguait la triste silhouette d'une fontaine calcaire dont l'étage supérieur avait été déssoudé et jeté à bas, fracturant l'ensemble du bassin et répandant au sol la pierre blanche comme la poussière d'un squelette dont on aurait broyé les os.
Ce n'était pas seulement une sensation... Il l'avait toujours été. Inférieur.
Et sa seule force avait été de dire « non ». De refuser son comportement lors du premier jour de l'année scolaire, de ne pas abandonner lorsqu'il s'était battu, de le repousser, encore et encore lorsque ce gamin à peine sorti de l'adolescence le harcelait de ses désirs. Mais chaque fois il avait été soumis à cette jeunesse flamboyante, à ce manque de peur, de faiblesse.
Aujourd'hui il savait qu'il se cramponnait à ce « non » pour ne pas se perdre, pour ne pas se laisser immerger dans un monde qu'il ne connaissait pas. Pourtant, il s'était attaché au brun, cela faisait presque un an qu'il occupait ses pensées. Presque quinze jours qu'il occupait son lit. Et chacune de ses manières lui revenaient à l'esprit alors qu'il débouchait près d'une marre dont les seuls reflets visibles étaient ceux du dernier réverbère en état de marche.
Sa façon de souffler sur sa frange devenue trop longue, sa manie de se couper des mèches entières de cheveux d'ébène lorsqu'il s'ennuyait et d'en ressortir chaque fois plus beau. Sa façon de croiser les jambes comme si elles avaient été deux fois plus longues qu'elles ne l'étaient réellement. Ce tic de mordiller le métal de son piercing à la lèvre, tordu après la bagarre, et la sale manie qu'il avait découvert depuis que le plus jeune pouvait se lever: mettre son nez au dessus de tout ce qu'il cuisinait, tremper son doigt dans chaque sauce, chaque vin et s'en aller sans un mot ensuite.
Mais à cet instant, les pieds dans l'herbe humide du parc désert, Sébastien s'interrogea: était-ce de l'affection? Ou bien une accoutumance?
Il n'avait jamais été seul, avant Cathy, il y avait eu d'autres femmes, toutes plus belles, toutes plus présentes, et il les avait toutes acceptées et aimées avec leurs défauts. Etait-ce un véritable amour, ou simplement une peur d'être seul?
Maintenant qu'il y réfléchissait, il ne savait pas comment il avait pu rester si longtemps avec elles, presque toutes étaient insupportables. En tout cas pour lui. Mais il avait éclipsé leurs défauts.
Un psychanalyste aurait commencé à l'interroger sur son enfance, la présence de ses parents, l'amour qu'ils lui portaient.
Mais merde. Miyavi n'était qu'un gamin, avec énormément de responsabilités qu'il avait fui, et qui ne demandait apparemment qu'une vie normale. Et lui, l'adulte responsable jouait avec lui depuis des mois à faire la girouette. Il fallait qu'il prenne ses responsabilités.
Bon, si l'on partait par là, il n'avait aucune idée des sentiments du brun, et il ne semblait pas avoir tant souffert de son rejet pendant les mois précédents, tandis qu'il était dans les bras de l'immonde blondinet.
Sébastien se détourna du lac et s'enfonça dans une allée d'épicéas.
Cette histoire était un bordel monstrueux. Il fallait qu'elle cesse. Et rapidement.
Il passa près d'un banc sur lequel une silhouette était allongée. Une seconde il se demanda s'il s'agissait d'un cadavre.
La seconde suivante il se gifla mentalement, si c'était un cadavre, on avait pris la peine de l'installer sur un banc, et ce cadavre ronflait particulièrement fort.
Un éclat métallique à ses pieds capta son regard et il se baissa. Une capsule de bière Heineken cabossée.
Ses doigts se refermèrent dessus et il reprit sa marche, la faisant glisser entre ses phalanges. C'était particulièrement sale, se dit-il. On t'as jamais appris qu'il ne fallait pas ramasser les trucs qui trainent par terre?
Il s'immobilisa à un croisement. Quatre directions possibles. Il leva les yeux vers le ciel et sourit au souvenir d'un film vu avec Miyavi: O Brother. Une comédie revisitant l'Odyssée d'Homère. « Tu es prof de lettres, tu es obligé d'aimer! ».
Ce que Sébastien avait aimé, c'était le contact de la hanche du brun contre la sienne, et une scène particulière du film. Celle ou Tommy Johnson expliquait qu'il avait vendu son âme au Diable à un croisement de routes pour qu'il lui apprenne à jouer le blues. Et surtout la réponse donnée lorsqu'on lui avait demandé pourquoi une telle folie: « Elle ne me servait pas... »
Le professeur fit rouler la capsule entre ses doigts. Pile il se lançait et acceptait Miyavi et ses envies. Face il reprendrait une vie normale.
D'un mouvement de poignet il la lança haut dans les airs, et l'observa tournoyer sur elle même reflètant une fraction de seconde l'ombre du parc, puis la lumière de la ville, et ainsi de suite jusqu'à retomber dans sa paume et être plaquée sur le dos de sa main.
Pile.
Voilà qui était fait. La décision avait été prise. Pas tout à fait par lui, mais à présent il était fixé. Le choix était fait, il pouvait rentrer la conscience tranquille.
…
… Trois heures plus tard, il était assis à côté de George, l'ancien cadavre ronfleur qui désormais l'insultait par intermittence et tentait de lui faire gauchement les poches à d'autres instants.
Il n'avait rien des vieux sages que l'on rêve toujours de trouver lorsqu'on cherche une réponse. Mais au moins, il animait ce parc de sa présence alcoolisée.
Cela faisait approximativement une soixantaine de fois qu'il faisait voler la capsule et le problème était toujours là, maintenant qu'il avait craqué et voulu un second avis du hasard. Puis un troisième « pour être sûr... » et ainsi de suite. Quelle solution choisir?
Désormais, il avait décidé d'attendre le lever du jour, et de faire faire un dernier vol à sa capsule. Il n'avait plus qu'à attendre.
Les rayons du matin le trouvèrent endormi sur l'épaule de George tandis que la ville s'extrayait de la torpeur moite et chargée de poussière des balles tirées dans laquelle elle s'était enfoncée. Sébastien se leva, glacé, le dos ruiné, puant sans doute de la même odeur âcre de sueur et d'alcool que son voisin, odeur qui l'avait tant rebutée au début et qu'à présent il ne sentait plus. Il s'avança dans le parc, et s'immobilisa devant la fontaine, inondée des rayons du soleil, rayonnante même brisée. Un oiseau chanta. Il prit une grande inspiration et lança une dernière fois la capsule dans les airs.
En levant les yeux pour la rattraper il fut aveuglé par le soleil et l'entendit tomber au sol. Le professeur baissa le regard pour tomber sur le bout de métal tordu, debout, fier, immobilisé sur la tranche comme un « Démerde toi » criard.
Ni pile, ni face.
Simplement un « T'as qu'à choisir ».
Le châtain détourna ses yeux clairs, presque éblouis par la poussière de pierre blanche répandue au sol sur laquelle la capsule trônait, signe du destin...
...ou connerie métaphysique.
Il s'ébroua et s'éloigna. Sortant du parc pour retourner à la civilisation.
Il traversa la route et s'arrêta à une boulangerie. Les grilles devant les vitrines étaient toujours fermées, et il toqua à la porte vitrée lorsqu'il vit du mouvement à l'intérieur.
Une petite dame s'avança jusqu'à lui à travers la boutique, et ouvrit la porte d'un mouvement sec:
« C'est fermé jeune homme! On quitte la ville!
-Vous partez? Mais pourquoi? S'étonna Sébastien, la situation était pourtant encore vivable, les gens continuaient d'aller travailler... Non? Il jeta un coup d'oeil vers la rue et s'étonna de l'absence de transports en commun. Puis se rendit compte que les seuls passants étaient chargés de paquets et remplissaient leurs voitures.
-Qu'est-ce qui se passe? Ajouta-il, s'apercevant qu'il avait raté quelque chose.
-Vous n'avez pas regardé les infos? Il paraît que les sorties de la ville vont être fermées pour que les terroristes qui ont leur camp ici ne puissent pas s'évader. Vous avez déjà acculé un rat dans le coin d'une pièce en le menaçant?
Sébastien n'en écouta pas plus et se retourna vers la rue l'air hagard. Son souffle semblait plus sourd, les bruits de la ville paraissaient comme embrumés. C'était sans doute la peur qui obstruait son esprit qui lui donnait cette impression, mais la cité avait soudainement l'air à l'agonie. Comme un immense animal blessé, respirant lourdement, scrutant de ses yeux vitreux les charognards qui n'attendaient que ses derniers spasmes pour lui sauter dessus.
Ce qui se passe lorsqu'on accule un rat? Il vous saute à la gorge. A la votre et à toutes celles qui passent à sa portée.
Dix heures sonnèrent. Il avait raté deux de ses cours. Tant pis. Il ne devait pas y avoir grand monde de toute manière.
Il partit d'un pas vif vers l'université, cherchant à savoir ce que les quelques érudits encore restants pensaient de l'état actuel de l'agglomération, et à voir s'il était nécessaire qu'il continue de venir travailler, ou s'il pouvait faire comme tout le monde: fuir avant que cela ne devienne véritablement meurtrier.
Sébastien s'engouffra dans l'escalier de son immeuble. Il était presque vingt heures, il avait plus que longuement discuté avec les quelques professeurs restants. Tous projetaient de partir, et les étudiants ne viendraient plus à partir du lendemain car l'université fermerait. Le professeur savait très bien qu'il s'obstinait à penser à cette fichue guerre civile plutôt que de se projeter dans les quelques minutes futures à savoir la conversation avec Miyavi.
...Ou bien son absence.
Et s'il était parti?
Il était désormais plus qu'en forme, il pouvait se déplacer et il n'avait presque plus mal. Il se pouvait très bien qu'il soit retourné chez le petit blond à la gueule de cocker enamouré.
A cette idée Sébastien accéléra ses pas sur les marches et resserra sous son bras la petite boite de chocolats qu'il avait réussi à acheter dans l'une des dernières boutiques ouvertes. Il y avait des habitudes -pathétiques, certes- dont il ne se déferait pas. A savoir, offrir un truc niais et inutile lorsqu'il souhaitait s'excuser.
...Pas qu'il n'ait l'intention de le faire pour l'instant. Bien entendu...
Il avait opté pour un compromis diablement viril: Il verrait sur le moment.
Son souffle resta bloqué lorsqu'il sortit les clefs de sa poche et qu'il vit sa main trembler devant la serrure.
Il ferma les yeux et compta jusqu'à trois.
...Jusqu'à dix.
...Jusqu'à vingt trois, c'était son chiffre porte bonheur.
Mais peut-être fallait-il un chiffre pair?
Alors il compta jusqu'à trente.
Puis quarante comme il hésitait encore.
Lorsqu'il s'aperçut de sa lâcheté, il enfonça fermement la clef dans la serrure et ouvrit la porte avant de s'engouffrer dans l'appartement.
Une délicieuse odeur d'encens lui monta au nez, et il oublia instantanément la mini apocalypse qui se déroulait à l'extérieur. Il fit quelques pas et leva les yeux. Au bout du couloir, devant la porte de la chambre, se tenait Miyavi.
Sa longue silhouette enveloppée dans son peignoir, ses cheveux coiffés en un chignon terriblement approximatif et encore humide qui lui donnait un air sauvage presque fou.
Les deux hommes se fixèrent un instant.
La porte d'entrée se referma derrière Sébastien et ce dernier ouvrit la bouche.
« Je suis désolé ».
Ce n'était pas seulement lui qui avait dit cette phrase.
Le brun l'avait murmurée en même temps que lui.
A présent ils se fixaient à nouveau, gênés. Pour une fois l'asiatique paraissait sérieux. Concerné et non détaché.
Sébastien passa une main nerveuse dans ses cheveux et soupira, esquissant un petit sourire et un mouvement de tête en direction de la cuisine. Lorsqu'il vit Miyavi s'avancer, il pénétra dans la pièce et retira sa veste qu'il jeta sur l'une des chaises. Il n’y avait que peu de lumière. A peine celle de la rue et de quelques bougies qui s’affaissaient sur un vieux buffet de bois délavé. Si le jeune homme n’était pas allergique à l’éclairage électrique et ne vidait pas les réserves de bougies du professeur depuis à présent plus de dix jours, l’atmosphère aurait été terriblement romantique.
Une odeur de viande tiède monta à ses narines, et des yeux il chercha la source du fumet épicé. Son regard parcourut le comptoir pour tomber sur l’ombre d’une assiette refroidissant dans le micro-ondes.
-Tu avais préparé le diner?
Il ne put empêcher son ton de paraitre incrédule.
Le brun se raidit et s’installa sur l’une des chaises, croisant les jambes, dévoilant un mollet d’une finesse hypnotique.
-J’avais faim, je me suis fait à manger. C’est mon assiette.
Le regard du châtain s’orienta imperceptiblement vers l’évier où trônait une autre assiette, elle, sale et vide, entourée de casseroles, témoin du repas du jeune homme. Il mentait. Comme lui, il avait tenté un pas en avant mais était incapable de le montrer maintenant qu’ils étaient face à face.
Il s’assit à son tour, et posa la boite de chocolats sur la table, ne savant qu’en faire et évitant de regarder vers le jeune éphèbe à la beauté époustouflante.
Un silence tendu s’installa, dehors, une explosion lointaine retentit.
Miyavi brisa le silence qui avait reprit en pointant du menton la boite reposant à côté de la main du châtain.
-Qu’est-ce que c’est ?
L’air se fit soudainement rare dans les poumons du professeur. Une vague de chaleur signe d’un grand embarras remonta jusqu’à son front et il remercia mentalement l’éclairage de cacher sa soudaine rougeur.
-C’est… Heu… C'est-à-dire qu’en fait…
Il se mit à baragouiner un ensemble d’onomatopées qui auraient pu, pour un étranger, passer pour une phrase, mais qui sur le moment, ne firent que l’enterrer un peu plus dans sa gène.
Jusqu’à ce qu’il soupire et relève les yeux vers son cadet qui le fixait avec le plus beau des sourires.
-C’est pour moi ?
Sébastien scruta nerveusement ses ongles et haussa les épaules.
-Tu l’as acheté pour t’excuser ?
A ces mots le châtain ne put que lâcher d’un ton défensif :
-Toi t’as bien tenté de préparer le diner.
Le sourire disparut en un éclair.
-J’avais faim, j’ai cuisiné. Pour moi.
-Prends moi pour une bille aussi, ton assiette est dans l’évier !
-Une bille ? Tu viens de quelle époque ?! Sérieusement !
-Je suis professeur de lettres espèce de petit m…
Le châtain serra les dents et se leva brutalement de sa chaise, tentant de se reprendre. Ils étaient pathétiques, dans les livres ça se passait toujours si bien.
Il souffla longuement, serrant les poings, et au prix d’un énorme effort il lâcha :
-Oui, c’était un cadeau, j’ai mal agis, je me suis comporté comme un adolescent, comme un lâche, et tu avais raison, j’ai envie de choses mais j’ai peur de leurs conséquences. Je suis désolé Miyavi.
Sébastien resta immobile, les yeux fuyants. Le jeune homme se leva sans bruit, et passa derrière lui, Sébastien ne sut pas durant de longues secondes si c’était pour partir sans un dernier mot ou autre chose. Jusqu’à ce qu’il sente deux mains sur ses épaules, le faisant sursauter. Mais la prise était ferme et douce, et il se sentit dirigé, un peu trop choqué pour réagir, vers la chaise qu’il avait préalablement quittée.
Il ouvrit la bouche pour demander ce qui se passait, mais une caresse du bout des doigts sur sa joue le fit fermer les yeux d’aise.
Il ne les r’ouvrit qu’au son d’une assiette posée juste devant lui, et il sourit avec hésitation devant la beauté du plat, tout en couleur et variations de tailles et de textures.
Le brun s’installa en face de lui, un sourire paisible aux lèvres et lui fit signe de commencer à manger, s’emparant lui-même de la boite de chocolat et en portant un à sa bouche.
Le repas fut calme, silencieux. Les deux hommes se fixaient, ils n’avaient plus besoin de mettre des mots sur les choses. Ils allaient cesser de se prendre la tête.
Lorsque Sébastien eut finit son assiette, il la repoussa légèrement pour pouvoir s’accouder sur la table. Devant lui Miyavi achevait de rouler une cigarette et la porta à ses lèvres avant de l’allumer. La lueur de la flamme miroita dans ses yeux noirs, et le professeur ne put qu’observer la perfection assise devant lui.
L’asiatique jeta la tête en arrière et souffla la fumée vers le ciel, le châtain resta un instant figé devant la gorge offerte à ses yeux et se leva ensuite pour contourner la table et s’accroupir aux pieds du jeune homme.
Miyavi baissa les yeux vers lui et lui sourit. Il était plus dominant que jamais, plus beau que jamais, plus masculin et à la fois femme que jamais.
Sa jambe croisée frôlait le torse de Sébastien et il porta une nouvelle fois la cigarette à ses lèvres, avançant son autre main vers le châtain qu’il glissa dans ses cheveux, les ébouriffant un peu plus, appréciant leur douceur avec un soupir de bien être.
A cet instant leurs regards se croisèrent, et le professeur ne put que se dire qu’il passerait volontiers sa vie les yeux dans les yeux avec cet homme, tant que ses doigts le caresseraient, et tant que son regard le couverait d’une tendresse et d’un désir aussi délicieux qu’à cette seconde.
Il se releva et se pencha au dessus du brun, glissant ses doigts sous son menton et lui releva la tête d’une main ferme avant de prendre ses lèvres.
Il y eut une fraction de seconde de battement, tous deux restèrent immobiles, savourant ce contact tellement intime, tellement chargé de sentiments et tellement attendu. L’air se fit lourd dans la pièce éclairée d’une lumière dorée, la main du châtain se mit à trembler, et ses lèvres s’écartèrent pour laisser un souffle brûlant caresser le visage du plus jeune.
Et soudainement le temps reprit brutalement, la cigarette fut jetée dans l’assiette, et les mains du brun s’enroulèrent autour des épaules du professeur tandis que sa langue envahissait sa bouche. Miyavi se leva, ne lâchant pas le plus vieux, collant son corps contre le sien avec un gémissement de plaisir, se fondant presque en lui.
Sébastien fit glisser ses doigts dans l’embrasure du peignoir pour caresser enfin la peau d’ivoire de son cadet, son ongle frôla un téton durci et un halètement rauque retentit dans la pièce, comme un déclencheur. Aussitôt le brun se sentit soulevé et allongé brutalement sur la table de cuisine. Une assiette à droite, un paquet de chocolats à gauche, glamour.
D’un coup de rein ses jambes furent écartées et le professeur s’inséra entre elles, remontant sa main le long de sa jambe depuis sa cheville jusqu’au genou, puis le long de sa cuisse pour rencontrer à mi parcours un tissu délicat… Comme de la… De la dentelle ?
-Qu’est-ce qu…
Il ne put finir sa phrase que déjà le plat d’un pied entrait en contact avec son pectoral et le repoussait à distance d’un claquement sec.
-C’est rien, fit le brun d’une voix rauque ou transparaissait la gène.
Mais déjà il redescendait de la table et s’échappait vers le couloir, Sébastien sur les talons.
-Mais attends ! M’enfin Miyav…
La porte de la chambre se referma sous son nez et lorsqu’il enclencha la poignée un poids appuyé sur le battant l’empêcha d’ouvrir la porte.
-Miyavi, ouvre cette putain de porte, si je pousse vraiment tu vas voler, c’est quoi le problème ? De quoi t’as peur ? C’est que moi ! Si on allait trop vite, c’est bon, on ralentira. C’est promis.
Un rire jaune lui répondit et Sébastien appuya son front sur la porte.
-Miyavi, je viens juste de me rendre compte que j’ai envie d’être avec toi, tel que tu es, même si tu étais une boule de poils, de muscles et de testostérone que voudrais être avec toi.
Derrière le panneau de bois, il pouvait entendre le brun remuer, tenter de se dégager de quelque chose, sans lui répondre.
-Bon. Tu m’emmerdes, s’exclama-il, et il baissa la poignée en donnant un grand coup d’épaule dans la porte, envoyant valser l’asiatique plus léger quelques pas plus loin.
Il baissa les yeux et vit ses chevilles empêtrées dans un jean qu’il avait tenté d’enfiler tout en maintenant la porte close.
-Mais qu’est-ce que tu branles ? Tu pars ?
Sa voix se brisa sur les derniers mots. Son cœur se serra et son souffle s’appauvrit.
Les yeux du brun s’écarquillèrent dans l’obscurité et il trébucha vers le professeur :
-Non, non, excuse moi Sébastien, c’est con, c’est…
Il soupira et l’embrassa avec tendresse :
-Je suis désolé, tu vas trouver ça stupide mais, je me sens tellement con maintenant je…
-Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
-Tu sais… Tu voulais pas être avec moi parce que je suis un homme, alors je voulais… J’ai voulu essayer de… Enfin… Et puis t’es arrivé avant que je finisse…
Le brun recula d’un pas, ouvrit la ceinture du peignoir de ses mains tremblantes et souffla :
-Ne te moque pas de moi, je t’en prie…
Le tissu tomba au sol.
…
Un peu comme la mâchoire du professeur.
Il resta bouche bée, détaillant des yeux chaque parcelle du corps du brun. Ses longues jambes à présent cerclées par deux bandes de tissu, suivies d’un porte-jarretelle fixé sur un boxer noir en dentelle.
Le jeune homme avait dû couper le bas juste sous la bande élastique car il n’avait rien senti lorsqu’il avait caressé ses jambes un instant plus tôt.
Devant son silence, Miyavi eut un rire faux :
-Oui, je sais, c’est ridicule…
Il se tourna et avança nerveusement vers la commode, mort de honte.
-J’avais même réussi à dénicher une robe tu vois, c’est tellement c…
Sébastien crut mourir quand le brun lui tourna le dos pour s’éloigner, ses fesses se mouvant sous le tissu, les lanières du porte-jarretelle se tendant et se détendant à chaque pas. Il saisit le brun par la taille et le plaqua contre lui, le faisant hoqueter sous le choc.
-Tu es magnifique Miyavi. N’en doute jamais ! Tu vois ce que tu me fais ? … Tu sens ce que tu me fais ?
L’asiatique cru défaillir quand un membre dur comme la pierre fut pressé contre ses fesses, déformant le tissu de son dessous.
Les larges mains du plus vieux le firent se retourner et il prit ses lèvres entre les siennes, allant jusqu’à mordre leur chair tendre, avec lui, il pouvait se laisser aller, il pourrait toujours se défendre s’il allait trop loin. Ce n’était pas comme une femme. Il n’avait rien de fragile.
-Tu es magnifique, vraiment. Et tu n’as besoin de rien de tout ça pour me plaire. Même si c’est particulièrement sexy, finit il avec un sourire.
En un mouvement il fut à genoux devant le jeune homme appuyé contre le mur, et ses doigts caressèrent ses cuisses jusqu’à détacher les bas du porte-jarretelle qu’il fit rouler un à un jusqu’à ses chevilles. Il posa ses lèvres à hauteur de son genou, et remonta lentement, léchant la peau si claire, si tendre… Arrivé à quelques centimètres de l’aine, il mordit dans la chair, et Miyavi gronda littéralement, rejetant la tête en arrière.
-Putain… Sebassss… Hn…
Les doigts du châtain détachèrent le porte-jarretelle avec un empressement nouveau, il plaqua son visage contre le sous vêtement délicat et frotta sa joue contre la verge à peine cachée par la dentelle.
-Ôte le… Ôte moi ça jt’en supplie…
Les mains du jeune homme commençaient à tirer sur l’élastique avec désespoir, et Sébastien les chassa d’une légère tape pour le faire lui-même. Aussitôt dégagé, le membre fut enfourné entre les lèvres du professeur, s’il avait réfléchi, il aurait hésité, alors il avait décidé de ne surtout pas réfléchir. C’était de l’instinct. De l’instinct pur et simple. Qui semblait plutôt bon d’ailleurs puisque très vite les genoux du plus jeune se mirent à trembler et le châtain se releva pour l’allonger sur le lit et reprendre.
Mais Miyavi ne lui en laissa pas l’occasion, il se saisit du tube de lotion ultra bio ultra hydratante que Cathy avait oublié dans la salle de bain et s’en enduit les doigts avant de diriger sa main sèche vers le pantalon prêt à craquer du plus vieux.
Quelques secondes plus tard, il était agenouillé aux côtés du châtain, la main faisant des allées et venues sur son érection tandis que l’autre était glissée entre ses propres jambes pour se préparer sous les yeux ébahis de Sébastien.
Lorsque Miyavi s’empala de lui-même sur son amant, les coups de feu retentirent de plus belle au loin, et Sébastien ne put que se redresser en position assise, et détacher les cheveux du jeune homme, les agrippant dans son poing pour l’attirer un peu plus contre lui tandis que leur mouvements se faisaient plus assurés.
Très vite leurs corps se recouvrirent de sueur, leurs respirations devinrent les seuls bruits qu’ils purent entendre, et lorsque l’asiatique se détacha du professeur pour se placer à quatre pattes, cambré, offert, aucun d’eux n’entendit l’immeuble s’écrouler quelques rues plus loin, les explosions furent prises pour des halètements, et ils étaient uniquement concentrés sur le plaisir de l’autre.
Quand enfin Miyavi de laissa jouir sur les draps et sur les doigts de son amant, ce dernier embrassa sa nuque et lui fit tourner la tête vers lui pour l’embrasser à pleine bouche tandis que l’orgasme l’emportait.
Il s’effondra sur le plus jeune et ils restèrent de longues minutes l’un en l’autre, savourant l’odeur de la sueur et de l’amour qui les recouvrait.
Jusqu’à ce qu’un son plus strident que les autres sorte Sébastien de sa léthargie. Son amant semblait avoir réagit plus vite que lui et tendait déjà le bras vers le pied du lit pour attraper le téléphone fixe et décrocher.
Encore dans le brouillard, le professeur le vit s’agiter, blanchir, et raccrocher rapidement avant de se lever brusquement. Il faudrait repasser pour les mots tendres post coït…
-…j’y aille.
Il n’avait pas entendu le début de la phrase, perdu dans les méandres de ses pensées.
-Quoi ?
-Il faut que j’y aille ! Gackt a des problèmes.
-Qui ? Mais… Mais non ! Tu vas pas sortir maintenant on vient juste de…
-Quand je dis des problèmes Seb c’est un truc genre « il va se faire tuer sous peu », tu vois mieux là ?
Miyavi remonta rapidement le jean dans lequel il venait de sauter et enfila un gilet noir rapidement avant d’attraper un t-shirt rouge qu’il craqua rapidement et attacha à son bras.
Toujours nu, le châtain avait peine à émerger, c’était un cauchemar, ils auraient du rester enlacés encore quelques minutes, puis refaire l’amour, encore et encore, jusqu’au matin, qui aurait été beau et ensoleillé.
Un coup de feu fut suivi d’un hurlement d’agonie dans la rue, et Sébastien blanchit. Une sueur glacée parcourut son dos et il saisit l’épaule du brun prêt à quitter la chambre.
-Non, s’il te plait n’y va pas. Tu pourrais te faire tuer. S’il te plait. C’est plus des bastons de quartier, c’est la guerre là dehors !
Miyavi détailla son visage et murmura :
-Je peux pas l’abandonner.
Et il s’éloigna vers la porte d’entrée au pas de course.
Pas un baiser, à peine un regard en arrière. Seul le contact terriblement tendre de sa main sur la joue du professeur.
La porte de l’appartement claqua.
Une explosion retentit et Sébastien s’effondra au pied du lit, dans les draps défaits et murmura :
-Moi par contre, tu peux me laisser c’est ça ?
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Mouaha, putain je crois que je vais devenir folle! (Si c'est pas déjà l'cas...) Mais bon, pas folle de n'importe quoi! Folle de... Rage! Du nouveau prof! Qui est vraiment un égoiste gamin d'ailleurs! Bref, Moi j'ai adooooorééééé ce chapitre, ca nous laisse sur notre faim (Fin?) ! Bon, la folle est de retour, et aujourd'hui je suis raisonnable, il est que minuit ! o/
faim ^^
Héhéhéhéhé c'est le but visé =D
Et bien et bien, je ne m'attendais pas à un nouveau chapitre. Je fut agréablement surprise en tout cas.
Il est domage que tu ne prenne plus plaisir à écrire. Le talent est toujours là en tout cas. Les description sont toujours aussi réussies, bien qu'un peu moins pointues qu dans le grenat bleu. ça ne gache en rien la lecture, cela dit.
J'avoue, ce chapitre gagne en interet avec le rapprochement de Sebasien et Miyavi. On est Yaoïste ou on ne l'ai pas^^ Sebastien est beacoup moins torturé, je trouve, même durant sa nuit de reflexion. J'adore les rapprochement, alors je ne me plaint pas, mais je trouve qu'il y a un petit decallage entre le Sebastien du chapitre 43 et celui du 44. Cela dit, il fallait bien qu'il change, un jour^^
Bref, un chapitre fort en emotion et en rapprochement :)
La guerre qui sévit a elle aussi pris une ampleur inattendue, et j'ai bien peur de la fin tragique qui se profile à l'horizon. Raaah, les Bad End me deprime xD
Allez, en esperant que tu reprenne gout à l'ecriture, parce qu'un auteur heureux rend les lecteurs heureux ;)
CDT
Bon euh, rebonjour/soir je te prends pas pour une c... Idiote, mais parce qu'en fait j'ai utilisé deux pseudos dfferents pour commenter, Lilou et Lilouw, bon ça peut paraitre ridicule mais bon y peut y avoir deux personnes differentes derriere ces deux pseudos... Nan? ^^' *Je sors*
Alors voilàaaa, juste pour m'excuseeeer, euh ahuuum (J'ai pas de chocolats, mais jpeux faire un bisou à mon ecran si tu veux c'est gratuit =D) Bah en fait pour m'excuser de touuuus les commentaires débiles (J'etais jeuuuuuune...) que j'ai laissés avant et desquels j'avais pas vu la réponse, bah parce que j'allais pas vérifier que tu répondais ^^' OHH et ah ouii je voulais te dire merci (3615 My Life) parce que grace à toi je me suis mise à l'ecriture et que j'aime ça et que les gens aiment *Youhraaa! (Sisi ça existe. Oh pu... rée le roman! :o)*
Lilou *A l'arriere d'une ambulance, qui crie au monde entier qu'elle n'est pas folle, que ce n'est pas sa faute si elle veut caser tous les garcons de sa classe ensemble meme si que ils sont hétéros ! *
Hoping you'll continue, <3
C'est vrai tu t'es mis à écrire? Il faut absolument que tu me montres ça!
Lol le mieux si tu veux voir les réponses c'est de mettre ton mail dans le formulaire, ça marche mieux ^^!
bisous!
Abyyyy, t'es chiante !
Tu pouvais pas faire un truc sympa ? Genre mignon et tout, qui se finit bien, des bisous plein de bave, on reste au lit jusqu'à la fin de nos jours en se murmurant des mièvreries débiles ? Pourquoi faut toujours que ça se finisse pas bien T-T (genre c'est moi qui dit ça... je fait mourir presque tout mes persos, ou alors je l'ai fait s'entre déchiré et ils se revoient plus jamais)
Bref. L'était pas dégueu ce chapitre je trouve. Bon j'ai du relire celui d'avant parce que je me rappelais plus trop m'enfin... Je fantasme complètement sur les mecs qui ressemblent à des filles. J'ai un problème ? Il m'a donnée envie le p'tit asiat'... Hum, bref.
J'espère que ça ira mieux dans le prochain (je n'ose même pas imaginer dans combien de temps on pourra le lire XD)
Et merci pour la pub ! ;p
Bisous (garde espoir, je crois en toi ! *o/* <- spéciale dédicace !)
Inrain (genre tu savais pas...)
Super, merci pour ce chap!
J'ai déjà hâte au prochain… peu importe quand il arrivera! XD
xDDD Mon dieu, je suis horrible xD
atta bouge pas !! ° sort le marteau et explose le plafond° voilààà !! Monte ego monte ! Nan ??? la Grande Pretresse Absynthe se dandine sur sa chaise ??? ouuaaaah ! Tu t'es vengée, j'ai fait pire ce matin, je gloussais-rougissait-me dandinais ! Et Sû, pareil je pense. Alors alors.... On l'a attendu ce chapitre ! Mais on l'aime ! c'est un grand pas en avant pour ces deux... bakas? Mais vu la fin.. Mes ongles ( dont il ne reste quasiment rien ) vont souffrir ! Une suite siouplait ? Si La Grande Pretresse se met à la suite illico, je me mets à la composition d'un second poème, qui ira avec le nouveau fond du blog ( bah oui, lui il est vert.... donc la nuit d'encre et la flamme marchent pu )
Putain mais c'est quoi ce truc absolument pas romantique ? T'es chier Aby xD C'est frustrant, rhaa... Je vois pas comment ça va se terminer (bien, j'espère ><) tout ce merdier... T'as intérêt à nous faire une fin canon hein ? J'en reviens pas que tu l'aies commencé en juin dernier ce chapitre, j'ai pas eu l'impression d'attendre autant... Si tout le monde faisait comme toi je crois que je me déssècherais dans un coin de ma chambre ! Bon allez t'es quand même pardonnée hein =D M'enfin cet été t'auras pas d'excuse pour rien glander xD
Gnéhéhéhéhé xD
Je suis TROP fière xD
franchement j'ai adorer ce nouveau chapitre^^.
Merci la belle ^^!
Si tu zigouilles Miyavi, tu perdras une lectrice fidèle et dévouée! (enfin, tu perdras ses commentaires, parce qu'elle n'arrêtera certainement pas de te lire!) J'espère donc que ce n'est pas dans tes projet!
Sinon, c'est vrai que ce chapitre n'est pas super palpitant... Mais courage, t'arrives à la fin! (Et n'hésites pas à te consacrer à Shyinn et/ou l'Oublié si t'en as marre de c't'histoire-ci XD je ne t'en voudai pas!)
Allez, biz, et je prie pour que ce chapitre en annonce d'autres à venir...
Ahahahaa t'inquiète, j'aime pas faire mourir mes personnages, j'y tiens trop xD
Bisous la belle =)
*sort sa massue*
Mimi... Mimiyavi (oui, je le provoque, c'est fait exprès ;) ) radine tes petites fesses par ici... Nanméo ! On abandonne pas un amant auquel on est attaché émotionnellement parlant de cette façon ! C'est quoi ces manières JEUNE HOMME ?
Pauvre petit Sébastien... En même temps il m'aurait écouté aussi, combien de fois je lui ai mentalement dit que Samuel était beaucoup mieux que Miyavi... Combien de fois ? Hein ? Hein ? Hein ?
*n'abandonne pas sa massue*
Abyby... Abybychou (oui, oui, je te provoque aussi :D) C'est quoi cette manie de s'auto-flageller lorsqu'on a fait un magnifique chapitre ? Franchement, ma belle, ça valait vraiment le coût d'attendre. On n'est totalement plongé dans l'univers de nos deux zigotos et de cette guerre civile. C'est juste incroyable. Et puis ce lemon... miam.
Au fait, je voulais te remercier. Grâce à toi, une nouvelle lectrice est venue s'aventurer sur mon blog. Je crois que sans ces défis que tu nous as proposé, je n'aurais pas autant de commentaires que j'en ai maintenant sur mon blog... Je te remercie vraiment ma belle <3
Faudrait que je t'envoie un message sur FB pour prendre de tes nouvelles, faudrait <- Miss Flemme en action. En tous cas, j'espère que tu vas bien.
Gros bisous ma belle. À bientôt.
PS : je ne suis pas une grande fan de la couleur verte, mais j'aime beaucoup ton nouveau design. C'est frais, c'est printanier, ça fait du bien :)
Mdrrr tu viens de me faire éclater de rire t'imagine pas xD
Je te vois tellement avec ta massue ^^
Ouah, nouvelle mesure de temps, maintenant je compte en designs xD Donc j'en ai deux de retard ^^ Jvais en faire un nouveau, celui ci est trop vilain :) bisousssss la plus belle =)
Tout simplement epoustouflant!
J'etais tenu en haleine jusqu'a la fin, je suis impatiente de decouvrir la suite.
Que ce soit pour l'histoire d'amour des 2 protagonistes que pour l'action.
Je suis devenu fan de votre travail. J'adore cette histoire et le grenat bleu.
Bon continuation, j'espere qu'on pourra vite les trouver reliés
Roh ben wah, "époustouflant" je te raconte même pas le sourire que j'ai ^^!
Merci BEAUCOUP! Je suis très contente que ces histoires te plaisent =)
Bisous!
eh bien, contrairement à toi, je me suis régalée!! ^^
C'est pas si mauvais que ça!! Bon j'avoue c'était long à lire et j'ai pas trop accroché, mais bon on arrive enfin au moment tant attendu et là, il se recasse! Je pense que c'est une histoire qui va mal finir!!
Bon courage pour la suite!!
Je comprends tout à fait ^^
Tu verras bientôt si oui ou non c'est une histoire qui finira mal ^^
bisous
Eh oui c'est moi la pom-pom girl =p J'ai eu la chance d'avoir le texte en avant première^^ Sinon pour passer au sujet qui m'amène, merci pour le nouveau chapitre, ça fait plaisir de te savoir de retour. En fait je crois que c'est mon premier commentaire (oui bon ça va chuis désolée hein U.U) donc je m'étale un peu. Et un petit compliment pour la route: j'adore vraiment ta manière décrire !
Roooh =) Merci la belle =)
Désolée pour l'année de retard xD
Gah.
Merde je peux rien dire d'autre xD.
Encore un chapitre parfait, même si comme tu le dis, il t'aura donné du fil à retordre, les moments "charnières" sont les plus complexes à gerer, faire passer le temps par de quelconques actions, distiller tout ça et mettre deux trois trucs de façon à ce que ça ne soit pas imbuvable xD. En tout cas tu t'en es sortie avec brio, je me suis pas ennuyée une seconde étrangement, le coup du pile ou face avec la capsule de bière était pas mal du tout x].
Toujours confronté à ses choix le petit Sebastien...Il doute il doute... MAIS ZYVA CHOUPINET FAIT LE !!! *hum pardon.*
Et puis doux moment romantique entre le prof de lettres et son adorable élève chef de gang, so sex. Hum nah le so sex vient après en fait... MAIS QUELLE TENUE MIYAVI!!! J'en ai presque hyperventilé 8D . Bon mon clavier est à moitié foutu à cause de la quantité non négligeable qui s'est déversée dessus au passage du "j'avais pensé à mettre une robe aussi"...Gah.[puissance deux].
Très bonne scène entre les deux,assez rapide, assez confuse au milieu du bordel que devient le monde autour deux, ça y correspond bien je trouve. Je l'ai beaucoup appréciée. *pervy mode : on*
Sinon quoi d'autre ? Ah bah la fin of course, la fin la fin, rapide, efficace, pas chère x]. "on se dit pas je t'aime? Mamour? Chaton ?" "bah nah tu vois mon pote va crever alors toi tu restes a la maison, tu mets ton tablier rose à fleur (nu en dessous s'il te plait honey) et tu fais le ménage." enfin dans cet esprit là quoi.
[excusez les bêtises, je révise le chinois en même temps, ça rend quelque peu barge.]
Encore un excellent chapitre, long comme on les aime, avec plein d'action, un atmosphère mi romantique mi post apocalyptique, les orgasmes n'en sont que plus fort !! *ok je sors*.
Je ne dirai pas "la suite", mais je le pense très fort 8D.
Have a good night~~
Roh je suis contente de voir qu'il y en a qui pigent la complexité de la chose xD Merci beaucoup beaucoup!
Mdrrr "choupinet" il va être tellement motivé d'un coup, c'est viril et tellement classe xD
Je viens d'éclater de rire avec ton histoire de tablier ^^ J'adore!
Après un an, je pense que la suite et fin va pas tarder, promis :p
Enfin!!! Merci Absynthe pour ce magnifique cadeau. La dernière phrase est plutôt amère. Je me demande bien comment ça va finir. Je suis impatiente de lire la suite. =)
J'ai lu tous ces chapitres en une fois et j'ai adoré ^^ , j'ai hâte de connaître le dénoument , ton style est fluide , l'intrigue est pleine de rebondissements . Ah j'adore le Miyavi que tu nous décris ici . Je te souhaites bien du courage pour la suite ^^.
Roh je suis flattée que tu aimes mon style et l'intrigue =) Ca fait plaisir à lire. Merci beaucoup, l'épilogue arrive bientôt, bisous
Mais purée c'est d'un curel !!!! Je sais pas pourquoi mais la happy end je la sens pas. Toi tu vas me faire pleurer ><
Sinon ba écoute moi j'ai bien aimé le passage d'hésitation avec la capsule xD Je désespérais de te voir majer TT mais tu vis c'es le principal !
Alors maintenant tu nous poste la suite, que j'aille préparer mes mouchoirs.
curel? Cruuuuuuel ahhh pardon xD Promis ma belle, tu vas aimer la fin quoi qu'il en soit =)
Bisous la belle, l'épilogue arrive très vite =)
haaaaaa.. merveilleux.. il me plait beaucoup ce chapitre,tu es trop dure envers tes performances! j'ai bien aimé la séquence dentelle,c'était bien vu! MAAAAAIS t'as pas intéret à mettre autant de temps à écrire les deux derniers chapitres!!!!! c'est angoissant merde!>o<
courage Aby courage Aby courage Aby
Mon dieu j'arrive pas à me souvenir de la séquence dentelle xD
L'épilogue arrive bientôt, bisousss =)
je viens de relire l'histoire en entier et franchement j'adore, les personnages sont attachants, hésitants, marrants, et l'histoire est super bien écrite.
j'ai vraiment hâte de lire la suite et de savoir si Miyavi va revenir ou non, et au fond de moi j'espère que oui car le pauvre sébastien ne s'en remettrait pas.
bonne continuation.
Roh moi j'ai essayé de me relire je me suis arrêtée au troisième chapitre tellement je trouvais ça mauvais ^^" après je pense queça s'améliore mais bref ^^
Merci beaucoup, et bisous!
Bon... =DD. Il faut que j 'ecrives un commentaire... Bon un truc pas positif du tout plus le truc vachement négatif... Bieenn... Je sais pas quoi mettre Absynthe tu as dit que c 'était nul ca t'avait fait chier et j'en passe. Je regrette le chapitre ma plu... De maniere objective je dirai que par rapport a d'hab' tu es allé plus vite et na pas énormément décrit. Mais si tu t'es fait chier à l'écrire normal que tu es voulue aller vite. Mais voilà je pourrai rien trouver d'autres meme en me creusant la tête. J'ai beaucoup aimer ce chapitre bien qu'il ne fasse pas parti de mes préférer. Disons que je l'ai tellement attendu que avant de l'avoir lu je l'aimai dejà. Non sincèrement il ma plu. Je ne suis peut etre pas objective ou (surtout) pas habituer a critiquer mais j'ai pris du plaisir a le lire et je suis heureuse que tu l 'est fini. J'avais plus d'espoir de le lire... =)
Roh je suis désolée pour cette attente aussi longue, je m'améliore pas hein ^^'
Merci beaucoup pour ta critique objective, c'est rafraichissant ^^ bisous
Enfin, une suite,
et quelle suite. Contrairement à toi, je l'ai beaucoup aimé. Je trouve que les sentiments sont très bien décrits, et j'aime ces histoires qui me font rêver, même si la tienne et plus tragique que féérique.
Elles me permettent de m'enfuir de la réalité de la vie, celle qui n'est pas toujours facile tout le temps.
Alors MERCI, merci d'écrire des histoires aussi belles.
Moi je l'aime bien.
alors voilà !
vivement le prochain chapitre
clem'
roh tu me fais penser que j'aimerais beaucoup écrire un truc féérique, ou au moins fantasy type Tolkien et compagnie, un truc verdoyant et tout... Pfiou...
MERCI à toi pour ce magnifique commentaire, c'est un vrai plaisir à lire!
Bisous Clematite, j'adore ton pseudo c'est une tellement jolie plante ^^
good j ai aimé ce chapitre . ps ; je suis prete a devenir une abysh j adore toute tes histoires et pourtant j en et lus beaucoups depuit ke je connais le yaoi
Elle est pour quand la suite ? O_O' J'ai trouvé le blog hier, j'ai tout lu Un nouveau prof hier sauf la dernière page :x ( Nan, nan, je suis pas du tout accroc oki ! )
Sincèrement je sais vraiment pas quoi dire ! C'est juste merveilleux ! Tout est parfait ! Ça pourrais simplement pas entrer dans ma tête le fait que quelqu'un n'aime pas lire ça ! ><' Enfin, je vais arrêter d'me répéter vue que j'ai absolument rien à dire sauf : Omg trop fantastique ! La suite c'est bientôt han ? :'D
Okay, je me confesse, je suis une putain de lectrice fantôme, honte à moi et que le ciel me tombe sur la tête!! Poutant, Dieu sait que j'aime, j'adore, j'adule ce que tu fais, dans le genre, super références, tu es surement sur le podium de celles qui écrivent le mieux (celon moi, mais je suis sûre que beaucoup partagent mon avis ^^)
Que dire, ... je te lis depuis...piouf, très, TROP longtemps, et c'est surement parce que tu ne fait pas des post réguliers que je me suis maintenue au silence...mais en fait, je préfère largement que tu prenne largement ton temps, plutôt que de ne plus rien faire. En fait ma hantise serait que tu ne finisse pas cette histoire...HORREUR!!! Comment on fera si on ne connait pas la fin, soit elle bonne ou mauvaise d'ailleurs! Je suis tellement attachée à tes personnages que je n'ai qu'une envie, lire et relire cette histoire! (peut être une publication, un jour peut être=) )
Tout ça pour te dire que j'aime ton travail, je t'adule, te vénère, te glorifie même, pour continuer et pour nous faire partager tous ceci, les bonnes histoires dans ce genre sont rares; réalistes, drôles, dramatiques, romantiques...On pas des personnages qui se rencontre et qui au bout de 2 chapitres se disent "JTM BeyBEY, on BAise et on Fait notre Vie ensemble???" ...Bref, merci à toi et bonne continuation!
Bien sûre, je ne desespère pas de voir bientôt la suite, surtout que cela touche à se fin.^^
Je sais pas pourquoi mais j'ai comme l'impression que ça va mal finir... =/
Ouaaa ! ! ! trop bien la premiere fic ( ou peut etre la seconde, vu que j'été dans ma periode tokio hotel quand j'ai commencer a te lire) qui finira bientot, il s'en sera passer des choses pour ces deux la, 44 chapitre... non mais 44 ( mon nombre preferé *-* ) et ouhaa jolie ton nouveau fond pour le site, avec la fatiue j'ai ru que les fleures été en train de pousser O_o ( un peu hors sujet non ? ).
Bref super chapitre, j'ai presque envi de dire, comme d'habitude et d'ailleure je vais le dire... comme d'habitude, t'es génial, je t'aime, veux tu m'épouser, ou alors me fair l'honneure de continuer a écrir toute t'as vie pour le meilleure et pour le pi... heu meilleure =D,
rebref je m'éloigne je croi que la fatigue me gagne, bonne continuation ( et de deux en une soirée youhou ) et encore tout plein de bisous
Ooooooooh! Sérieusement, j'm'y attendais pas. Je dois avouer (eh oui) que j'ai connu le site par la Boy's Love scantrad (oui j'aime les mangas, j'aime le yaoi en images mais tant mieux, sinon j'aurais jamais pu voir ce site ). J'avais déjà lu deux trois fics et j'avais laché, pour moi l'histoire était trop mal faite ou ceci ou cela (oui je suis chiante aussi, j'ai pas commencé par les mangas mais par les gros bouquins de 1500 pages). Là, sur le site de la Boy's Love, ils proposent des auteurs de gay. J'me dit qu'on peut réessayer. Oh putaaaaaaaaaaiiiiiin c'que j'ai bien fait!!!!!!!!(excusez la grossiereté mais là...)J'ai juste tiqué sur le fait que les oeuvres soient "en cours" parcequ'on sait tous que les auteurs prennent un plaisir fou à nous torturer après(pauvres de nous).J'ai déjà lu l'intégralité du Nouveau Prof et je vais surement me mettre à lire le Grenat Bleu (quand mes parents seront pas là ). Quoiqu'il en soit j'adore le style, sans le savoir, on pourrait pas dire que tu t'es fais chier dessus et moi j'aimais bien quand Seb il résistait... Oui j'ai compris je m'arrête, excusez-moi pour ce message trop long et encore merci beaucoup
alors là! WAOUH *_* cette fics, depuis des mois et des mois je l'avais delaissée, et là, une envie soudaine, relire la "fin", j'viens d'la découvrire et je suis tout simplement, (c'est quoi le mot pour dire WOUAH déjà?) sérieusement, j'adore, maintenant, ya encrore deux trucs à faires, finir ca, et evidement, le grenat bleu, qua j'adore!
Bref, tout ca pour te dire, que même si je suis pas une lectrisse qui met des tonnes de commentaires (en fait, j'en met carrement pas =/) je lis ce que tu fais, et vraiment, j'adore!
Ca fait 3 mois que je relis cette magnifique fic, t'as même réussi à m'arracher des larmes... Maintenand THE question, est-elle finit? Si oui, putain de merde de guerreeeeeeeeeeeeeeeee de mes *bipppp* hum, si non, à quend la suite?
Bisouuuuuuuuuuuuuuuuus auteure de génie
Yuki-chan, une fan ^^
Nope nope jte juuuure c'est pas fini!
Le chapitre suivant va être posté dans quelques jours, aut juste que jme botte le cul xD
Bisousss
ouin!!!!! jveu la suite jveu la suite ^^ elle est super cette histoire mais ca rajoute trop de suspens de s'arreter a ce moment j'en peut plus jveu la suite!! lol sinon c'est super change rien et continue comme sa:)
MErciii ^^ La suite arrive dans quelques jours!
Bonjour Bonjour. Et bien me voilà à la fin, enfin à la fin de ce qui a déjà été publié et en voyant les dates des différents articles j'ai très peur ^^
Est-ce que tu travailles encore sur cette histoire qui à l'air de vraiment t'emmerder (excuse le langage ^^) mais que moi j'adore absolument?
En tous cas j'aime vraiment beaucoup. Tu ne choisis pas la facilité, tu fais durer l'histoire, tout e restant un minimum crédible, ya toujours un truc auquel on ne s'attend pas, ce qui fait qu'on t'adore et qu'on te déteste en même temps lol.
En tous les cas j'espère que tu continueras, même si ça doit prendre du temps, parce que je suis tellement obsédée par cette histoire que je veux ABOLUMENT connaitre la fin.
Bonne continuation!
Génial!
Merci!
boujour, (ou plutot dans mon cas bonsoir parce que a cause de toi je m'apprete plus à aller me coucher qu'à me lever)
depuis hier soir j'ai lu le grenat bleu, VDR story (d'ailleur certaines scenes sentent le vécu j'adorre) et bien sur un nouveau prof !
je vais commencer par les compliments : tu as un style singulier, tu es capable de passer du registre famillier au registre soutenue avec aisance et ton imagination fait que l'on ne s'ennuie que très rarement. ha et tu dépeind les sensations avec justesse de telle sorte que l'on se retrouve totalement imergé avec tes protagonistes et il est pour moi impossible de me détacher de tes histoires.
passont aux point négatif : ton plus gros défault est que tu manque de confiance en toi tu passes ton temps a dire que tu es mécontente des chapitres que tu postes et de bien vouloir t'excuser mais tu n'en as pas besoin : partager ses histoires doit etre un cadeau et non une punition. comme tu n'as pas à apostropher le lecteur en plein mileu d'un paragraphe pour justifier tes choix d'écrivain ou ajouter une définition entre parenthese (le dico c'est fait pour ça). En bref soit un peu plus egoiste tu dois avant tout écrire pour toi avant d'écrire pour les autres.
Il y a un autre truc qui me pose de gros probleme c'est ton changement de focalisation en tre les chapitres voir même dans les chapitres en eux même (pas sur d'etre très clair sur ce coup là moi). je comprend que tu sois attacher a tes perso et que tu es envi de faire découvir leur visoin des choses mais un changement trop répété brouille plus le lecteur qu'autre chose a tel point que parfois on ne sais meme plus qui est le "personnage qui parle" (c'est surtout flagrant sur le grenat bleu)
ensuite il est evident que certaine de tes tournures de phrases sont maladroites et peuvent parfois rendre des passages entiers lourds (ha et pour quoi est ce que tu utilises le plus souvent la couleur des cheveux de tes persos pour les désigner je suis sur qu'il pleins d'autre mon que tu peux utiliser et ils ont aussi un nom et un prénom sert t'en plus). Mais pour ce probleme là ce qui te manques c'est un correcteur extérieur ( a trop etre plonger dedans tu finis par ne plus voir tes propres erreurs) d'ailleur si tu as une version papier de un nouveau prof je me ferai un plaisir de t'envoyer mon adresse postale par mail et de sortir mon stylo rouge (a toi ensuite de décider ou non de suivre mes indications)
pour finir (et pardonne moi si je me trompe) mais j'ai l'impression que tu as un peu du mal a finir un nouveau prof soit parce que as finis par t'en lasser ce qui est domage parce que c'est vraiment une très bonne histoire et que s'arrété a quelque chapitres de la fin après tout ce boulot c'est vraiment excuse moi des termes bête, supide et idiot. tes lecteurs meritent mieux que ça, tes personnages meritent mieux que ça et surtout TU merites mieux que ça. Soit ma seconde hypothèse est que tu as du mal a laisser partir tes personnages (après 3 ans c'est tout a fait compréhensif) tu t'es attachée à eux et il peut etre parfois difficile de dire au revoir et d'écrire le mot fin mais c'est a mon avis cette capacité qui différencie un bon écrivain d'un mauvais et tu as ce qui faut pour faire partie de la premiere quatégorie.Surtout que tu sais déjà comment l'histoire se fini je me trompe ? alors prend une grande inspiration et lance toi.
voilà c'est a peut près tout ! oui oui je sais je me suis lachée mais franchement je n'aurai pas perdu une heure de mon temps a écrire une critique constructive si je pensais pas que tu en valais la peine surtout que je suis debout depuis près de 30h maintenant (d'ailleur ça explique en grande partie mon orthographe déplorable et la flem de le corriger mea culpa)
en tout cas je prèete a parler de tes textes avec toi quand tu le désire et surtout bonne continuation
Beuuuuh c'est triiiiste je veux savoir la suite T-T pis je veux aussi le lemon ou Miyavi va enfin lui passer dessus >< ! ( Y en aura pas T-T" ? naaaaaaaaaaaan pleeeaseuh x_x ). J'ai plus l'excuse " je lis une fic' trop bien " lorsque j'ai la flemme d'écrire mes rp >< ! Alors vite vite une suite !
Il DEVAIT y en avoir un ou Miyavi est dessus, et j'ai pas réussi à le faire, jsuis désolée. J'en avais trop envie, mais j'ai pas réussi à le mettre en scène, ça collait pas avec le moment.. Désolée =/ Tu m'en veux?
Mais la maj est là quand même, jte jure!
T'écris des RP ouuu? Bisous
salut dit moi j'aime beaucoup ton histoire et je voudrais savoir à quand la suite pck la je suis impatiente
Ca y estttt =)
Ah oui, en effet j'avais complètement oublié les derniers chapitres ^^
Par contre "posa la boite de chocolats sur la table, ne savant qu’en faire"
Savant ? Sachant non ?
Maiiiiiiiis