Coucou!
Un grand merci pour vos commentaires qui ont été somme toute adorables, malgré mon chapitre pitoyable xD
On a passé les 500 commentaires. Le bonheuuuuuuuuuuuuuuur!
Je reviens avec un plus long (VOUS POUVEZ PAS DIRE QUIL EST PAS LONG HEIN!)
Pour ce qui est du lime/début de lime, je pensais le faire plus long, plus hot... Mais j'ai pas réussi à retranscrire ce que je voulais, donc je ne sais pas s'il vous plaira un minimum ou si je vais me manger des briques dans la face xD
Pour le reste, je suppose que ce sera assez lourd, mais c'est important pour poser les grandes lignes.
Les changements de vouvoiement au tutoiement et vice versa sont faits exprès, ça démontre une certaine intimité, mais une pudeur toujours présente, et un respect certain.
Les "Bon Dieu" et "Merlin". Sont aussi faits exprès. Pour montrer les tendances à être du "côté" moldu, ou sorcier.
Voili voilou, j'attends vos réactions avec impatience!
Heu dans le chapitre d'après ok? Jdois aller au cinéma là xD
REGARDEZ BIEN LE DESSIN CEST MON PREMIER FANART.
Merci Yubaoooooooo ^^
Et allez dans la rubrique papotages, y a deux trois trucs divers à lire.
bisous
Chapitre 10 (YOUHOU)
-Seth?
Le brun s’immobilisa à la sortie de la grande salle pour faire face à Amanda et l’inviter à poursuivre d’un grognement sonore.
-Avec Seamus on va à la tour d’astronomie pour prendre l’air et se… détendre.
Elle mima discrètement de ses doigts une cigarette que l’on fume et reprit:
-Tu veux te joindre à nous?
Le sorcier parut réfléchir quelques secondes, les yeux dans le vague, avant de répondre:
-Je vous rejoindrai peut-être dans une petite heure d’accord? J’aimerai prendre une douche et passer voir… Passer un coup de cheminette à un vieil ami.
La jeune femme lui fit un clin d’œil avant de se diriger vers la tour.
-Très bien, prends ton temps, au pire on fera ça autre fois. Je suis assez bien fournie, le climat de Poudlard donne un sacré coup de fouet à mes plants.
**
-Tu comptes aller ou comme ça?
-De quoi tu te mêles toi?! Tu n’as pas de souris à gober?
Le Carinata noir et jaune se tenait dressé sur le pas de la porte de la salle de bain, « contemplant » Harry se sécher nerveusement les cheveux et l‘envoyant bouler par la même occasion.
-A vrai dire, après avoir passé la journée à courser les elfes de maison, je comptais dormir contre toi. Mais une fois de plus tu fais tout pour m’éviter. Moi, pauvre animal de compagnie tant dévoué à son maître…
-Shyinn… grogna Seth.
-Simple serpent maigrichon car mal nourri, qui ne fait qu’espérer que…
-Shyinn!
-… son propriétaire le remarque enfin… Mais à la place de ça, il préfère mater outrageusement un ancien camarade de classe totalement imbuvable…
-SHYINN, Ta. Gueule!!! Rugit le brun.
-…qui est certes pourvu d’une odeur et d’une aura surpassant bien des hommes, mais qui garde son caractère de petit merdeux pourri gâté, tandis que moi, je suis là, adorable, charmant, drôle, crevant de faim, se mourrant d’amour…
-Mais tu vas te taire oui?!
Le jeune homme s’était jeté au sol, étalant ses cheveux trempés sur le parquet, répandant de l’eau partout,, ses mains glissant sur le corps froid du reptile sans réussir à l’immobiliser.
Il regarda le serpent s’éloigner d’un œil mauvais, toujours allongé par terre, ignorant son rire agaçant qui résonna de longues minutes après son départ.
Seth se releva, son humeur, s’étant déjà dégradée durant le dîner, atteignait à présent des sommets dans le négatif. Il attrapa rapidement des vêtements qu’il enfila, ainsi qu’un ruban noir pour ses cheveux qu’il enroula en traversant les couloirs à la recherche d’un certain bureau.
Arrivé à destination il testa de nombreux mots de passe, sans succès.
-Bonbon au citron, meringue glacée, chocogrenouille… Trop vieux… Bon. Vive Serpentard, les Serpentards sont les plus forts, Salazar le meilleur, Salzou en force, Godrick est un imbécile, Godrick en enfer, Godrick à la ferme, Godrick au potager, le retour de Godrick… Heum. Je suis Snape. Je suis drôle même si personne ne s’en doute…
….
….Dumbledore tricote?
*Clack*
-Quel humour professeur, quel humour! Lança le jeune homme sur un ton sarcastique avec tout de même une lueur d’amusement dans son œil valide tout en montant les escaliers en colimaçon.
Il lui en voulait. Comment pouvait-il lui reprocher maintenant d’être parti alors qu’il avait rempli sa mission, à savoir tuer Voldemort, et que le soir de son arrivée, pas un reproche n’avait franchi ses lèvres? Il connaissait la tendresse qu’éprouvait Severus à l’égard de celui qui était devenu son filleul forcé, mais il n’aurait pas cru Snape capable de lui reprocher aussi ouvertement…
**
-Severus?
Seth s’avança dans le bureau du directeur à pas de velours, posant le regard sur la décoration sobre de la pièce, presque glaciale. Toute à l’image de ce que le maître des potions fait paraître aux yeux de tous les curieux qui se risquent à tenter de le connaître.
A droite, une immense bibliothèque avec moult ouvrages barbares que le jeune homme n’avait plus revu depuis cinq années. « De l’influence de la sauge sur la livèche », « Asphodèle, ce qu’on devrait tous savoir. », « La potion Tue-Loup par son inventeur Marcus Belby ».
Aucun livre de magie noire, qu‘il avait tant appris à aimer.
« C’est vrai, ceux là sont mieux cachés… »
Au centre, un immense bureau de bois sombre couvert de piles de parchemin jauni, soigneusement alignées dans la longueur, avec une métrique parfaite, signe de la lassitude de l’ancien professeur.
Jamais il n’aurait rangé si méticuleusement sinon…
Contournant les deux fauteuils situés devant le bureau, Harry s’approcha sans crainte de la porte qui laissait passer entre le sol et son pied, la lueur chaleureuse d’un feu de bois dans l’âtre. Qu’il pouvait deviner légèrement à droite de la porte d’entrée. Il pénétra dans les appartements privés du directeur sans plus de cérémonie, savourant pleinement l’ambiance toute autre que celle du bureau. Sous ses pieds une épaisse moquette écru assourdissait plus encore ses pas. Il la sentait presque fondre sous ses pieds, et résistant à l’envie de retirer ses chaussures dès maintenant, il s’accroupit rapidement, tâtant de la main la texture si particulière du sol.
Il bougeait.
Ce n’était ni de laine épaisse, ni de la soie glissante. C’était simplement…Vivant? Une matière aussi douce que le sable, sans ses aspérités sous les doigts, c’était délicieusement chaud…
…Et surtout mouvant.
L’impression que des milliards de petites billes vous massent la peau pour vous détendre jusqu’au plus profond de vous.
Se retenant de s’allonger -certes totalement incongrûment- sur ce sol si attirant, Seth se releva brusquement pour s’avancer vers ce qu’il supposait être la chambre à coucher.
Avant même d’avoir pu poser la main sur la poignée, celle-ci disparut ainsi que toute la porte pour laisser place à un professeur de potion plus que glacial.
-Eh bien Potter…
Il fit siffler ce nom de longues secondes durant, comme il avait toujours su le faire.
Un frisson parcourut Seth, il se revoyait des années plus tôt, venir pour son entraînement journalier, une boule au ventre et la haine au cœur, se présenter à une porte semblable, une évanescente, et attendre péniblement que le ténébreux daigne lui ouvrir. Toujours avec ce même air menaçant.
A y bien songer, il devait y avoir le sentiment de peur en plus des autres.
Surpassant tous les autres, troublant sa respiration, l’empêchant de ciller comme à cet instant. Incapable de détacher son regard de cet homme…
…
C’était lui qui lui avait fait aimer la peur… Le danger… L’adrénaline…
« Savez-vous ce que je pourrais faire de cette lame Monsieur Potter? »
…
« Il faut que vous parveniez à oublier la douleur et l‘effroi des choses qu‘elles pourrait vous faire. D’une manière ou d’une autre. »
…
« Bien. Si vous ne pouvez pas vous maîtriser rien qu’en isolant cette sensation d’inconfort, nous allons devoir trouver une autre solution… Avez-vous une idée? »
…
« Je crois que j’en ai une professeur… »
« Vous m’inquiétez Potter. »
« Je suis sur que vous aimez ça professeur… »
A ce souvenir Seth rougit furieusement avant de se souvenir que cette personne n’était plus lui. Il avait changé. Il n’était plus intimidable. Et ce n’étaient certainement pas les souvenirs de ces cours particuliers si… particuliers qui allaient le faire redevenir le Griffondor niaiseux qu’il fut il y a longtemps.
Tournant vivement le visage pour échapper au regard du directeur sur ses joues rougies, il se retourna vers la sortie et s’avança vers elle sans se douter du sourire lubrique qui s’élargissait derrière lui.
-Je m’appelle Evans monsieur le Directeur. Mais je suppose que je dois déranger… Je repasserai plus tard.
Il n’entendit pas les pas précipités derrière lui.
Snape était aussi silencieux qu’un courant d’air, après tout, on est un espion ou on ne l’est pas.
Il ne l’entendit pas s’approcher de lui si vite…
Il l’entendit simplement murmurer à son oreille avant de se sentir plaqué face contre le bureau qu’il avait réussi à atteindre dans sa fuite:
-Seraient-ce les souvenirs qui vous font si vite rougir et vous enfuir? Je me souvenais de vous plus courageux que cela, monsieur Pott…
-Evans! Siffla le concerné, haletant légèrement sous la surprise, ignorant dans un surplus de self contrôle, les hanches du maître de potions fermement plaquées contre ses fesses, ne lui faisant rien ignorer de son état d‘esprit. -Et non, c’est simplement un surplus de bienséance qui me pousse à m’en aller vu l’heure tardive, ajouta-il avant de tenter une ruade pour se défaire de l’emprise de Snape.
Ce dernier fit glisser ses doigts jusqu’aux poignets du plus jeune qu’il encercla de ses mains avant de les faire claquer brusquement sur le bois du bureau, envoyant une pile de parchemin sur le sol.
Severus tiqua de la langue, comme agacé par cet accident, et repris, ignorant volontairement le gémissement de douleur du Survivant qui sentait tout son corps s’embraser sous la torture et sous le souffle chaud de son ancien professeur dans sa nuque.
-Inutile de vous rappeler que je suis Legilimens monsieur P…
-Evans!
-Et que j’aime toujours aussi peu les mensonges. Vous souvenez vous?
Aussitôt des souvenirs de punitions exemplaires revinrent à l‘esprit du brun. Des coups, de la jouissance, des coups, des cris, des orgasmes, tandis que l’autre venait à saisir ses deux poignets dans une main pour approcher l’autre de sa poche.
-Je vous déconseille de…
-Endoloris!
-AHHH!
Le sort n’avait duré que l’espace d’une seconde, juste assez pour faire se cambrer le professeur de défense, le faire rejeter la tête en arrière, hurlant sa douleur, et le temps pour le tortionnaire d’écarter légèrement ses cuisses tremblantes et s’immiscer entre elles, renvoyant le martyr en avant d’un coup de bassin.
La douleur s’évanouit, aussi vite qu’elle était arrivée, ne laissant plus qu’un Seth pantelant, allongé face contre le plat de la table, sentant derrière et sur lui le corps de son ancien professeur ainsi qu‘une érection impossible à cacher qui s‘appuyait à présent contre le bois.
-Bon sang… Haleta-il.
-Que de bons souvenirs, ne trouvez vous pas Seth? Chuchota l’ancien mange mort, accompagnant sa question qu’un coup de reins qui les fit gémir tous les deux. S’il n’y avait pas eu cette séparation de vêtements…
-Toujours aussi fou hein?
Le plus vieux claqua de la langue, agacé.
-Voyons, c’est votre faute vous le savez…
-Menteur, ricana Harry, tournant son visage vers celui de son ancien amant sans sourire mais avec une lueur d‘amusement dans les yeux.
Ce dernier lui rendit son sourire et se redressa, lissant ses vêtements du plat de la main.
-Que faites vous?
-Voyons Potter… Je vous connais assez pour savoir que dans quelques secondes vous allez me clouer au mur par une rafale de magie, simplement pour partir en me laissant frustré, tentant par cela de garder un minimum de dignité.
Haussant un sourcil, Harry abaissa toutes ses barrières magiques, et laissa une onde de choc se répandre dans la pièce, envoyant brutalement son professeur cogner contre le haut de la bibliothèque. La lueur malicieuse que le jeune homme avait dans les yeux s’évanouit en un instant lorsqu’il vit Snape retomber souplement sur ses pieds, accroupi, parfaitement silencieux, et se relever, le souffle à peine plus rapide qu’avant.
-Je m’appelle Evans, mais vous avez raison monsieur le directeur. C’est à peu près ce que je comptais faire.
Les deux hommes se faisaient face à présent, à un mètre environ l’un de l’autre, une conversation débutait comme s’il ne s’était rien passé. L’espion ôtait sa robe de sorcier sans se presser, la dégrafant en douceur, puis la plaça sur le dossier d’un des fauteuils avant de s’attaquer aux boutons de sa chemise.
-Allez vous me dire à présent ce pourquoi vous faisiez dans mon bureau? Et pourquoi vous avez poussé le vice jusqu’à entrer dans mes appartements… privés?
-Je souhaitais des réponses à votre comportement odieux de ce soir. Pourriez vous me dire ce que vous faites?
-Ne posez pas de questions idiotes lorsque vous connaissez déjà la réponse.
Snape finit d’ouvrir la pièce de tissu, révélant un torse imberbe, sans le moindre défaut, puis se retourna pour le poser par-dessus sa robe de sorcier, laissant son ancien élève face à un corbeau aux ailes immenses qui parcouraient tout son dos.
-Je… On ne va tout de même pas… Harry s’interrompit pour admirer ce corps qui lui faisait toujours autant d’effet, que peu de personnes savaient si parfait. Il se reprit brusquement, choqué par un détail qui habituellement était plus que visible.
-Severus. Ou sont tes cicatrices?!
Sans répondre le directeur conjura un miroir et fit signe à son reflet de se retourner. On put voir dans la glace une longue marque rouge horizontale qui traversait son dos d’une épaule à l’autre, empreinte d‘un rayon de la bibliothèque. Il fusilla du regard son cadet, qui fit une moue contrite.
-Non Harry, nous n’allons rien faire ne t’en fais pas, même si tes regards sont toujours aussi transparents pour moi. Pour mes cicatrices, ça ne te regarde pas. La prochaine fois je préfèrerais un mur lisse si ce n’est pas trop demander.
Il fit disparaître la glace et attrapa ses vêtements:
-Pour ce que je t’ai dit ce soir, je le pense. C’était tout à fait irresponsable de ta part de partir ainsi. J’étais idiot de penser que tes mois d’entraînement avec moi avaient pu mettre du plomb dans ta cervelle de Griffondor.
Le grand ténébreux s’avança en direction de la porte de ses appartements, laissant derrière lui un jeune homme muet. Il se retourna, ferma les yeux un instant, et continua:
-Cela dit… Je comprends aisément que vous ayez du partir pour votre bien être personnel…
-Mais je…
-Tttt, coupa-il. Mais vous auriez du penser à ceux qui dépendaient de vous. Comme Draco. Par votre absence, vous avez fait de sa vie un enfer. Alors oui, peut-être que toutes ces horreurs lui ont permis de se créer un véritable lui. Mais Harry… Severus arborait à présent un regard des plus humains. Si tu avais vu… Si tu avais entendu tout ce qu’ils lui ont fait… Merlin…
Seth ne baissait pas les yeux, il continuait de fixer son ancien amant, impassible.
-Malfoy était un ennemi. Et même si nous avons combattu du même côté, je ne puis avoir de compassion pour lui. Même pour ses beaux yeux, cracha-il, se mentant à lui-même.
-Tu devrais penser à le réhabiliter…
-Ah oui? Et comment? En me présentant au ministère la bouche en cœur? « J’ai tué Voldemort, Malfoy m’a aidé. Rendez lui sa fortune, qu’il perde le semblant d’humanité qu’il a gagné en cinq ans. ». Je ne peux pas Severus. Je ne le veux pas, et je ne le peux pas.
-Tu pourrais. Et puis, certaines personnes n’auraient pas du être abandonnées sans un au revoir, lança-il amer.
-M’As-tu cherché? Demanda un Seth à la voix douce, troublé.
-Pour qui me prends tu crétin de Griffondor?!
Un silence prit place, puis tous deux sourire légèrement. Pas avec les lèvres non, avec les yeux.
-Pourquoi ne pourrais-tu pas revenir?
-Je… Il plongea son œil valide dans ceux qui le surplombaient de peu. Regarde dans ma tête Severus. Même toi tu seras dégoûté.
Pour toute réponse le plus âgé sortit sa baguette et murmura « Legilimens », le silence se fit dans la pièce, entourant les deux hommes d‘une calme étreinte.
A travers la fenêtre, on pouvait voir le vent secouer les arbres, les nuages ne révéler qu’une infime partie de la lune. Juste assez pour savoir que ce n’était pas lune noire… Seul le crépitement de l’âtre dans la pièce à côté se faisait entendre, lui et les respirations erratiques des deux occupants.
Après cinq longues minutes, Snape recula d’un pas, r’ouvrant les yeux avec difficulté. Il ne dit rien. Seth releva les yeux, une lueur de défi dans le regard, voilant l’horreur de revivre un tel instant.
-Je vois. Finit-il par murmurer. Ils ne comprendraient pas.
-C’Est-ce que je me suis dit.
Ils restèrent un instant silencieux. Chacun plongé dans les yeux de l’autre. Tous deux heureux d’une certaine façon de voir que certaines choses ne changeraient pas. Ils pourraient toujours compter l’un sur l’autre pour n‘avoir aucune pitié entre eux.
**
Seth venait de retourner dans les couloirs de Poudlard, passant une main sur son front il soupira.
Ce petit entretient avait fait ressortir bien plus de souvenirs qu’il ne l’avait pensé.
Il avait besoin de se calmer un peu.
Alors, comme un somnambule, il se dirigea vers la tour d’astronomie qu’il atteint rapidement, et tout en poussant la porte qui donnait sur la sorte de terrasse il s’exclama:
-Bon Dieu Amanda, j’espère que t’es prête et qu‘elle est bien sèche, j’ai une énorme envie de me vider la…
Avant de croiser un regard mercure aux yeux exorbités et de s‘arrêter en plein milieu de sa phrase, accentuant encore les sous entendus fortuits…
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