Rêves d'Absynthe
Pfiou, tellement long le chapitre que jsuis obligée de couper, vous êtes heureuses hein? HEIN QUE VOUS L'ÊTES?!
Il ne put que bondir en avant à la vue de tant de sang sur le sol, tant de sang sur les lames des attaquants, et tant de haine sur le visage de celui qu’il venait rejoindre.
Il se rua sur celui de droite qui était bien trop concentré sur Miyavi pour lui prêter attention et enfonça son poignard dans son flanc, retenant un haut le cœur lorsqu’il sentit le métal dévier après avoir touché une côte.
L’homme poussa un hurlement et lança
son bras armé vers l’arrière. Sébastien fit un bond sur le côté et sortit son second couteau avec lequel il balaya le bras tendu dans sa direction. Cette fois, le sang gicla sur les miroirs qui
couvraient l’ensemble du mur. L’homme qu’il venait d’attaquer –par derrière bon sang- se retourna, vacillant, immense, un couteau planté dans le flanc, les mains tremblantes et un regard
tellement haineux plaqué sur son visage que Sébastien trembla. Jusqu’à présent il avait blessé des hommes. Il n’avait pas essayé de les tuer.
Le colosse fit un pas vers lui et le professeur recula, incapable de l’attaquer à nouveau. Je ne suis pas un meurtrier.
Son souffle se coupa. Il ne tuerait pas cet homme. Il ne pouvait pas. Il ne le connaissait même pas.
Mais il a voulu tuer Miyavi.
Sa main se resserra sur la lame et il se raidit, prêt à charger au prochain mouvement.
Il n’en eut pas le temps ni le besoin car, d’un mouvement vif et suffisamment rapide pour qu’il ne voit qu’une ombre passer sur la gorge de son adversaire, Miyavi l’égorgea.
Purement. Simplement.
Le colosse s’effondra avec un regard surpris et il ne resta plus dans le champ de vision du professeur que son amant haletant, dont l’avant bras entier était couvert de sang.
…Pas le sien avec de la chance.
Ses cheveux noirs tombaient en mèches folles autour et sur son visage et il les repoussa d’une main tremblante et sanglante vers l’arrière.
Sébastien essaya de ne pas remarquer que le sang fixait très bien les cheveux et poussa plutôt un soupir soulagé.
Le brun cracha un peu de sang et se jeta sur son professeur qui blottit son visage dans son cou, inspirant profondément son odeur.
Miyavi se recula en prenant son visage en coupe :
-Mais qu’est-ce que tu fiches ici ? Tu aurais pu te faire tuer ! J’ai eu tellement peur en te voyant là !
Le soulagement de retrouver son élève en entier était tel que Sébastien aurait pu sourire béatement et lui chanter son affection comme dans une comédie musicale niaiseuse… Mais il se souvint finalement de la raison de sa venue et son poing alla s’encastrer dans la mâchoire de l’asiatique.
-Tu m’as planté comme la dernière des catins pour aller te faire tuer dans un coupe gorge ! Tout ça pour quoi ?
Il hurlait clairement à présent, et Miyavi qui avait trébuché sous l’impact leva des yeux ébahis vers lui en se tenant la joue.
-Tout ça pour un petit merdeux qui t’a juste tendu un putain de piège ! Pourquoi t’es pas resté à coucher avec lui hein ?
-Mais qu’est-ce que tu crois putain, j’ai des obligations !
-Obligations mon cul ! T’es qu’un môme qui s’imagine diriger une bande de tocards ! T’as vu l’état de ton quartier ?! C’est devenu une vraie guerre civile putain ! Une hécatombe ! Tu ne maitrises rien ! Tout le monde a fui, et le reste est mort !
A ces mots, un poing s’enfonça dans son estomac et lorsqu’il se plia en deux sous la douleur, un second le heurta au menton, l’envoyant voler en arrière et tomber au sol.
Il rouvrit les yeux pour voir Miyavi au dessus de lui, rouge de colère :
-Je t’interdis de…
Il n’eut pas le temps de finir que ses jambes furent fauchées par Sébastien et ils se retrouvèrent à échanger coups de poings et de pieds comme deux adolescents en colère.
Forcément, c’était Miyavi qui gagnait malgré son poids léger, l’entrainement sans doute. Et très vite Sébastien se retrouva à uniquement protéger son visage et attendre que les coups cessent de pleuvoir. Il était à deux doigts de se rouler en boule.
Ils se raréfièrent rapidement lorsqu’il arrêta de répliquer, jusqu’à s’arrêter.
Ils avaient roulé loin de la scène de combat et un paravent de cuivre cachait les corps à leurs yeux.
Miyavi se tenait au dessus de Sébastien, chevauchant ses cuisses sans la moindre once de douceur. Sous lui, son professeur, cet homme plus mature que lui, tellement respectable, tellement plus âgé en un sens même si les années qui les séparaient étaient pas si nombreuses. Cet homme si « normal » qui était venu l’aider en pleine guerre civile –en 2012 bon sang !- se retrouvait sous lui à subir ses coups. Alors qu’il n’était ni un combattant, ni un ennemi.
Bien au contraire.
-Merde.
Il tendit les doigts vers le visage que le professeur protégeait de ses mains, et lorsque leurs peaux entrèrent en contact, le châtain sursauta si vivement que Miyavi sentit une bouffée de honte l’envahir.
Le corps sous lui se détendit légèrement et il put apercevoir les yeux de son amant. Il le vit inspirer profondément et se crisper brusquement.
D’un coup de reins, il fut projeté en arrière. Mais au lieu de heurter le sol, il tomba dans la baignoire creusée au milieu de la pièce.
-Ah putain !
Une baignoire encore à moitié remplie d’une eau qui avait eu tout le temps de refroidir depuis le début du conflit.
En une fraction de seconde, Sébastien l’avait rejoint, et le combat reprit, cette fois étrangement plus...
…Bizarre.
Malgré les coups, et le sang qui se répandait dans le fond d’eau, le professeur pouvait sentir le corps fin et dur de muscles de son élève s’agiter sous lui. C’était…Etrangement excitant.
Etrangement dans le sens ou il ne
devrait peut-être pas être excité au moment ou il tenait la tête de son amant sous l’eau et qu’il était censé avoir vraiment la haine.
De l’autre côté, Miyavi, tête fermement maintenue par une main sur sa nuque était plus ou moins à l’agonie. Il avait d’abord eu du mal à comprendre la colère sans bornes de l’homme qu’il avait
poursuivi une année durant. Et puis il avait pigé. Enfin, à cet instant précis il ne pensait plus beaucoup à ses sentiments, et plutôt à un moyen de sauver sa vie. L’illumination avait eu lieu
quelques secondes plus tôt :
Lorsqu’il se trouvait au dessus d’un amant totalement dominé par ses poings, et où la honte l’avait submergé comme un revers de main en plein visage.
Oui il l’avait abandonné. Mais c’était pour sa sécurité. Et pour rattraper l’horreur qu’il avait créé dans le quartier. Les responsabilités n’avaient jamais été son truc. Mais là, il avait décidé de faire une dernière chose bien en tant que chef de cartel : défendre ses … ses gens, ses amis.
Il l’avait abandonné pour le protéger, pour le rendre fier, et parce qu’il le devait. Il aurait pu lui dire ça, avec des mots d’amour, des roses, des odeurs de lavande et un lancé de colombes, mais à la place, il se retrouvait le cul en l’air, les mains maintenues dans le dos, et la tête sous l’eau.
Quelle vie de merde.
Sébastien tira soudainement sur les cheveux de celui qu’il martyrisait depuis plusieurs secondes et le redressa d’un coup de hanches, le bousculant vers le rebord ou il l’appuya, s’écroulant sur son dos par la même occasion.
Tout deux étaient haletants et le châtain sentit des larmes de rage monter à ses yeux. Jamais il ne se serait permis de faire du mal à quelqu’un avant de connaitre celui qui crachait de l’eau sous lui.
Ce jeune homme l’avait transformé, et pas dans le bon sens. Mais c’était avec lui qu’il avait ressentit le plus de choses de toute sa vie. Même si le sentiment dominant était la colère, et le second la tristesse.
-Je suis…Désolé.
Ca aurait du être lui qui prononçait ces mots. Et pourtant c’était l’homme à moitié crevé à la voix grondante de souffrance qui le faisait.
-Je suis désolé Sébastien. J’aurais pas du jouer avec toi comme je l’ai fait. J’aurais pas du entrer dans ta vie, la retourner, pour ensuite te donner l’impression de t’abandonner. Je suis désolé.
-L’impression ?
-Il y a eu…Il émit un rire rauque. Un défaut de timing. J’aurais du pouvoir passer la nuit, et la matinée, et la journée et même la v... enfin du temps avec toi. Je te le jure. Mais on avait besoin de moi et toi, tu ne risquais pas de mourir. Enfin moins. Enfin pas trop… J’veux dire…
Sébastien sourit indulgemment:
-Tu comptais revenir ?
Le brun ne fit que se retourner, étonné.
-Bien sur.
Les mots étaient froids. Les émotions étaient grondantes. Tant de non dits entre eux. Tant de fierté, d’orgueil et d’incertitudes.
Et pourtant, un sentiment commun chauffait la pièce, une affection grandissante les isolait du monde à cet instant. Le brun se retourna, s’extrayant de l’emprise du plus âgé et s’assit sur le rebord, avançant une main tremblante vers le torse du professeur pour la poser juste au niveau de son cœur.
Le temps sembla s’arrêter quelques secondes tandis que leurs regards se figeaient l’un dans l’autre.
Et il reprit brusquement, lorsque le châtain fut tiré hors de l’eau.
Ils trébuchèrent dans leurs vêtements mouillés, se heurtèrent contre les murs, glissèrent sur le sol lorsque les tissus trempes les eurent quittés.
C’était différent. C’était confiant.
Plein de colère pour le temps perdu, mais empli d’une affection plus grande qu’aucun n’avait porté à qui que ce soit avant ce jour.
Très vite, Miyavi se retrouva à fixer le regard de son amant à travers le reflet d’un des immenses miroirs tandis qu’il écartait lentement les jambes et que Sébastien se plaçait entre elles.
Sa première expiration haletante fit une tache de buée sur la glace. Son premier gémissement alluma une flamme dans les yeux de son amant.
C’était sale. Plein de sang et de sueur. C’était brusque. Plein de haine et de rancœur. C’était Eux. Un tout imparfait, une entité étrange et fonctionnelle.
Les Mots n’étaient pas dits. Ils étaient criés par leurs regards et leurs gestes. Par la chaleur dans leurs mouvements, par le contact de leurs peaux.
Il n’y avait pas besoin de Les dire. Ils étaient trop fiers de toute façon. L’idée y était. Ils l’avaient compris.
Ils furent réveillés par un tremblement si fort qu’ils crurent leur fin arriver. Les rayons du soleil peinaient à passer à travers les fenêtres couvertes de poussières des combats, donnant une lumière faible, diffuse, qui éclairait lentement la pièce. Leurs yeux se croisèrent tandis qu’un des miroirs se fissurait sur toute la longueur. En un bond ils furent sur pieds, mais le tremblement s’était arrêté en un effroyable grondement.
Dehors, quelques cris les alertèrent, et une fumée opaque de pierre et de plâtre obscurcit la rue.
Miyavi lança des vêtements encore
humides à son professeur et se rua vers l’extérieur. Sébastien le suivit rapidement, non sans lancer un regard au fond de la pièce, là ou deux corps sans vie avaient entamé leur
décomposition.
Il eut un frisson de dégoût. Ces derniers jours étaient une pure folie.
Ils dévalèrent les escaliers, et le châtain put voir que le jeune homme agonisant à l’entrée avait disparu. Il soupira de soulagement, peut-être avait il survécu. Quelques pas plus loin il retint un haut le cœur lorsque son pied se heurta à un corps rigide et sans doute glacé.
Miyavi le tira vers lui et ils se
mirent à marcher rapidement, levant les yeux une seconde pour s’apercevoir que l’énorme tremblement ayant eu lieu plus tôt résultait de l’effondrement d’un bâtiment de la rue.
Presque tous les immeubles étaient éventrés, toutes les vitres sans exception étaient brisées. Des corps d’êtres humains gisaient anonymes, recouverts d’une même poussière grise et des mêmes
débris. Ils s’étaient battus pour une identité et finissaient tous dans le même état. Victimes et bourreaux sans nom.
Sébastien se fit la réflexion qu’un soleil si vif ne devrait pas paraitre le lendemain d’un tel massacre. Ses mains tremblaient, son bras s’était remis à saigner, il n’avait même pas pensé à stopper l’hémorragie. L’adrénaline l’avait totalement anesthésié durant la nuit.
-Ou on va ?
-A la gare. On dégage.
-J’ai pas d’argent sur moi, fit le professeur tandis qu’il était tiré, amorphe le long d’une avenue.
-J’en ai, de toute façon je pense que la difficulté sera de monter dans le train, pas de payer.
Le bruit de camions et d’engins se faisait entendre au loin.
-On court !
-Pourquoi ?
Tous deux avaient un mauvais pressentiment. Ou étaient passés les militaires ? Ou étaient les combattants ?
Ils attinrent la gare à l’extrémité du centre ville et leurs yeux se portèrent sur d’énormes camions chargés de briques de ciment.
-C’est une blague, siffla Sébastien.
-C’est ce que je craignais, dépêche toi !
Ils se remirent à courir, encore plus vite, vers l’entrée de la gare et se dirigèrent vers le premier train, éloigné d’eux par trois quais.
-Ils vont isoler la ville ? Sérieusement ? Haleta le professeur en reprenant son souffle, les mains sur les genoux.
-On traverse, fais attention.
Ils bondirent sur les voies, trébuchant sur les rails tandis que le train devant eux se mettait lentement en marche.
-On va y arriver, jura Miyavi entre ses dents.
-On va pas y arriver, siffla l’autre peinant à suivre.
Il ne restait qu’un quai et deux voies à traverser.
-On va y arriver.
Un sifflement pas si lointain se fit entendre et Sébastien tourna la tête vers l’origine du bruit. Un train à pleine vitesse arrivait vers la gare. Il ne s’arrêterait certainement pas ici vu l’allure, et il allait passer sur la voie juste devant leur train.
-On va pas y arriver, s’exclama Sébastien, la voix montant dans les aigus, le sang pulsant à ses oreilles.
-Putain si !
Et Miyavi se saisit de la main du châtain, le faisant encore forcer l’allure et il descendit sur la dernière voie, entraînant son amant avec lui.
Le bruit assourdissant du train leur fit tourner la tête, les rails sous leurs pieds vibraient, ils hurlèrent et bondirent sur le quai.
Le train passa en un claquement d’air et ils ouvrirent les yeux, surpris d’être en vie. Leurs regards se croisèrent, ils l’avaient fait. Il ne leur restait plus qu’à se lever et courir pour atteindre un wagon du train qui prenait de l’allure.
Le souffle bruyant, la sueur au front, ils se redressèrent et s’élancèrent vers leur porte de sortie de cette ville cauchemar. Ils allaient s’en sortir, ils recommenceraient leur vie ailleurs. La douleur dans leurs corps semblait annihilée, leurs pieds les portaient par réflexe. Seules leurs mains jointes et l’espoir dans leur poitrine ressentait encore quelque chose.
Et puis soudain. Deux formes furent devant eux. Leur barrant le passage.
Deux silhouettes pas si inconnues se mettaient en travers de leur chemin.
Sébastien sentit son souffle se couper, tandis qu’il dévisageait son meilleur ami ôter des lunettes de soleil de marque et lui faire un sourire étrange.
Il porta son regard vers la deuxième personne et son sang se glaça lorsqu’il la reconnut. Gackt.
Miyavi serrait sa main à la briser.
Le blond eut un rire léger, toujours aussi insupportable et Samuel lança :
-Vous ne pensiez pas vous barrer en train quand même…
Sa main se dirigea lentement vers sa poitrine, et plongea dans l’encolure de son costume sur mesure.
Sébastien fit un pas sur le côté, se rapprochant de son amant. C’était impossible, mais si c’était le cas, il resterait près de lui jusqu’à la fin.
Euh... What the fuck ? Wesh je sais pas si je dois bien la sentir ou pas la suite...
Parce que te connaissant, soit les deux là sont en fait des gros bâtards. Pourtant je vois mal Sam dans un rôle de connard, en fait je le kiffais bien et ça me ferait mal au coeur mais en même temps Gackt est un enfoiré. Donc vu qu'ils sont ensemble, ils doivent être dans le même camp. Du coup, soit on a ces deux-là qui veulent les buter (oO) soit ils vont leur filer des clés de bagnole xD
M'enfin, vu le ton de l'histoire, j'aimerais bien une bad end. En même temps, je ne suis pas fan des happy end donc bon... Mais je sais que tu kiffe pas spécialement les bad end. Alors PUTAIN DE MERDE ! Je suis mitigée et je sais pas ce qui va se passer MERDE !
T'as intérêt à t'occuper de l'épilogue et VITE ! Avant même les autres histoires, RANAFOUT' j'veux savoir !
Quoique étrangement, vu comment ça tourne et vu que je sais que tu n'aimes pas qu'on devine la suite avant de l'avoir écrit, je me dis que la bad end n'est surement pas la bonne solution parce qu'elle se sent à plein nez. M'enfin avec toi...
PS: Je te hais.
PS2: Écris l'épilogue TOUT DE SUITE !
Xbox360 (ouais j'suis anti PS3) : Si tu le fais pas avant tes autres maj ou même avant la co-prod, je te traque, sur facebook, MSN, texto, tel ET je viendrais jusque chez toi pour te faire chier ! OKAY ?
toi, t'as le chic pour publier quand je ne peux pas aller sur internet hein ? J'explique:
1.) vingt minutes avant mon arrivée de la montagne ( j'ai failli dire neige, mais y en avait pas, pire, on a skié sous la flotte) à chez moi, je reçois un message de Sû, hystérique, un truc du genre "HAHAAAA !!! C'EST PUBLIEEEEEE !!". Je fais tilt: NP. Bientot. Je n'ai jamais déchargé la voiture/vidé mon sac/rangé aussi vite et efficacement. Chapeau, t'as réussi à me faire m'activer !! youhou !
2.) tu connais SFR , mais siiiiii, la queue chez Sfr... benh ça va faire... longtemps que je n'arrive plus à recevoir mes mms, donc on m'y entraine. Je suis optimiste, je me dis: bon, bouteille à moitié pleine ? allez, ça va pas durer longtemps.... bah quand j'ai vu, j'ai compris pourquoi il fallait m'y trainer.... il est 17heures, je viens de sortir. Bref, une heure a attendre dans la toooouuute petite boutique surchauffée avec les gamins qui braillent. Joie.
Résultat des courses: çui-là; j'l'ai savouré, long et relu en long en large en zigzag, en courbe et en travers, et je vais prendre ça comme un cadeau d'anniversaire en avance, même si c'est pas ça ( ça fait plaisir à mon égo, laisse =P) Voilààààà ! ^^
Mon dieu Orane, j'ai tellement honte de ne te répondre que maintenant, c'est un putain de manque de respect... Je suis désolée, je me suis pas rendu compte que ça faisait un an...
Donc voilà l'épilogue, honnêtement, j'en veux à personne de ne pas le lire ^^
En tout cas je suis fière de t'avoir fait speeder à ce point, et ça me rend encore un peu plus honteuse quand je vois ta motivation et ton dynamisme ... :/
Merci d'avoir été là ma belle, bisous <3
Et il sort quoi de sa poche ? Hein ? Hein ? Hein ? *sbaf*
J'ai beaucoup aimé ce chapitre et surtout le suspens créé par Erog qui t'a obligé à le couper en deux parties... Elle sait y faire cette plateforme tout de même
J'ai hâte de connaître le fin mot de cette histoire de fous ^^
Bisous ma belle et bonne année à toi <3
PS : moi j'aimerais bien connaître la suite de "l'histoire que tu n'as pas le droit de commencer" ;)
Gnéhéhhéhé... Mon dieu Lino, j'avais pas du tout du tout capté que ça faisait un an que j'avais pas publié... Comme j'ai honnnnnte...
Tain mais tu l'as dit, quelle plateforme de vainqueurs ^^ j'ai même pas pu mettre d'image tellement elle est géniale ^^
Voilà l'épilogue, si t'as le courage de le lire :p
Love you ^^
Youpi la suite !!!
Bah dis donc je m'attendais pas à une fin de chapitre pareil !! Samuel un traite ??
J'ai hâte de lire la suite et fin apparement ^_^
Bisous
Hitsuki
L'épilogue vient tout juste d'être posté, t'auras la réponse à ta question ^^ bisous la belle!
Oh la la ! Oh la la ! Oh la la ! Je suis trop contente ! Je l'attendais avec impatience, ce chapitre ! Héhé, merci pour ce cadeau de noël :D Bon, j'ai pas le temps de le lire tout de suite (il est énorme ! :O J'adore ça x)) Mais je vais m'y mettre le plus tôt possible et puis je re-commenterais après, ce sera mon cadeau de noël pour toi :p (bon, je sais, c'est pas grand chose, mais comme on dit c'est l'intention qui compte hein x)) Bon, ben à plus tard ! ^^'
Bon dieu ça fait un an que je devais publier? Oo Ho meeeeeerde... La hoooonte xD
Voilà l'épilogue, mon dieu, du coup j'ai TROP honte...
NAAOOOOON! C'est n'importe quoi ton histoire! Je refuse! T'as pas intérêt! Et d'abord, ce serait pas logique! Ce serait même débile!
Donc. Moi, j'dis qu'ils sont pas des méchants. Putain! Je te hais! J'vais t'arracher la tête à coups de dents!
Sinon, c'est proprement excellent. Ca vire au grand n'importe quoi, soyons honnêtes, mais j'adore. Tout simplement génial. Toutes mes félicitations. Toute mon admiration, ô toi déesse de la plume. Je n'ai jamis rien lu d'aussi parfait. Si tu étais un bel homme, grand, cheveux et yeux noirs, ténébreux, viril, musclé juste comme j'aime, bref si tu étais mon homme idéal, je te demanderais en mariage. Ou juste pour une soirée. Je t'offrirais même une part de mon merveilleux cheese cake au citron... Vraiment tu es la meilleure!
...
Voilà, je t'ai jeté plein de fleurs, j'ai flatté ton ego... Tu te sens donc à présent dans une poussée créative qui va te faire écrire et publier, d'une traite, la suite de cette délicieuse et rebondissante histoire, ainsi que celle de Shyinn ta gueule. N'est-ce pas? Bordel de merde.
Hûk hûk hûk
Biz biz et bravo XD
Sinoa
Roh Sinoa, comme je t'aime xD
J'ai lu le début du commentaire, je savais qui c'était xD
Tain tu me fais envie avec ton cheesecake!! Manque de bol je suis une petite chose vaguement féminine ^^'
T'as totalement flatté mon égo ma belle, par contre je suis désolée mais ma flemme est toujours plus puissante, en plus là javais des difficultés géographiques techniques etc etc ^^
Mais bref VOILA LEPILOGUE!
Bisousss
Chapitre à couper le souffle, bravo !
Vivement la suite ! *-*
Yeah merci ^^! La fin arrive dans le mois bisous!
OUAAAAAA ! ! ! délà oua la suite, si je me rapel bien quand j'ai commencer cette histoire tu n'été pas encore sur erog et je n'avais pas du tout l'age recomender pour la lire ><...
Et après ouaaa c'est quoi ce suspence de fou que tu laisse là ??? bon l'écriture j'ai rien a dire comme d'habitude, perso je suis totalement fan et par contre ... c'est pas possible que tu laisse encore 6 mois d'attente pour l'épilogue evec ce suspence la, traitre pas traitre ... NON PAS TRAITRE ! Mais j'aime pass Gackt c'est surment un méchant... Mais non j'aimerai bien une bonne fin, et avec un peu de chance il ce tape le mailleur ami et ils vont les aider a sortir de la ville parce que c'est des gentils =D ... mais en même temp ... Mais ZUT !
Bref, tu vois l'état dans lequel ca m'a mis ><.
Au fait j'acroche bien a "les livres de filles ça rend cons" je sais plus si j'avait laisser un comm sur le chapitre ( c'est moi ou erog bug ? ) en tout cas super !
ReBref je pense que t'as compris a force je suis fan =)
Bonne continuation à toi
Bisous, je t'aime ! ! ! ! !
PROMIS Je la mets avant fin janvier! Ca sera pas long à écrire de toute façon ^^
HAHAHHA tu verras bien si c'est du méchant ou pas!
J'ai commencé la suite des livres de fille ça rend con =)
Bisoussss Love you too!
super chapitre!! Et du suspens! Pitié, pas de trahison du meilleur ami!!!!
On verra bien ^^ Hahahah bisous
BONNE ANNEE A TOI AUSSI!! :D
Eh c'est vrai pour les MAJ's qui vont plus vite parce que ton petit PC il est lent? C'est vrai?! C'EST VRAI?! (Non je ne t'agresse pas, je montre mon impatience...)
Et j'avais trop oublié qui est Gackt, alors quand j'ai vu son nom au début je me suis dit "Ouais bon, ça doit être un de ses gros moches subordonnés, on s'en fout"...
Euh. Ouais. Je sens que je vais me re-taper les chapitres précédents hun...
AH OUI. J'AI EU envie de crever en lisant le chapitre. Tu sais, histoire de mourir heureuse quoi. Et je crois que j'aurais mieux fait de mourir d'ailleurs parce que
c'est trop sadique ce que tu nous as fait, le coup du "Je-m'arrête-pile-poil-au-moment-ou-Miyavi-et-Seb'-se-font-niquer-par-Gackt-et-Samuel".
"C'est pas très gentiil..." Bon, personnellement, je veux bien te pardonner parce que la phrase du tout début, je l'ai adorée. C'était tellement ... Réaliste! En fait
j'avais trop l'impression de sentir les odeurs, limite... (Quoi que, je sais pas ce que ca sent (PAS ENCORE..) moi tout ça...)
Haha puis la phrase qui casse toute l'action à la fin de la première partie du chap', j'étais morte de rire XD
BOUAHAHA, Sebastien il pète un câble il parle tout seul! Et le coups des doigts de pieds dans la cire, c'est du vécu hun? J'ai vaguement eu l'impression en lisant...
Huhu. Un autre truc que j'ai bien aimé aussi c'est que le gars, il marche dans la rue, normal, et puis:
"Oh, des voitures en feu! J'ai intérêt à garer ma Clio au parking sous-terrain!" (Tout ça avec une voix innocente bien sur.. Hun? Quoi? Rooh, on s'en fout si c'est pas une Clio sa voiture..!)
Sinon, le moment du "Je suis en train de noyer un beau gosse, Grr, que c'est excitant!" était pas mal. UN PEU bizarre, mais pas mal. BON, je vais pas mentir, je m'attendais à ce qu'ils fassent des bébés dans la baignoire, mais le fait qu'ils le fassent en dehors m'a pas gêné plus que ça... (a)
BREF, je crois que j'ai plus rien à dire... Rooh, dommage, j'avais envie de te faire un petit "Romantaire" (Commentaire, Roman.. Bref. Quoi, moi, débile? Naaan, quand même pas...)
Sinon, en conclusion, j'ai trop kiffé sa race de sa mère la jongleuse (T'as vu sisi j'viens de la banlieue moi, OUAIS OUAIS! #LOL#) ce chapitre un peu sale, mais tellement satisfaisant!!
Gros bisous (PARTOUT, bien sur.. ahahah.) et encore bonne année, une année pleine de trucs bien avec des garçons qui se font des bisous et puis aussi de l'argent et puis aussi la santé et puis un peu (Beaucoup) d'amour surtout et puis aussi PLEEINE de pensées pour nous, tes fans chéris (a) .
PS. Depuis que j'ai lu l'article "Les livres de filles, ça rend con.", je me retiens d'écrire des trucs avec des "J'me branle" (Non, c'est pas vrai je me branle pas, c'est juste le premier truc auquel j'ai pensé... On se demande pourquoi.), tu sais avec le J apostrophe. Enfin, bref, j'ai vraiment du horripiler pas mal de personnes maintenant que j'y repense...
PSS. La fin m'a juste rendue toute gaga, en mode hsdlougvxwfhicljmQSE¨DµF%JERQDSIVHQDFJS!! Parce que c'est TELLEMEENT ADORABLE!!!