Yow les filles.
Vous allez bien?
Moi ça vaaa.
J'ai plusieurs trucs à vous raconter.
1°D'abord, vous saviez que je monte à cheval?
Non? Bon ben maintenant vous savez. En fait actuellement je monte en Allemagne, je comprends strictement rien de ce que les gens me disent, je me limite à "Hallo ein ticket bis Kork/kehl bitte."
(Salut, un ticket pour kork s'il vous plait)
Attendez c'est intéressant après! Partez pas didju!
Donc je monte une jument nommée Ariane, elle est bourrine, brute, avec un sale caractère et tout le monde dit qu'on va très bien ensemble... BREF. Aujourd'hui jsuis allée galoper sur la plage
d'une gravière, et même dans l'eau stait géniaaal. J'ai perdu deux protections, certes mais bref.
Et là on arrive au truc intéressant.
Cette gravière, elle est en bordure d'autoroute, et y a un parking pas loin. Et du coup c'est un véritable repère à plans culs pour gays.
Je plaisante pas, j'ai une amie qui est restée bloquée à cheval devant un buisson derrière lequel deux gays étaient en pleine partie de jambe en l'air. Et elle essayait de partir discrètement,
mais son cheval était super intrigué par les... mouvements... et par les bruits. Et du coup, comble de la honte, le cheval s'est mit à souffler super fort, les gars l'ont grillé, mais se sont pas
arrêtés pour autant (en même temps quand c'est bon c'est bon hein..). Enfin ça c'est qu'une anecdote. Mais c'est presque comique comme truc. Quelque soit l'heure, tant qu'il fait beau, on voit un
mec passer, s'arrêter, zieuter un second mec, puis repartir en direction des "bois" avec vingt mètres derrière le second gars qui le suit.
Je me demande même s'ils parlent.
Ou si c'est juste de la baise pour de la baise.
Bon de toute façon moi j'ai la poisse, je les grille que quand ils se r'habillent. Faut dire que ma jument est super bruyante, donc...
Voili voilou. Ca c'est dit.
(Quand je pense que les gens se demandent pourquoi personne peut saquer Vanessa
Paradis...)
2°Seconde chose, les filles, c'est génial, je plante actuellement un arbre.
En fait, grâce à Ethicle, on plante un arbre pour 100 recherches. Et c'est comme google.
Donc les filles, faites un geste, utilisez le.
Gnéhéhé, c'est chouette à dire quand même, "tu fais quoi?" "Oh rien, jplante un arbre. Et toi?"
(Olivia Wilde, 13 dans Dr House. Ou la perfection d'après moi.)
3°J'ai toujours autant envie de refourguer mon blog, mais vu que vous protestez... enfin, si quelqu'un s'en sent capable, qu'il m'en parle quand même.
(Dérivé de la pub Ipod. A voir en entier, c'est dur de faire des captures quand ça fait que de bouger.)
4° Nouvelle super importante! Je viens de découvrir le blog d'une des lectrices. La Malle Aux Soupirs. d'Alexx. Un mot pour qualifier ce
blog et son auteur: Esthétisme. Rien que le nom du blog est beau, l'adresse est belle, les scènes sont magnifiques, l'histoire est... Di-vine. Ne vous arrêtez pas au premier article de
l'histoire. En le lisant je me suis dit "Rah Zut, encore une histoire d'ados rebelles." Mais MON DIEU comme je m'étais trompée! C'est tellement plus! Tellement magnifique! C'est du fantastique
les filles, ça mèle masochisme, aristocratie du 18è, el... Je m'arrête là. Je vais pas spoiler sinon je vais me faire lyncher.
Bref, que du bonheur, un blog à ne surtout pas rater. N'hésitez pas, la créa est tout bonnement adorable!
(Trouvée sur Junk-Mag.com, un site de photos de gens déments et à la fois naturels. Enfin moi j'adore.)
5° J'ai un contact msn qui a ouvert un forum qui s'appelle. Attendez voir. Je parle pas anglais non plus...
Forest Sinks Dream At Night.
C'est un forum RPG. Avec des sorciers, des familiers, des salles de cours, des cimetierres, enfin
tout un monde quoi. J'ai toujours été nulle à ces trucs là, mais si ça vous intérresse, n'hésitez pas!
(Un site classe de sous vêtements, mais j'ai complètement zappé lequel.)
(A partir de là, ne me lisez pas si vous avez une bonne opinion de moi, comme une auteur généreuse, charmante, délicate, drôle etc etc.)
6° Vous êtes adorables et je vous aime. Mais je tiens à rappeler que râler pour la suite marche quelques fois, mais me met surtout de très mauvais poil. Si vous voulez être averties de la suite
Ins-cri-vez-vous-à-la-newletter. Point barre. (Vous saviez que point barre ça veut dire "!"? Moi jsavais pas.). Je vais pas aller vous prévenir. Je suis gentille... (heu... non en fait...). enfin
bon, si je suis très lente, je comprends que vous vous renseigniez. C'est justifié. Mais me harcelez pas non plus. Pitié quoi.
(Si je dis qu'il faut absolument le voir, vous me croyez?)
7° Je précise également, juste comme ça, c'est tout à fait innocent, que je publie si je suis lue.
Le truc c'est que pour savoir si on est lus, on a le service de commentaires. Donc, par une suite logique de choses, si j'ai pas de commentaires, j'interprête que je ne suis pas lue. Donc ça sert
à rien que je publie dans le vent. Je continuerais à écrire, mais je garderai mes chapitres pour moi, jusqu'à avoir des lecteurs. Vous avez remarqué que je ne valide pas les commentaires avant de
poster un autre chapitre. C'est pour la bonne raison que j'aime pas l'attitude du "Y a bien quelqu'un d'autre qui va poster quelque chose à ma place de toute manière elle est relou, elle est
lente et elle écrit quedale". Donc dans les temps à venir, si les maj trainent au point de ne pas arriver, prenez vous en aux lecteurs fantomes, pas à moi.
J'ai dit ça comme ça hein, pour l'instant je suis heureuse, j'ai des lecteurs, environ 100 visites sur les nouveaux chapitres, environ quinze commentaires par chapitre. (Je tiens à signaler que
ça fait 85 blaireaux qui passent et qui font pas coucou).
Place au chapitre!!!
Chapitre 40: (PDv) Miyavi).
Ma vie part en cacahuète.
J’avoue n’avoir jamais compris cette expression, peut-être une référence à la forme plutôt foireuse de la chose…
Enfin. Ma vie vire au cauchemar.
Déjà avoir un jeune au commandement d’un quartier, ça passait pas.
Un jeune doublé d’un gay… C’était dur.
Mais mes faits d’arme compensaient, c’était un avantage certain.
Seulement, la fac me prend du temps. Donc limite mon champ d’action au niveau des règlements de compte.
Je ne tiens même plus l’inventaire des fois ou j’envoie des collègues s’occuper des affaires à ma place.
D’après moi, même le plus idiot peut y arriver, mais de toute évidence, pour mon « clan » et ceux des autres, il faut que je fasse apparition. Que je sois présent, et que je fasse peur.
Un minimum.
Et puis mon inaction motive beaucoup d’entre eux à tenter de prendre le poste.
Bon sang si j’avais su, j’aurais pas « postulé »!
L’ennui c’est qu’à présent, soit je le garde, soit je meure. C’est un choix plutôt divin d’après moi.
Reprenons, tout allait bien, jusqu’à ce que j’accumule les petites erreurs.
La première, avoir dit aux gars d’arrêter de fracasser le prof quand il s’est écroulé dans la ruelle.
La seconde, être allé lui rendre ses affaires.
La troisième, être retourné le voir, encore et encore, ne prêtant plus aucune attention à mes amants.
La quatrième, l’avoir maté en boite, alors que tout le monde était présent. On peut ajouter le fait que je l’ai sorti des toilettes.
La cinquième, avoir piqué une colère monstrueuse lorsqu’il m’a littéralement jeté de chez lui.
La sixième, avoir continué à lui prêter attention.
Entre ces six erreurs monumentales, s’ajoutent toute l’inattention au quartier pendant ces moments. Je m’en foutais je dois avouer. Depuis le premier jour c’était lui, lui et encore
lui.
Depuis son regard mauvais lorsque je suis entré dans l’amphi. Il m’a plu.
Tout d’abord physiquement, bien que je ne fasse habituellement pas dans le viril, puis mentalement, vu comme il m’a « tenu tête ». Et enfin, quand je l’ai vu, misérable dans son lit
abominablement bleu, couvert de sang séché, avec sa blonde, magnifique, mais qui ne lui correspondait pas… Lui qui ne connaissait rien à la douleur qui tentait de garder un minimum de
dignité…
Ce mec était un défi pour moi.
Je voulais l’avoir, et je le veux toujours.
Mais à présent je n’ai plus le temps pour ça.
Ça a commencé par de petites marques d’irrespect au sein du clan, on se levait moins vite quand j’entrais, pas qu’ils aient moins peur de moi non, mais je ne leur accordais aucune attention.
Puis ils ont commencé à me parler comme à leur égal. Moi je rayonnais, je pensais qu’enfin on pouvait réussir à faire quelque chose sans avoir à faire régner un régime de terreur.
Ensuite les clans adverses ont pris leurs aises, empiétant sur nos territoires, j’envoyais des petits groupes les remettre à leur place, mais je ne me déplaçais pas, ni n’en parlais à leur chef.
Ainsi de suite, et maintenant je me retrouve dans une merde totale.
J’ai mal joué, je l’admet. Je suis un combattant. Pas un politique.
Les adversaires se battent entre eux pour savoir qui pourra venir s’approprier le quartier.
Mes hommes ne m’obéissent que lorsque je leur ordonne directement quelque chose. Certains se sont enfuis, et je ne peux pas envoyer qui que ce soit à leur poursuite car les clans qui attaquent pendant la nuit ont besoin d’être repoussés.
Et maintenant, tous les jours, toutes les nuits, je me bats, pour rattraper mes six mois de glande.
J’accumule les blessures, ils accumulent les morts. Pourtant je continue d’aller à la fac, je sais même pas pourquoi. Peut-être inconsciemment pour le revoir.
J’en sais rien.
Mais comme preuve de ma déchéance la plus totale, même les profs se mettent à se foutre de moi. Et je ne peux rien dire puisque je veux avoir mon année.
D’ailleurs lorsque Sébastien m’a débarrassé dieu seul sait pourquoi des deux glands qui me collaient devant ma salle de cours, je n’ai pas pu empêcher mon cœur de faire un bond dans ma poitrine.
Je crois qu’à cet instant je l’aurais plus imaginé rejoindre les deux autres et me descendre encore un peu.
C’est là que je me suis rendu compte que je ne le connaissais pas.
Oh bien sur, je connais toutes ses manies, toutes ses attitudes, une grande partie de ses regards, son sourire si rare ces temps ci…
Mais de lui-même je ne connais rien.
-Hey Miyu tu m’as manqué! S’exclama une tête brune en me serrant dans ses bras.
Je sourcille, à part mes amants, Gackt dans le tas, personne n’ose me toucher ainsi. Encore moins dans la rue.
Je souris lorsque le jeune homme se détache de moi.
-T’as une mine tout aussi pitoyable que celle de Sébastien. Et crois moi, en temps normal il rayonne!
Oui. Je ne connais rien de Sébastien Gaurnier. Mais grâce à Samuel, j’en apprends tout de même beaucoup.
Toutes ces heures passées au téléphone, à l’écouter raconter sa vie presque oisive de mannequin, toutes les histoires de jeunesse qu’il me conte, décrivant en long et en large les différentes attitudes et actions de son ami…
Tout ça et j’ai l’impression d’avoir vécu un peu de son passé avec lui.
-C’est rien Sam, c’est un peu houleux dans le quartier récemment.
-Ha oui? C’est toujours pas fini vos conflits? M’interroge-il, alors qu’on comment à marcher près du canal, sous les lumières blafardes et parfois oscillantes des réverbères.
-Non, je soupire en jetant un coup d’œil à l’eau dans laquelle j’ai jeté trois personnes hier. C’est même de pire en pire.
-On craint quelque chose là?
-Nan, je souris en passant une main dans ses cheveux. Toi tu crains rien, t’es avec moi.
Il éclate de rire. Je sais bien qu’il y croit, mais il préfère prendre ça à la rigolade. Ca vaut mieux de toute manière. Sinon c’est un coup à quitter la ville au plus vite.
-T’es là pour combien de temps encore? Je lui demande, changeant de discussion.
-Je pars demain matin. A huit heures. J’aurais du avoir plus de temps, mais Ralph Lauren me prend pour un défilé à Milan, je peux pas rater ça.
Je siffle, appréciateur. Ca fait longtemps que je n’ai pas pu parler d’autre chose que de « Chef ma lame est émoussée, je fais quoi? » « Tu la manges pardi! ».
-En fait je suis là depuis deux jours, mais Sebastien est dans un état tellement lamentable que je n’ai pas osé le quitter. Je te jure, je l’ai jamais vu comme ça, il me jette un regard sceptique. Il s’est passé quelque chose à la fac?
-Nan je crois pas. La dernière fois que je l’ai vu il m’a donné un coup de main avec des profs, marmonne-je indifférent.
-Hm.
Pas convaincu le Samuel.
Franchement, je vois pas le rapport entre mes actions et la vie de Gaurnier. Il s’en fout de moi, sinon il ne m’aurait pas jeté.
-C’est quoi?
Je baisse les yeux vers le ruban rouge qui entoure ma manche au niveau de mon poignet.
-Une sorte de ceinture de sécurité. C’est la couleur de mon groupe. Vu qu’on est beaucoup, ça évite de taper sur un collègue en pleine baston.
-Mais… Hm. Y en a pas qui trichent?
-C’est puni. Dans un clan comme dans l’autre. Y a des choses à pas faire, et ça en fait partie.
-C’est quoi les autres?
-Tuer les enfants.
-Et les femmes?
-Pourquoi on les épargnerait ces garces? Je lance d’un ton mauvais. Elles sont toujours en train d’attendre au coin d’un mur, avec une poêle de cinq kilos à abattre sur ton crâne.
Il ricane le bougre.
On arrive devant la boite de nuit. Il est presque une heure.
-Tu vas y entrer complètement imbibé dans ton train mon pauvre chaton, lui murmure-je à l’oreille.
Pour toute réponse il se retourne vers moi avec un sourire prédateur et me colle un léger coup de tête sous la mâchoire, fourrant son nez dans mon cou avec une sorte de ronronnement en fond sonore.
Un coup de langue sur la clavicule.
Je frémis, recule, et lui lance un regard noir tandis qu‘il me lance.
-Tu sais ce qu’il te dit le chaton, petit Yakuza?
Un autre avantage à être chef de clan… On paie pas le vestiaire. Que du bonheur, parce qu’à chaque fois on doit sortir un billet, se manger plein de monnaie qu’on ne sait absolument pas ou mettre, et on se retrouve avec un ticket rose moche qu’il ne faut surtout pas perdre.
La musique assourdissante nous parvient aux oreilles, aussi rapidement que les effluves d‘alcool et de parfums. Je lui lance un sourire dément, et nous pénétrons dans l’arène…
**
-Oh mec, c’était excellent! S’écrie Sam accroché à mes épaules, à moitié écroulé sur moi alors que nous marchons pour nous rendre vers l’appartement de Sébastien.
J’avoue, c’était que du bonheur. Parfait pour décompresser.
Déjà, Samuel, rien que son entrée était remarquée, sa chemise grande ouverte, un pan accroché à sa ceinture, l’autre vaquant librement. De sa démarche féline qui attire les regards.
Par là, j’entends aussi le mien. Y a pas à dire, il est pas mannequin pour rien le vieux.
Si j’aime les boites, c’est parce que parfois on passe inaperçu.
Mais là, je dois dire que c’était foutrement raté.
On s’est posés au bar, jusque là, pas de problème, deux trois regards en biais, quelques sourires niais.
Mais après… J’ai voulu aller danser, ayant repéré quelques minets mignons sur la piste.
Et Samuel m’a accompagné…
S’en est suivi d’une espèce de duel de « celui-qui-aura-celui-que-l’autre-y-veut », sous les regards comblés des choupinets, tout frétillants entre nous.
Mais très vite, ils se sont révélés assez fades, trop… Allumeurs et prudes à la fois. Alors on les a éclipsés, et on a dansé ensemble.
Mon dieu…
J’avais oublié à quel point son déhanché faisait voir des étoiles.
On était là, à danser, tranquillement, -façon de parler-, un petit brun entre nous, on l’avait bien pris en sandwich, et le pauvre chéri bandait comme un âne à sentir nos mains sur lui. Mains qui se croisaient, s’entre croisaient, pinçaient et caressaient sa peau bronzée.
Mais arriva un moment ou nos regards se sont figés l‘un dans l‘autre, une lueur de jeu et d’envie au fond des pupilles.
Ma main a dérivé.
Du corps du gamin elle est allée caresser le torse divinement puissant du mannequin. J’ai passé mes ongles sur sa peau déjà perlée de sueur, ses paupières se sont closes un instant et je l‘ai senti frémir, pour ensuite r’ouvrir brutalement les yeux, et faire un pas en arrière.
Sous le choc je reculais brutalement mes doigts, je pensais avoir merdé, encore plus qu’avant, me disant que peut-être mon contact ne l’intéressait pas.
Et déjà dans ma tête se profilait le regard moqueur que je lui lancerais pour rattraper le coup.
Mais en fait j’avais tout faux. Il avait reculé non pas pour m’éviter. Mais pour contourner le jeune, lequel, face à moi, recula d’un pas pour se recoller contre Samuel, qui se glissa entre nous, au grand damne du gamin, exclu en quelques secondes.
Avec un sourire je reculais à mon tour en voyant le châtain s’avancer vers moi, et fis demi tour, faisant mine de repartir vers le bar.
Enfin… Jusqu’à ce que deux mains viennent saisir mes hanches et me tirer en arrière, pour me coller contre lui.
Alabina commençait, et bien qu’habituellement je ne sois pas fan de ce style, je me laissais traîner au centre de la piste, appréciant ses mouvements contre mes fesses, sa façon de m’entraîner
dans ses mouvements, les accentuant jusqu’à les rendre indécents.
Une poussée de hanches plus forte que les autres me fit haleter, et je glissais mes mains au dessus de moi jusqu’à atteindre son cou et ses cheveux,dans lesquels je plantais mes ongles avant de « chuchoter » à son oreille:
-Qu’est-ce que tu crois faire exactement là?
-Rien d’autre que de la danse, me répondit son haleine alcoolisée en nichant son visage dans mon cou, serrant une parcelle de peau entre ses canines.
D’un bond je me retournais, entourait son cou de mes bras, et me collait contre lui, reprenant le dessus, mordant le lobe de son oreille en le faisant frissonner avant de l’embrasser du baiser de
boite de nuit. Celui tellement chaud qui ne veut strictement rien dire.
Pas d’attache, pas de sentiment, rien qu’une marque d’attirance et d’excitation.
Sa jambe s’immisça entre mes cuisses remontant rapidement pour presser contre elle une certaine zone sensible, la mienne l’imita et nous continuâmes de bouger l’un contre l’autre.
Amants?
Haletants, ricanant chacun de nos réactions et de celles de notre entourage.
Amis?
D’autres hommes vinrent nous rejoindre, et je me laissais emporter par l’un d’eux, me détachant du châtain avec un sourire vainqueur.
La nuit continua, les danses se succédèrent, et chaque fois que l’un d’entre nous allait trop loin, l’autre venait le reprendre des mains tentatrices, et l’emmenait reprendre ses esprits dans une
danse endiablée.
Partenaires?
**
A présent nous marchons en silence.
Un silence entre coupé de rires gras lorsque lui ou moi trébuchons.
Bientôt cinq heures du matin, mais toujours aussi sombre. La journée sera pluvieuse.
Pluvieuse et froide, le mannequin grelotte, les bras serrés autour de son corps.
Nous avançons au travers des rues, croisant les courageux, les fêtards et les insomniaques, tous un visage blafard, gris, rendu terne par l’obscurité.
Samuel s’immobilise au dessus d’une grille à travers laquelle un courant d’air chaud et une odeur de pain frais passe. Je m’arrête plus loin, et l’attends.
Il me sourit doucement et frotte ses bras pour se réchauffer, toujours un peu imbibé.
Lorsqu’il reprend sa marche pour me rejoindre, je laisse mes yeux errer au dessus de son épaule et en une seconde mon regard se ferme.
Je passe un bras dans son dos lorsqu’il atteint ma hauteur et l’entraîne dans la rue perpendiculaire.
-Samuel, j’appelle faiblement.
-Hm? Marmonne-il sans relever les yeux du trottoir devant lui.
-Tu sais quand je t’ai dit que tu ne craignais rien parce que tu es avec moi…
-Hm.
-Tu m’as cru?
Le jeune homme lève les yeux vers moi, son cadet, un air interrogateur plaqué sur son si beau visage.
-Oui… Souffle-il, un éclair de compréhension passant dans ses pupilles.
-Bien. Alors fais moi confiance. Quoi que je te dise, fais le. Même si c’est la chose la plus stupide que tu aies entendu d’accord?
-Ok..
-De toute manière, je ne laisserais rien t’arriver. Sinon…
-Sinon tu peux être sûr que tu n’auras plus aucune chance avec Sébastien, me coupe-il.
Je ricane:
-J’aurais pas formulé ça de cette manière. Arrête toi
maintenant.
Le châtain s’immobilise dans l’angle d’une ruelle. Je le fais reculer jusqu’à ce que ses épaules touchent le coin et que je sois pile devant lui, comme un rempart humain.
Je me baisse et remonte la jambe droite de mon pantalon, révélant un long poignard à lame courbe fixé à mon tibia ainsi qu’un second, de la taille d’un couteau de cuisine.
-On aurait pas pu se mettre à courir comme des idiots plutôt? Risque le mannequin avec un sourire nerveux tout en scrutant le bout de la rue ou cinq silhouettes ont apparu.
-Ferme les yeux Samuel.
-Qu…
-Ferme les. Maintenant!
============================
Commentaires:
Delphine: nous sommes d'accord, c'est très bas et très petit xD.
chacha: Les lemons arrivent bientôt promis ^^!
Heya: Hi je suis super contente que cette histoire te plaise ^^! Un immense merci pour l'explication ^^. Si je te dis que j'avais pas pigé la blague jusqu'à maintenant, tu me crois? xD? Trois
semaines quoi... La honte! bisouss!
Anna: Merci beaucoup pour cet adorable commentaire, il m'a beaucoup remonté le moral =) Les lemons arrivent bientôt c'est promis. Bisous et merci encore, ça m'a vraiment fait plaisir!
Véiane: Gnéhéhé, jsuis heureuse que mon humour grincheux te plaise ^^. J'avoue l'apprécier aussi, jfais de meilleures vannes dans ces moments là. Mdr je compatis pour ton ampoule au pied (tu
viens de me faire éclater de rire et jviens de foutre du yumyum plein le clavier. CEST MALIN HEIN) Ben moi je te fais un bisou pour avoir créé Jonas, et Raziel.. Heu.. ben Raziel te regarde un
peu moins méchamment xD...
Pauline: Waw 13 en français? Moi j'ai toujours eu des sales notes en french (genre 9, rythme de croisière xD) T'es en quelle classe? Un massage? Oh mon dieu je veux biennnnn =D Bisous tout
plein!
Crazy Crazy: Nous sommes deux pour la mémoire de merde xD
Sofiane: xDDDDDD Tu m'as fait trop peur!!! Quand j'ai commencé à te lire javais une voix dans ma tête "ben tu vois, si tu t'étais appliquée..." et pis finallement OUF!!! Waw jsuis une des rares
que tulis? jsuis trop flattée =D!!! En passant, merci pour le lien sur ton blog, il me fait plein de visites ^^!!! Lol pour les commentaires groupés, jsuis comme toi, çame gonfle de laisser des
commentaires, parce qu'à chaque fois j'écris un pavé, et trois articles plus loin, je recommence etc etc. XD. Donc merci beauuucoup pour ton pavé, il est génial à lire, que du bonheur ^^!
bisous:!
Véra: Yeahh jsuis rassurée ^^ Ouit'en fais pas, j'ai saisi l'idée, je te remercie ^^ J'espère que ce chap te plaira aussi, bisousss!
Chocomenthe54: Fallen Fallen heuuuuu. Alors de nom, je me souviens pas...C'est Eden***? Si c'est elle, t'as énormément de chance de l'avoir comme amie ^^! mdr tu surfes quoi xD Gros bisous
j'espère que la suite va te plaire ^^
Codop: Tinnnquiète, ils vont rester en vie, je suis pas pour les deathfics, après jdéprime xD bisousss
Cindy: J'espère que je me suis rattrapée sur ce chapitre... J'espère vraiment. Sinon je bosserai deux fois plus le suivant.C'est juré! Miyu c'est le raccourci officiel de miyavi xD officiel, dans
le genre je parle de la vraiiiie star ^^. enfin bon xD. bisousss
Minia: Mdrrr je sais que tu m'aimes =D ne ments pas! Mettre plusieurs coms? Lolnan c'est pas le but xD Je suis pas accro aux skyblogs donc je préfère un commentaire par lecteur ^^. Mais bon jdis
ça jdis rien ^^. Grooos bisousss!
Camille: Et siiii c'est très graaave MWHAHAHAHAHA! Honnêtement, les commentaires gentils, j'en ai jamais marre, c'est étonnant hein? *sourire débile* Jsuis super contente que tu aimes
autant ^^. Je tenterai de faire un truc vraiment nul un de ces quatre, promis ^^! bisous
Lydie: gnéhéhé t'as vu comme ils sont choupinous? <3 Et c'est pas terminé ^^! Bisous
LilOuù: Jsuis super heureuse que ça teplaise ^^! Et MDR, j'avoue, mes héros sont toujours imbuvables, jsais pas comment je me débrouille. Ils ressemblent jamais à rien. Par contre les personnages
secondaires ont la classe. C'est relou. Il coucheront bientot promis ^^.bisouss!
Ley: Ca fait du bien de te revoir aussi =P Dis moi,jvais avoir l'aird'une idiote, mais Androgyne, t'en es ou? Je me souviens l'avoir lue y a trèèès longtemps. Et oui, tout ce que j'ai cité, c'est
du déjà luxD Navrant hein? xD
Subtility-Lyra: Haaa ma chérie t'es en viiiie! XD Effectivement, Seb reste con. J'arriverai jamai à faire de mes héros autre chose qu'un personnage imbuvable... C'est grave xD bisousss
Merlin: T'aimes pas Miyu? TAS PAS DE GOUT!!! xD Je te le prète Sam ça marche :p! bisousss!
Draymal xD méfie toi, je pense qu'il est très possessif le petit prof quand même :p
Twilight: Alors, ton idée sur les blessures était bonne? Elle merde un truc de dingue la newsletter, jsuis confuse mais j'y peux rien, faut voir ça avec Overblog :s... Bisous belle!
Electre:Gnéhéhé Jsuis heureuse de t'avoir fait rire ^^'. je me sentais tellement pathétique avec mon intrigue à la con que voilà quoi... xD... Bisous tout plein!
Adelounette: Heyyy jsuis super contente que tu aimes. Mdr t'en fais pas, je pense la même chose que toi, cette histoire c'est un vrai déche, y a des passages super relous, jsuis surprise d'avoir
autant de lecteurs dessus xD...Bisous à bientôt et merci =)
Satsuki: T'as tout à fait raison d'être inquiète niark niark. Bisous!
Onakasuita: Et moije te remercie pour cet adorable commentaire =) Pour le second degré, c'est pas volontaire à la base, mais j'arrive jamais à m'en empêcher ^^'. bisous à toi et merciii!
Nariel Alcarin: Oh mince, et l'ami sur msn, c'est arrangé? Tu sors avec? Tu sors pas avec? Raconnnnte ! =DJe suis contente que tu aies été touchée par la peine de Seb, j'arrivais pas à la
transcrire, alors j'ai bandonné. Mais si toi tu l'as vue, je pense que d'autres aussi. Et ca c'est génial =D. T'en fais pas, il sera plus triste longtemps. Pour les trucs des profs, je trouvais
la scune assez pathétique, mais si tu aimes, jsuis contente aussi xD... Bref tu m'as encore une fois trop remonté le moral, un immense merci!!! bisous!
Mélo: Hey fantomette! (ok elle était facile celle là.) je suis ravie que tu fasses une exception pour moi, ça gonfle encore un peu mon égo xD. Merci beaucoup! Ah oui Marielle! Elle est géniale
cette auteur ^^! J'adore ce qu'elle fait, d'ailleurs faut que j'aille voir si elle a fait une mise à jour ^^. Merci beaucoup pour ton commentaire ^^ bisouss!
Joy: Heyyy ma chérie ^^! Je suis contente de lire que tu aimes toujours! Ca me fait énormément plaisir, surtout venant de toi =D! Oh je reviendrais avec plaisir !! Mais pour l'instant c'est un
peu loin, et le train coute toujours aussi cher xD... Donc quand j'aurais un peu économisé je repasserai par chez toi, j'ai hâte de vous revoir. (Avec peut-être cette fois ci Oré aussi?) J'espère
que la suite te plait!! bisous!
Fitz: *esquive la poele* Niark Niark Niark. Je suis sadique jsuis confuse, c'est pour vous forcer à réagir =DEt je m'arrange pas dans ce chapitre désolléééée xD tu peux tenter de me frapper ^^
(Vas y essaie jt'attends =D) C'est moi qui te remercie de me lire ^^! Bisousss
Audrey: Roh jsuis contente, encore une nouvelle lectrice! Jsuis super heureuse que mon histoire te plaise, j'espère que ce chapitre t'interressera aussi (j'espère hein, je l'affirme pas xD) Gros
bisous, merci pour cet adorable commentaire!
Tadssadit: Inscris toi à la newsletter, je te promets que ce sera plus pratique pour toi ^^! Merci pour tes commentaires!bisous
Camille: Quel adoraaaable commentaire ^^! Je suis ravie, enfin je te l'ai déjà dit sur ton blog perso ^^ Merci pour tout bisous! (y a une de ces populations de camilles ici
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